Robert Badinter Discours

dissuasive de la peine de mort méconnaissent la vérité humaine. La passion criminelle n’est pas plus arrêtée par la peur de la mort que d’autres passions ne le sont qui, celles-là, sont nobles. » Telles sont les paroles du célèbre Robert Badinter, lors de son discours du 17 Septembre 1981 à l’Assemblée Nationale. Si, grâce à lui, la peine de mort en France est abolie depuis le 09 Octobre 1981, ce n’est pas le cas dans tous les pays du monde. Pourquoi cette condamnation persiste-t-elle de nos jours

peine de mort est moralement inacceptable » Robert Badinter, garde des Sceaux Le projet de loi abolissant la peine de mort ( le seul ayant abouti ) a été lancé par Robert Badinter (Garde des sceaux et ministre de la justice) en 1981 ayant fait un discours à l'assemblée nationale. Document : N° 310 Enregistré à la Présidence de l'Assemblée nationale le 29 août 1981. présenté AU NOM DE M. PIERRE MAUROY, Premier ministre, PAR M. ROBERT BADINTER, Garde des Sceaux, ministre de la Justice

1) Les premiers reperages Cette plaidoirie en faveur de l´abolition de la peine de mort a été ecrite par l´avocat robert banditer pronocé le 17 septembre 1981.Le genre est un discours ( une plaidoirie).C´est un texte argumentatif. Qui parle ? : Robert Badinter A qui ? : à l´assemblé national Où: a l´assemblé national quand ? : 17 septembre 1981 2) l´analyse precise du texte L´ennonciation : pronom personnel : "je" , " me " determinant posséssif : " ma" L17 Il donne son avis

1948, la Déclaration universelle des droits de l'homme a été ratifiée par 48 pays dont la France. A cette même date, la législation française autorise toujours la peine de mort. Ce n'est qu'en 1981 qu'elle fut abolie en France par Mitterrand et Robert Badinter qui plaida lors du procès de Patrick Henry. La problématique est la suivante: « Pourquoi la France a mis autant de temps à abolir la peine de mort alors qu'elle est à l'origine de la Déclaration universelle des droits de l'homme ? » Tout

corpus : nom, titre date. - Poser la question II- Conclusion - récapitulatif des arguments - Pas d’ouverture III- Détails pratiques - « Dans le document 1 ; l’auteur dit que la société ne doit pas se venger. » - Badinter explique que « tout le progrès de la justice [...] loi du talion ». - Un titre se SOULIGNE IV- Organisation d’un paragraphe Début de paragraphe : - « Tout d’abord, Victor Hugo nous dit que : « ceux qui jugent et qui condamnent disent

été l’aboutissement de près de 200 ans de discussions, de débats, de prises de position passionnés. [pic] SOMMAIRE : Page 3 : I. Un historique de la mesure mise en place par la loi Page 4 : Images Page 5 : Le combat de Robert Badinter Page 6 : II. Élaboration de la loi et les débats suscités par sa mise en place Page 7 : Images Page 8 : III. Débats pour rétablir la loi et actualités : la loi à travers le monde Page 9 : Images Page 10 : Conclusion

dans le discours pour donner plus de dynamisme et de convaincre les juges notamment le lecteur de l'absurdité de la peine de mort. 3) Victor Hugo soutient la thèse suivante : il est contre la peine de mort. Afin de défendre son opinion, il va utiliser plusieurs arguments soutenant sa thèse principalement la suivante : «  la société ne doit pas « punir pour se venger » mais corriger pour améliorer. » Ainsi, il défend l'idée que la peine de mort n'est pas un modèle à suivre. Robert Badinter :

mars 1792 définissait la guillotine comme seule moyen d'exécution. II-De la peine de mort à son abolition La France est totalement abolitionniste depuis 1981, c'est en grande partie grâce à l’action du ministre de la Justice de l’époque, Robert Badinter et de sa loi. La France a ensuite interdit les mises à mort publiques après l'exécution d'Eugene Weidmann à Versailles en le 17 juin 1939, cependant les exécutions dans l’enceinte des prisons ont continué jusqu’en 1977. La dernière personne à

(1829) • Au XXe, Albert Camus dénonce un assassinat légal dans son œuvre l’Etranger (1942) • Abolition de la peine de mort en France en 1981 sous LE GOUVERNEMENT DE François Mitterrand, à la suite du discours de Robert Badinter à l’Assemblée Nationale. L’antisémitisme 2. Le discours Antisémite refait surface a la fin du XIX, surtout avec l’affaire Dreyfus (1894-1906). Un capitaine du nom d’Alfred Dreyfus, d’origine Alsacienne et de confession juive est accusé de trahison, sois disant

par l’humanisme et les réflexions philosophiques sur le droit et la légitimité qu’un homme puisse ôter la vie à un autre homme. Une seule voix est jusqu’à présent parvenue à égaler l’émotion de ses détracteurs dans son discours contre la peine de mort. Il s’agit de Robert Badinter, ministre de la Justice et principal initiateur de l'abolition de la peine de mort en France, puis dans le monde : Cliquez sur l'image pour accéder à l'ina.fr et visionner toutes les vidéos de l'Assemblée nationale