Robertiens

imposer une politique à long terme. ------------------------------------------------- Extinction de la dynastie[modifier | modifier le wikicode] L'affaiblissement de la dynastie carolingienne entraîne son éviction définitive du trône franc par les Robertiens en 987 à la mort de Louis V, l'extinction de la lignée suivant peu apres, avec la mort des fils du duc Charles de Basse-Lotharingie, Otton et Louis au début du XIe siècle. Avec les Herbertiens, la lignée carolingienne se perpétua cependant jusqu'au

Dissertation « Autorité royale et féodalité Xe- XIIe siècle » En 987, réunis à Senlis, l’archevêque de Reims Adalbéron et les grands choisirent comme roi un Robertien, Hugues Capet. Cette élection inaugure l’ère des rois dits de la troisième race : les capétiens. Entre l’avènement d’Hugues Capet et celui de Philippe II dit , Auguste, la monarchie capétienne révèle des caractères d’une royauté féodale. Seigneur parmi les seigneurs, le capétien doit d’accommoder d’une féodalité qu’il lui fait investir

pendant 1 siècle entre les carolingiens et les robertiens. En 888, Charles Le Simple est le carolingien susceptible d’accéder au pouvoir mais loin d’être une lumière et les princes territoriaux doivent élire un autre roi, Eudes qui appartient à la famille des robertiens qui se sont illustrés dans la lutte contre les invasions normandes. De 888 à 987 on a alternance entre les 2 familles et finalement en 987 c’est l’élection d’un certains Hugues Capet, robertien qui détenait un petit domaine entre Paris

Les grands du royaume décident d’élire un nouveau roi, qui s’appelle Ede et qui se trouve en dehors de la dynastie Carolingienne, c’est un descendant de la famille des Robertiens : Robert le Fort. Pendant un siècle il va y avoir une lutte entre les deux familles : les Carolingiens et les Robertiens. Et ça sera la victoire des Robertiens avec l’avènement d’Hugues Capet en 987. l’organisation politique et administrative de l’empereur le pouvoir de l’empereur La légitimation du pouvoir royal :

♦ Cette période s’étalant de la fin du IXème jusqu’à la fin du Xème va donc voir les forces centrifuges s’emparer de prérogatives que les incertitudes dynastiques avaient affaiblis. A la faveur des luttes entre les familles Carolingiennes et Robertiennes, les comtes (responsables administratifs locaux sous les carolingiens) vont accroitre leurs pouvoirs pour aboutir à une véritable autonomie vis-à-vis du titulaire du trône royal. Ces hommes ne se contentent plus d’être des administrateurs au service

887 Roi de France Empereur d'OccidentEudes Ier    ( Robertien ) 888  –  898Roi de FranceCharles III

| | | | | Rois de Francie Occidentale | | Louis V [note 1] (né vers 967- mort le 22 mai 987[1],[2]), fut roi des Francs de mars 986 à mai 987. Fils de Lothaire et d'Emma, il est le dernier des rois Carolingiens, le pouvoir passant aux Robertiens. Sommaire[masquer] * 1 Biographie * 2 Généalogie * 3 Notes et références * 3.1 Notes * 3.2 Références * 4 Bibliographie | Biographie[modifier] En 982, à Vieux-Brioude, (Haute-Loire, entre Clermont-Ferrand et le Puy), son père

royal comme une seigneurie mais une seigneurie que le roi tient d'aucun seigneur. Ce domaine royal est minuscule, il comprend les derniers restes du patrimoine carolingien autour de la ville de Laon et s'y ajoute les possessions personnelles des Robertiens qui sont situées entre la Seine et la Loire, plus précisement de la région de Senlis à celle d'Orleans. Mais cet ensemble de seigneuries ne forme pas un territoire d'un seul tenant car il y a des seigneuries indépendantes qui y sont enclavées comme

carolingiens en recourant à une élection d’un roi extérieur à cette branche. Ex : Robert le Fort combattra et s’illustrera contre les Vikings en cherchant à les repousser de la capitale. Les Grands choisiront un roi dans cette famille des Robertiens dont un membre imminent du royaume : Robert le Franc (qui porte une chape d’abélaïque) connu sous le nom d’Hugues Capet, élu au détriment du prétendant carolingiens. * La postérité politique de ce cercle des Grands sera donc absolument déterminante

comprendre cette dernière particularité, il faut revenir sur l’histoire plurimillénaire de ce pays. I – La monarchie capétienne La monarchie française est née au IXe siècle autour des possessions de modestes seigneurs de l’Île-de-France, appelés Robertiens, puis Capétiens. Il s’avère que cette région correspondait à une de celles dans lesquelles se développeait la langue d’oil. Pour autant, ces premiers monarques français n’eurent aucune politique linguistique, par manque évident de moyens certes