Role Décor Bel Ami

une gestuelle savamment organisée, par l'expressivité des visages et par la mise en place de paysages historiques composés avec rigueur. Ponctué de constructions ou de ruines antiques, organisé selon les règles de la perspective, le paysage sert de décor aux scènes pastorales, aux thèmes historiques ou mythologiques et exprime la force immuable de la nature face à la fragilité des destinées humaines, illustrée notamment par les peintures de « vanités ». C’est à partir du XVIIe siècle que l'artiste

jugement mélioratif ou péjoratif : beau, laid, grand, chauffard, un sot, mon lapin, mon petit chou..., EX : « Oh ! ma pauvre chérie, ma pauvre chérie… si j’avais su ! » Bel-Ami, P135 - Les diminutifs affectifs : ma mignonnette, mon garçonnet, ma fillette…, « Écoute, Clo, ma petite Clo, laisse-moi t’expliquer ! » Bel-Ami P141 ( Clo au lieu de Clotilde de Marelle) -Les adverbes de manière : heureusement, grandement, joliment, malheureusement… - Les interjections

INTRODUCTION [ phrase d'annonce, qui consiste à amener le sujet, le rôle de la description dans le roman] Qui ne s'est surpris à sauter des pages, à survoler, un passage descriptif de roman ? Et pourtant... la description mérite mieux qu'une lecture en surplomb. Car, décrire, c'est reconstruire le réel dans un discours qui sélectionne ses objets, ses thèmes. Décrire, c'est caractériser aussi ce que l'on peint. Pour ce qui concerne le roman, il s'agit de répondre à la double question : que veut

août 1850 au château de Miromesnil à Tourville-sur-Arques (Seine-Inférieure) et mort le 6 juillet 1893 à Paris. Comme ses collègues Gustave Flaubert et à Émile Zola, il a marqué la littérature française par ses six romans, dont Une vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, mais surtout par ses nouvelles comme Boule de suif en 1880, les Contes de la bécasse (1883) ou Le Horla (1887). Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique

une condition acceptée à l’avance. Voyez- vous, il faut comprendre qu’à cette époque-là, dans les années 1890, le sort c’était d’accepter de vivre sur des terres rocailleuses. Les habitants étaient satisfaits de cela. Qu’est-ce qui les charmait? Le décor, les lacs, les rivières, les montagnes, la chasse, la pêche et les bonnes soirées, les contes à la veillée, les danses à fond de train. Quand on pense que les fêtes commençaient le 25 décembre pour se terminer le Mardi gras!!! Ça, c’étaient des fêtes

muscles, d'une force extraordinaire, étaient retenus à l'intérieur et à l'extérieur par une lanière de peau parcheminée, les ongles jaunes, étroits, étaient restés au bout des doigts ; tout cela sentait le scélérat d'une lieue. "Figurez-vous, dit mon ami, qu'on vendait l'autre jour les défroques d'un vieux sorcier bien connu dans toute la contrée ; il allait au sabbat tous les samedis sur un manche à balai, pratiquait la magie blanche et noire (…) Toujours est-il que ce vieux gredin avait une grande

les informations sur la manière de le représenter sur scène. C'est la fonction du metteur en scène que de concevoir cette manière selon sa lecture et son interprétation du texte.Quelle gestuelle des acteurs ? Quelle diction ? Quels costumes, quel décor, quel bruitage, quelle lumière ? la mise en scène a pour but d'apporter des réponses concrètes à toutes ces questions. Toute représentation théâtrale est donc un spectacle. Dans le langage courant, l'expression « aller au spectacle » est d'ailleurs

La comédie sérieuse marque les rapports entre Dom Juan et Sganarelle. La farce Dom Juan  5 marque le jeu de Sganarelle. Le burlesque est également présent à travers Sganarelle. Ajoutons à cela le rôle des machines (deus ex-machina, l’intervention divine); mais aussi les changements de décor). ʟʟ À quoi tient donc l’unité de la pièce, au final ? Car tout entière en ruptures et en ambiguïtés, elle est bien loin de ce que préconisent les règles du théâtre classique. C’est une pièce baroque. Deux

tricher. On ne doit montrer que son visage. — Cette damnée Perrette Callebotte ! elle est capable de cela. — Noël ! Noël ! — J'étouffe ! — En voilà un dont les oreilles ne peuvent passer ! Etc., etc. Il faut rendre pourtant justice à notre ami Jehan. Au milieu de ce sabbat, on le distinguait encore au haut de son pilier, comme un mousse dans le hunier. Il se démenait avec une incroyable furie. Sa bouche était toute grande ouverte, et il s'en échappait un cri que l'on n'entendait pas, non

chassé d’un endroit dont il est le maître. Elmire, qui ignore la donation, s’étonne de l’embarras d’Orgon. ACTE V Scène 1 : Resté seul avec Cléante, Orgon confesse qu’il a remis à Tartuffe une cassette, contenant des papiers compromettants, confiés par un ami proscrit. Scène 2,3 et 4 : Furieux, Damis veut châtier l’imposteur. Seule, Mme Pernelle se refuse encore à croire Tartuffe coupable. M. Loyal, huissier, signifie à Orgon l’ordre d’expulsion. Scènes 5 et 6 : Mme Pernelle prend enfin conscience de l’imposture