Roman Empire

Au départ dynamique et novateur, l’idéal du bourgeois, centré sur le travail et la réussite industrielle, s’est peu à peu associé à une frilosité culturelle et à un conformisme de la pensé (peur de s’engager dans des entreprises risqué). Le second empire voit une morale bourgeoise s’installer, dont le personnage d’Homais est un parfait exemple. Le mode de pensée du bourgeois est étriqué (étroit) et matérialiste, et on y voit une sorte de rempart contre l’artiste. IL y a également dans les années

partir de sa posture d’observateur critique. Son observation l’amène à voir la politique comme sale et indigne. Se pose alors ici la question de l’attitude que l’auteur doit adopter face au réel. Il peut le dénoncer le comme le fait Flaubert dans ses romans, ou bien l’atténuer sous le voile de la bienséance, tel Madame de La Fayette dans la Princesse de Clèves. Par une écriture respectant les codes littéraires du XVIIe siècle, l’auteur montre les innombrables travers, influences, coalitions qui agitent

dans le roman d'asseoir les bases de l'intrigue de l'œuvre sur quelque chose qu'il connait, lui apporter un réconfort et une visualisation de l'environnement dans lequel le personnage ou les personnages vont fabriquer le roman. Le réalisme est moteur d'une grande partie de la littérature 5romanesque et de grands auteurs tels que Zola, Balzac ou encore Flaubert ont utiliser le réalisme pour légitimer leur roman, toutefois le rêve de Flaubert qui écrivait à Louise Collet était de faire un roman qui ne

constituant l’ouverture de L’Assommoir, c'est à dire qu’il doit tenir compte de certaines contraintes propres à un début de roman (fournir les informations et les repères nécessaires au lecteur). On étudiera donc comment Zola met ici en œuvre les règles de l’incipit romanesque. La nécessité de procurer des indications au lecteur est aussi une exigence caractéristique du roman naturaliste qui veut que le narrateur s’efface et donne l’impression que les faits sont livrés en toute objectivité. Cette

NOM : ZOLA Prénom : Emile Né le : 2 avril 1840 Lieu : Paris Mort le : 29 septembre 1902 Lieu : Paris « La vérité est en marche et rien ne l’arrêtera.  » Extrait de J’accuse «  Je ne suis de l'école du rien, ni dans le roman, ni dans le drame; je suis au contraire pour la passion, pour ce qui agit et ce qui émeut.  » «  J’entends le rythme de la phrase (…) je ne prépare pas la phrase toute faite ; je me jette en elle comme on se jette à l’eau, je ne crains pas la phrase ;

Intro : Marivaux, en 1742, fait paraître un roman qui raconte la vie de Marianne. Par définition, le roman est le genre de la fiction et du mensonge et il obtiendra ses lettres de noblesse un siècle plus tard en y faisant intervenir, justement, l’élément de réalité. Cependant Marivaux s’ingénie à nous faire croire que l’histoire qu’il va raconter est vraie : l’autobiographie de Marianne, sous la forme d’une lettre qu’elle aurait écrite à une amie, aurait été retrouvée, à l’occasion de travaux, «

torse ≫ → ≪ dos ≫ / ≪ face ≫ → ≪ gorge ≫ → ≪ rondeur des cuisses ≫ : balayage a la manière d'une camera). D'une certaine manière, le portrait de Nana au miroir est une mise en abyme de l’esthétique réaliste qui rappelle la citation de Stendhal ≪ un roman est un miroir ... ≫. II – Qui prend une dimension mythique et symbolique a – Nana : un symbole Nana = symbole du peuple (metaphore de la plante + expression

politique-industrielle Roman trouvait ses règles avec Balzac (exposition du Roman->Genre d’identification de la litt.) XIXesiècle : littérature romanesque (nouveau roman) Plan : I- XIXesiècle : 1) Le romantisme : a) Voyage en Orient b) Le mythe de Napoléon c) La révolution formelle du romantisme 2) Naissance du Roman a) Invention d’un genre b) Le héros romanesque face a la société II- XXe siècle : 1) Le surréalisme a) L’êtresurréaliste b) La poétiquesurréaliste 2) Développement et Mutation du Roman a) Les crises

romanesque Les Rougon-Macquart , histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire, un état des lieux sans concession de la France d’après le coup d’Etat, à la fois triomphante (côté Rougon) et vermoulue (côté Macquart). Le fils de Gervaise Macquart, Etienne est le héros de Germinal, l’opus consacré à la souffrance des mineurs en plein boom industriel. L’extrait ici étudie se situe à la toute fin du roman alors qu’Etienne et les mineurs ont conduit une grève durement réprimée. Le héros repart

romanciers français les plus populaires[1], les plus publiés, traduits et commentés au monde. Ses romans ont connu de très nombreuses adaptations au cinéma et à la télévision[N 1]. Sa vie et son œuvre ont fait l'objet de nombreuses études historiques. Sur le plan littéraire, il est principalement connu pour Les Rougon-Macquart, fresque romanesque en vingt volumes dépeignant la société française sous le Second Empire et qui met en scène la trajectoire de la famille des Rougon-Macquart, à travers ses différentes