Romantisme Nationalisme

Dalmatie, d'Istrie, de Fiume/Rijeka, mais aussi en réaction au communisme en pleine expansion. Le fascisme est alors le mouvement exalté, le mouvement d'un pays qui tente de retrouver une puissance perdue, un empire perdu, un honneur perdu. Le nationalisme, soutenu par la plupart des artistes de l'époque (Gabriele D'Annunzio, les futuristes italiens, tels Marinetti...) va être le fer de lance du fascisme. Le populisme de Benito Mussolini et la passivité (due à la pacification des milices des fascios

peintres majeurs du romantisme en peinture, qui est apparu au début du 19eme siècle, en France. En 1822, Delacroix, désireux de se faire un nom dans la peinture et de trouver une issue à ses difficultés financières, se présente pour la première fois au Salon officiel, avec différent tableau La Barque de Dante qui a aussi pour autre nom : Dante et Virgile aux Enfers Eugène Delacroix a aussi peint le tableau La liberté guidant le peuple en 1930. Le courant artistique Le romantisme est un mouvement

regroupement des opposants, s’il est encore balbutiant en Italie, est en revanche très fort en Allemagne, le Discours à la Nation Allemande de Fichte, prononcé en 1808 à l’université Humbolt de Berlin en étant un très bon exemple. L’influence du romantisme y est aussi palpable (notamment avec l’idée des frontières naturelles) De même, si les partisans de l’unité italienne ont été moins visibles pendant cette période, il n’en reste pas moins que le sentiment national y est très présent en 1848. L’article

l’intérêt pour l’héritage devint un élément doctrinal et stratégique qui détermina un des programmes d’action politique et culturelle les plus cohérents et les plus ambitieux de l’Espagne contemporaine. Son objectif était la construction d’un nationalisme catalan qui voulait “civiliser” les comportements publics par le truchement de la domination technique et culturelle. Ses aspirations “impérialistes” dépassaient la péninsule Ibérique et se tournaient vers le Levant de la tradition gréco-latine

En Allemagne. 1. Le nationalisme allemand. Le nationalisme allemand commence son ascension dès la fin du XVIIIème siècle. L’Allemagne n’existe pas encore en tant que telle, elle n’est qu’un conglomérat de petits états et certains recherchent une Allemagne unifiée avec un système libéral et démocratique. Avec la Révolution allemande de 1848, on pense avoir atteint cet objectif, mais c’est finalement un échec. C’est à partir de cet échec que le nationalisme allemand perd ses idéaux

et le Congrès de Vienne. (1815) Se termine par le début de la Première Guerre mondiale. (1914) (Période) Ce siècle a connu : Industrialisation (Forte productivité du travail dans les villes) Démocratisation (Pouvoir au peuple) Le nationalisme (Mouvement politique qui se base sur les valeurs du pays) Explosion démographique (Augmentation de taux de population) = Révolution démographique. 1804 : Napoléon Ier empereur 1848 : la IIe République 1870 : Guerre franco-prussienne, chute

gouvernement, ou l’État. Le mot « nationalité » : on parle du sentiment, de l’aspiration, du droit de nationalité au XVIII = revendication libérale et démocratique, s’oppose à l’ordre ancien, l’ordre dynastique. Potentiellement révolutionnaire. Le nationalisme n’apparaît que dans la seconde moitié du XIXe = exacerbation de la nation. À la fois défensive (égoïsme sacré des Britanniques) et agressive vis-à-vis des autres nations. N’est pas en usage en 1848. I. Évolution de la notion de nation 4

et protestantisme s’opposent également. * Du XVIIème siècle et jusqu’aux années 1920, l’Europe se déchire dans les domaines des idées et de la politique : * Lumières contre Ancien Régime ; * libéralisme contre autoritarismes ; * romantisme contre rationalisme Progressivement, les conflits entre Etats européens changent de nature. Jusqu’au XVIIIème siècle, ils opposent des dynasties de souverains ; puis ils se transforment en affrontements entre des nations. Les ambitions hégémoniques

Histoire Contemporaine Les constructions nationales en Italie, Allemagne et Autriche-Hongrie au XIXème siècle: nationalités, états-nations, nationalismes Voir l'ouvrage de Patrick Cabanel, La Question Nationale au XIXème Introduction et problématique à la construction des nationalités et des nations au XIXème. I – Définitions 1 – La Nation : l'idée française et allemande Dans le langage courant actuel, le mot peuple renvoie à la même notion que le mot nation. Mais au XIXème on parle de nation à cause

Robert Laffont, 1963. Plusieurs composantes s'unissent dans le fascisme, dont la plupart lui sont antérieures. Son originalité, c'est précisément de les associer. a) Une réaction de type nationaliste Le fascisme, c'est la réaction d'un nationalisme blessé, vaincu ou inquiet, selon les circonstances, contre l'humiliation de la défaite (Allemagne) ou contre le gaspillage de la victoire (Italie). Il trouve son milieu d'élection dans le pays vaincu : en Allemagne où il incarnera la protestation