Romantisme Voyageur Contemplant Une Mer De Nuages

artisans, des commerçants, des prêtres, des militaires, etc. C’est aussi l’époque où les cultures et les langues commencent à se différencier, et où on abandonne la pierre au profit du fer. Deux cultures principales : * Culture cardiale, près de la mer * Culture rubanée, dans les terres A. Habitat * Petites maisons circulaires en pierre, dotées de fondations. Les plus hautes sont destinées aux plus puissants. Les toits sont en chaume, les murs en argile, parfois il y a un étage.

ployer sous le vent et la vague battre le sable, je pensais à elle, et je reconstruisais dans mon cœur toutes les scènes où elle avait agi, parlé. Ces souvenirs étaient une passion ». Visite à Alfred Le Poittevin à Fécamp. « Non, le spectacle de la mer n’est pas fait pour égayer et inspirer des pointes ». Mercredi 27 septembre 1837 ? Vendredi 29 septembre 1837 (ou 1836) Septembre-Octobre 1837 Rentrée scolaire 1837 Dimanche 8 octobre 1837 Lundi 16 octobre 1837 Après la rentrée scolaire de 1837 Novembre-décembre

de sa tournure. Bel homme, hâbleur, faisant sonner haut ses éperons, portant des favoris rejoints aux moustaches, les doigts toujours garnis de bagues et habillé de couleurs voyantes, il avait l’aspect d’un brave, avec l’entrain facile d’un commis voyageur. Une fois marié, il vécut deux ou trois ans sur la fortune de sa femme, dînant bien, se levant tard, fumant dans de grandes pipes en porcelaine, ne rentrant le soir qu’après le spectacle et fréquentant les cafés. Le beau-père mourut et 7 laissa

tournure. Bel homme, hâbleur, faisant sonner haut ses éperons, portant des – 9 – favoris rejoints aux moustaches, les doigts toujours garnis de bagues et habillé de couleurs voyantes, il avait l’aspect d’un brave, avec l’entrain facile d’un commis voyageur. Une fois marié, il vécut deux ou trois ans sur la fortune de sa femme, dînant bien, se levant tard, fumant dans de grandes pipes en porcelaine, ne rentrant le soir qu’après le spectacle et fréquentant les cafés. Le beau-père mourut et laissa

tournure. Bel homme, hâbleur, faisant sonner haut ses éperons, portant des favoris rejoints aux moustaches, les doigts toujours garnis de bagues et habillé de couleurs voyantes, il avait l’aspect d’un brave, avec l’entrain facile d’un commis voyageur. Une fois marié, il vécut deux ou trois ans sur la fortune de sa femme, dînant bien, se levant tard, fumant dans de grandes pipes en porcelaine, ne rentrant le soir qu’après le spectacle et fréquentant les cafés. Le beau-père mourut et laissa peu

théâtre, Hoffmann occupe une place singulière dans le paysage romantique allemand. Il se situe davantage du côté de la fantaisie, du grotesque, de l’ironie, plutôt que du côté de la spéculation, cette fameuse dimension philosophique caractéristique du romantisme allemand. On le considère aussi comme l’un des pionniers du fantastique, par sa capacité à lire le quotidien de manière étrange et inquiétante. Hoffmann connaîtra un grand succès en France, et l’on peut citer parmi ses descendants Théophile Gautier

sont plus hautes les st sommets. 1. Quel adjecti f fériorité, d’égaliest au comparatif de supériorité, d’in2. Quel adjecti té ? ensemble ? f exprime une qualité par rapport à un est le plus élevé des que les Pyréné es. Phrases 1 Jeanne paraît la mer immob rêveuse. Jeanne, songeu ile gant, lui paraît et transparente. Julien,se, contemple fort séduisa jeune et éléreuse. nt. Elle est tombée amou- Phrases 2 Ce sommet est lade est assez peu élevé mais très escarpé. Son difficile. esca- a. Je condu

Racine, Bajazet D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 A. de Musset, Lorenzaccio TEXTE 3 J. Racine, Mithridate D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 V. Hugo, Ruy Blas ANALYSE D’IMAGE P. Picasso, Les Pauvres au bord de la mer TEXTE 1 D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 HISTOIRE DES ARTS Lecture de Bajazet A. Dumas, Antony G. Moreau, Œdipe voyageur T. Chassériau, Andromède B. Cellini, Persée P. Bruegel, La Chute d’Icare Mise en scène de Phèdre 47 48 49 50 51 51 52 53 54 54 54 54 55 55 56 Arts plastiques et mythes tragiques Exercices

de sa tournure. Bel homme, hâbleur, faisant sonner haut ses éperons, portant des favoris rejoints aux moustaches, les doigts toujours garnis de bagues et habillé de couleurs voyantes, il avait l’aspect d’un brave, avec l’entrain facile d’un commis voyageur. Une fois marié, il vécut deux ou trois ans sur la fortune de sa femme, dînant bien, se levant tard, fumant dans de grandes pipes en porcelaine, ne rentrant le soir qu’après le spectacle et fréquentant les cafés. Le beau-père mourut et laissa peu

Je l’embrassai. — Merci, Maman, de ta confiance. Je vais partir. — Où vas-tu aller ? Je songeai à Leila et répondis, sans réfléchir : — En Angleterre. 4 Comment parcourir des milliers de kilomètres lorsqu’on n’a pas un dinar ? Ce matin-là, les nuages, faute de pouvoir empêcher le soleil de se lever, le repoussaient avec mauvaise humeur, lui opposant leur inertie de plomb, laissant suinter une lueur sale, grise, pauvre de lumière autant que d’ombre. De ma salle de bains, par la lucarne, j’apercevais