Rondeaux

rime ou à la césure le mot cœur. Pour éviter la raideur, le poète fait varier le déterminant qui le précède, "mon cœur", "ce cœur", "un cœur" ainsi que la position du mot dans le vers. Tout se fait écho dans ce poème ciselé comme les ballades ou les rondeaux du Moyen-Âge qui jouaient avec virtuosité de ce phénomène.Les oppositions Il y a une double interrogation suivie d'exclamations qui semblent leur apporter la réponse. La pluie apaise-t-elle ou exacerbe-t-elle l'ennui ? laisse le lecteur dans l'indécision

but est désinteressé, on retrouve une forte érudition et une poésie descriptive à la forme parfaite. Les poètes du Parnasse s'inspirent des grands mythes et de l'archéologie antiques. Leurs poèmes sont à forme fixe et régulière (sonnets, ballade, rondeaux...) et ils recherchent le terme juste, proche de la perfection. Les grands parnassiens sont Théophile Gautier, Leconte de Lisle, Théodore de Banville et Sully Prudhomme. Les deux dernières strohes du poème "Vénus de Milo" tiré des Poèmes Antiques

le lyrisme. L’écriture est raffinée, elle développe un langage recherché qui exprime les tensions amoureuses. Parmi les grandes œuvres de la courtoisie, Tristan et Iseult, de Béoul, Le Roman de la Rose, de Guillaume de Lorris, les Ballades et rondeaux, de Charles d’Orléans.

des oeuvres est la beauté («l’art pour l’art») -la nature est traitée comme une peinture; -recherche des harmonies de couleurs et les effets de chatoiement (bijoux etc) -inspiration puisée dans l’archéologie. l’Antiquité Poésie -sonnets, ballades, rondeaux... -recherche du mot ou de l’expression juste (vers la perfection) -poésie aux lignes pures Leconte de Lisle (1818-1894) Th. Gautier (1811-1872) Hérédia (1842-1905)

mais également les doutes et aspirations du poète. Marc Antoine Girard de Saint Amant (1594- 1661) Poète baroque français.Saint-Amant mania un registre exceptionnel de formes et de genres poétiques, des épigrammes aux sonnets en passant par les rondeaux, les triolets, les élégies, les épîtres, les satires, les odes et le poème épique biblique (« Moyse sauvé », 1653). Jean de la Fontaine (1621-1695) Ecrivain français universellement connu pour ses fables. Il fut aussi l’auteur de contes, de poèmes

rime ou à la césure le mot cœur. Pour éviter la raideur, le poète fait varier le déterminant qui le précède, "mon cœur", "ce cœur", "un cœur" ainsi que la position du mot dans le vers. Tout se fait écho dans ce poème ciselé comme les ballades ou les rondeaux du Moyen-Âge qui jouaient avec virtuosité de ce phénomène. - Les oppositions Il y a une double interrogation suivie d'exclamations qui semblent leur apporter la réponse. La pluie apaise-t-elle ou exacerbe-t-elle l'ennui ? laisse le lecteur dans

Usage de l’ironie, qui implique le lecteur et provoque le rire en ridiculisant les positions de l’adversaire - Mélange des registres comiques et tragiques - Hyperbolique - Enjambements - Rythme ternaire en poésie - Sonnets - Ballades - Rondeaux - Hyperboles Auteurs: - Thomas More, Utopie (1516, traduit du latin en 1550) - Erasme, Eloge de la folie (1509, traduit du latin en 1520) - Marot, L’Adolescence clémentine (1523-1525) - Rabelais, Pantagruel (1532), Gargantua (1534) -

antique (Aristote, Horace) et admire la poésie de la renaissance italienne (pétrarquiste). Les formes anciennes sont alors remises au goût du jour mais servent désormais une conception poétique plus moderne:- Marot reprend les ballades et rondeaux médievaux sans pour autant les mettre au service d'une poésie épique : nouvelle poésie qui joue davantage sur les mots, l'art poétique devient quasi-artisanal. On voit donc que certains auteurs ne veulent pas un changement poétique et écrivent

rime ou à la césure le mot cœur. Pour éviter la raideur, le poète fait varier le déterminant qui le précède, "mon cœur", "ce cœur", "un cœur" ainsi que la position du mot dans le vers. Tout se fait écho dans ce poème ciselé comme les ballades ou les rondeaux du Moyen-Âge qui jouaient avec virtuosité de ce phénomène.Les oppositions Il y a une double interrogation suivie d'exclamations qui semblent leur apporter la réponse. La pluie apaise-t-elle ou exacerbe-t-elle l'ennui ? laisse le lecteur dans l'indécision

soupirs et ses tendres missivesAu mois de mai, qui rit dans les branches lascives,Et tous les billets doux de son amour bavard,Avaient laissé leur trace aux pages du buvard !Les oiseaux dans les bois, molles voix étouffées,Chantent des triolets et des rondeaux aux fées ;Tout semble confier à l’ombre un doux secret ;Tout aime, et tout l’avoue à voix basse ; on diraitQu’au nord, au sud brûlant, au couchant, à l’aurore,La haie en fleur, le lierre et la source sonore,Les monts, les champs, les lacs et les