Ronsard A Son Ame

I -Une évocation réaliste et baroque de la mort A - Une description réaliste de l'altération du corps Evocation insistante de son corps → champs lexical : "os", "bras", "oeil", "corps", "face", "yeux".  Ronsard nous propose une analyse clinique de la dégradation de son organisme Ronsard souffre en esthète → le quatrième vers évoque sa réticence à se regarder. B- Le constat douloureux de la dépossession de soi L’ouverture du sonnet sur l'hémistiche "je n'ai plus que les os" marque une profonde déperdition

un thème. Elle renvoit à ce qu’il voit et est purement subjectif. C’est la description de la vision de l’auteur retranscrit à travers ses mots. Ainsi, la poésie est sujet d’un travaille énorme au niveau linguistique. La poésie peut-elle être considérée comme le mouvement littéraire le plus approprié à l’expression des sentiments amoureux ? Dans un premier temps nous verrons en quoi la poésie est propice à l’expression des sentiments amoureux puis nous nous attacherons à démontrer en quoi les

TRAVAIL A FAIRE DANS LE CAHIER DE LECTURE : Lisez dans le chapitre I] L'Ecole lyonnaise, un poème par poète, au choix, et répondez à la question qui figure sous les poèmes choisis. Dans le chapitre II] lisez un poème par recueil de Du Bellay, un poème par recueil de Ronsard ainsi que le sonnet de Pétrarque et répondez aux questions (le titre des recueils est signalé en bleu).Cherchez la définition et les caractéristiques d'une ode, d'un

intermédiaires entre dieu et les hommes. Dans l’antiquité romaine, l’amour commence à prendre place avec Catulle et Oride. Au moyen-Âge, la femme est idéalisée et doit être mérité par des conquêtes. Puis au XIVème siècle Pétraque introduit une dimension religieuse à l’amour. * Enfin, au XVIème siècle les textes de Platon sont découverts ; ceux-ci mettent en évidence une conception du véritable amour. * Il y a donc une évolution importante de l’antiquité grecque jusqu’au XXème siècle. *

dames du temps jadis, François Villon ¤ Odes : - Ode à Cassandre, Pierre De Ronsard - Le printemps, Pierre De Ronsard ¤ Sonnets : - La cloche du soir, Jules Vernes - Quand par le dur hiver..., Jules Vernes Rondeau de printemps Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie, Et s'est vêtu de broderie, De soleil luisant, clair et beau. Il n'y a bête ni oiseau Qu'en son jargon ne chante ou crie : Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie.

conseils:  - « Une charogne » est l’un des poèmes condamnés par la justice (en 1857) à être supprimés du recueil Les Fleurs du Mal. - Citation à retenir : « Un outrage a la morale publique et aux bonnes mœurs » - critique faite a Baudelaire sur Les Fleurs du Mal, plus précisément au sujets des pièces condamnés par la justice. - Ambivalence de la femme pour Baudelaire: à la fois beauté naturelle et artificielle ; à la fois innocence et perversité ( la femme est double et ambiguë pour le poète. -

 » est l’un des poèmes condamnés par la justice (en 1857) à être supprimés du recueil Les Fleurs du Mal. - Citation à retenir : « Un outrage a la morale publique et aux bonnes mœurs » - critique faite a Baudelaire sur Les Fleurs du Mal , plus précisément au sujets des pièces condamnés par la justice. - Ambivalence de la femme pour Baudelaire: à la fois beauté naturelle et artificielle ; à la fois innocence et perversité ( la femme est double et ambiguë

conseils:  - « Une charogne » est l’un des poèmes condamnés par la justice (en 1857) à être supprimés du recueil Les Fleurs du Mal. - Citation à retenir : « Un outrage a la morale publique et aux bonnes mœurs » - critique faite a Baudelaire sur Les Fleurs du Mal, plus précisément au sujets des pièces condamnés par la justice. - Ambivalence de la femme pour Baudelaire: à la fois beauté naturelle et artificielle ; à la fois innocence et perversité  la femme est double et ambiguë pour le poète. - Qui

Sommaire Préface………………………………………………………………………………… p 3-4 « Arrivé dedans Rome… » …………………………………………………………….. p 5 Jacques Grévin Sonnet à Marie…………………………………………………………………………. p 6 Pierre de Ronsard « Assieds-toi sur le bord… » ………………………………………………………….. p 7 Jean-Baptiste Chassignet « Hélas ! Qu’est ce de l’homme orgueilleux… » ……………………………… p 8 Jean Auvray A mes amis……………………………………………………………………………… p 9 Evariste de Parny Le ballet des heures…………………………………………………………………. p 10 Gérard de Nerval

ANTHOLOGIE Thème : LA MORT JE N’AI PLUS QUE LES OS Ronsard 1584 Je n’ai plus que les os, un squelette je semble,  Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé,  Que le trait de la mort sans pardon a frappé ;  Je n’ose voir mes bras que de peur je ne tremble. Apollon et son fils, deux grands maîtres ensembles,  Ne me sauraient guérir, leur métier m’a trompé.  Adieu, plaisant soleil, mon œil est étoupé,  Mon corps s’en va descendre où tout se désassemble. Quel