Ronsard Hé Que Voulez Vous Dire

Thème Poésie : Hé que voulez-vous dire ? de Pierre de Ronsard (1524-1585) -éléments d’explicationExemple d’introduction : Le genre poétique consiste en un écart par rapport au langage courant et en un support du lyrisme ? Les poètes du XVIe siècle affectionnent particulièrement les formes fixes tels que le rondeau ou le sonnet. En 1556, Pierre de Ronsard écrit de poème : Hé que voulez-vous dire ? , dans lequel il ravive plusieurs thèmes dont le stéréotype de l’amante cruelle, en s’appuyant sur la

Idée principale : Toute chose s’aime dans la nature au printemps. ISecondaire1 : Effet, les oiseaux dont l’auteur montre à la fille s’aime beaucoup. 1) Exemple : Ronsard énumère plusieurs oiseaux qui manifestent l’amour. Citation : « Voyez les passereaux/ Qui démènent l’amour : voyez la colombe aux, / Regardez le ramier, voyez la tourterelle. » (v.2-4) Explication : La répétition du mot «voyez » dans la première strophe (v.2-3-4) crée un effet d’insistance par l’auteur. Il insiste sur

PIERRE DE RONSARD (1524-1585) « HÉ QUE VOULEZ-VOUS DIRE ? » « Hé que voulez-vous dire ? » êtes-vous si cruelle De ne vouloir aimer ? Voyez les passereaux1 Qui démènent2 l'amour : voyez les colombeaux3, Regardez le ramier4, voyez la tourterelle5. Voyez deçà delà d'une frétillante aile Voleter par les bois les amoureux oiseaux, Voyez la jeune vigne embrasser les ormeaux6, Et toute chose rire7 en la saison nouvelle : Ici, la bergerette8, en tournant son fuseau Dégoise9 ses amours, et là,

regroupe sept poètes dont les deux chefs de file se trouvent être Du Bellay et Ronsard. Ce dernier est très certainement le plus célèbre de la Pléiade, ainsi que le poète le plus reconnu à son époque. Ses recueils de sonnets amoureux sont toujours dédiés à une femme. La Continuation des amours s'adresse ainsi à une jeune femme, paysanne, prénommée Marie. Ce sonnet est un alexandrin régulier et de type CC DEED. Ronsard cherche à convaincre Marie de la nécessité de l'aimer et d'aimer de manière bien

romantique la source du salut et de l’inspiration. De plus, Le poète est souvent un être malheureux, mais l'amour n'est pas la seule cause de son désarroi. Quoi qu'il en soit, il est légitime de transcrire ses souffrances dans ses créations, amenant donc à dire que ses poésies expriment des sentiments personnels. Mais pourquoi faudrait-il que les sentiments exprimés soit toujours issus d’expériences tristes et douloureuses ? Victor Hugo a écrit « L’art d’être grand-père » un recueil de poèmes dans lequel

Stances de Rodrigue » Le Cid, p. 195 - Cyrano de Bergerac, extrait de l’autre Monde, p.124-125 Etude du tableau baroque de Piazzetto L’Assomption de la Vierge Rapprochement de différents poèmes traitant la notion du carpe diem : Ronsard : « Hé que voulez-vous dire ? », Nouvelle continuation des amours Lecture(s) cursive(s) et documents complémentaires (en particulier iconographiques) Colletet : « Claudine, avec le temps », Amours de Claudine Baudelaire : « Remords posthume », Fleurs du Mal

Anthologie de poèmes Préface Il n'est peu dire que la poésie est universelle: elle parle à tous, il s'agit d'une des plus anciennes formes littéraires. Elle a d'abord été un recours a l'expression d'une histoire des hommes ou des dieux au Moyen Age mais elle a beaucoup évoluée avec les époques; elle a connu de multiples mouvements et courants littéraires comme le baroque, la préciosité ou le symbolisme. Cette anthologie comprend 30 poèmes, classés par siècles, tous biens différents. J’ai choisi

contraire que les personnages tragiques, c'est-à-dire ceux dont le malheur fait la catastrophe de la tragédie, ne soient ni tout à fait bons, ni tout à fait méchants. Il ne veut pas qu'ils soient extrêmement bons, parce que la punition d'un homme de bien exciterait plus l'indignation que la pitié du spectateur ; ni qu'ils soient méchants avec excès, parce qu'on n'a point pitié d'un scélérat. Il faut donc qu'ils aient une bonté médiocre, c'est-à-dire une vertu capable de faiblesse, et qu'ils tombent

pensées. SOSTRATE. — Non, Sostrate, je ne vois rien où tu puisses avoir recours, et tes maux sont d'une nature à ne te laisser nulle espérance d'en sortir. CLITIDAS. — Il raisonne tout seul. SOSTRATE. — Hélas! CLITIDAS. — Voilà des soupirs qui veulent dire quelque chose, et ma conjecture se trouvera véritable. SOSTRATE. — Sur quelles chimères, dis-moi, pourrais-tu bâtir quelque espoir, et que peuxtu envisager, que l'affreuse longueur d'une vie malheureuse, et des ennuis à ne finir que par la mort? CLITIDAS

montrer que rien n’est immobile dans le poème. Baudelaire voit la femme comme un idéal, la femme rêvée, respectable comme nous le voyons dans « portrait de maîtresses » quand il dit : « elle avait une manière douce, rêveuse, anglaise et romanesque de dire : « j’ai faim ! » et elle répétait ces mots jours et nuits en montrant les plus jolies dents du monde, qui vous eussent attendris et égayés à la fois ».De l’autre côté, il considère la femme comme vulgaire, une femme que ‘on peut haïr ou adorer, que