Rosaire

levait dès l'aube, pour ne pas manquer la messe, et travaillait jusqu'au soir sans interruption ; puis le dîner étant fini, la vaisselle en ordre et la porte bien close, elle enfouissait la bûche sous les cendres et s'endormait devant l'âtre, son rosaire à la main. Personne, dans les marchandages, ne montrait plus d'entêtement. Quant à la propreté, le poli de ses casseroles faisait le désespoir des autres servantes. Econome, elle mangeait avec lenteur, et recueillait du doigt sur la table les miettes

onirique du roman poétique de Novalis, comme la « Rose des Alpes » s’apparente à toutes les couronnes que Nerval tresse au front des figures féminines, fleur de la régénération, de l’éphémère et de l’éternel, cœur du Christ, rosace des cathédrales, rosaire de Marie, rose rouge d’Aphrodite ou blanche d’Athéna. Si le poète échoue, la fleur idéale affirme que l’œuvre aura romantisé le monde : Meine Geliebte ist die Abbreviatur des Universums, das Universum die Elongatur meiner Geliebten. (Ma bien-aimée

littérature orale car le petit Juan est élevé par sa mere dans le respect et la pratique de la religion: « sa mere voulait qu'il füt dévot comme elle( ... ] a force de caresses et de friandises, [elle] obligeait l'enfant a apprendre les litanies, les rosaires, enfin toutes les prieres obligatoires et non obligatoires. Elle l'endormait en lui lisant la légende »4, c'est-11-dire La Légende dorée, recueil de vies de saints composé au XIIIe siecle par Jacques de Voragine : histoire médiévale et récit oral

de la chapelle. Il y resta les bras croisés, comme les ont presque toujours, dans les églises, les hommes qui n'y viennent pas pour prier et qui veulent pourtant y avoir une attitude convenable et grave. Plusieurs dames de la congrégation du Saint-Rosaire, alors en oraison autour de cette chapelle, si elles avaient remarqué cet homme, n'auraient pu le distinguer autrement que par je ne dirai pas l'impiété, mais la non piété de son attitude. D'ordinaire, il est vrai, les soirs de confession, il y avait

grande vitalité, avec l’augmentation des dévotions. Un exemple de culte qui se développe à la fin du Moyen-âge, le culte de l’immaculée conception. Cette croyance se développe sous l’impulsion des Franciscains. Autre culte, celui de la dévotion du rosaire, également influencé par les Franciscains. Autre exemple, le chemin de croix pratiqué pendant le carême. On assiste à une inventivité de la foi traditionnelle. Se pose alors la question de la réformation. Pourquoi ? Une question que se posait en

levait dès l'aube, pour ne pas manquer la messe, et travaillait jusqu'au soir sans interruption ; puis, le dîner étant fini, la vaisselle en ordre et la porte bien close, elle enfouissait la bûche sous les cendres et s'endormait devant l'âtre, son rosaire à la main. Personne, dans les marchandages, ne montrait plus d'entêtement. Quant à la propreté le poli de ses casseroles faisait le désespoir des autres servantes. Econome, elle mangeait avec lenteur, et recueillait du doigt sur la table les miettes

levait dès l’aube, pour ne pas manquer la messe, et travaillait jusqu’au soir sans interruption ; puis le dîner étant fini, la vaisselle en ordre et la porte bien close, elle enfouissait la bûche sous les cendres et s’endormait devant l’âtre, son rosaire à la main. Personne, dans les marchandages, ne montrait plus d’entêtement. Quant à la propreté, le poli de ses casseroles faisait le désespoir des autres servantes. Économe, elle mangeait avec lenteur, et recueillait du doigt sur la table les miettes

levait dès l'aube, pour ne pas manquer la messe, et travaillait jusqu'au soir sans interruption ; puis, le dîner étant fini, la vaisselle en ordre et la porte bien close, elle enfouissait la bûche6 sous les cendres et s'endormait devant l'âtre, son rosaire à la main. Personne, dans les marchandages, ne montrait plus d'entêtement. Quant à la propreté le poli de ses casseroles faisait le désespoir des autres servantes. Econome, elle mangeait avec lenteur, et recueillait du doigt sur la table les miettes

artistiques de la cité : l’arrivée de Léonard de Vinci (1500) et la découverte des « mouvements de l’âme », la représentation dramatique des sentiments ; le second séjour de Dürer (1504) qui ouvre d’autres horizons avec une œuvre comme la Fête du Rosaire , peinte pour la communauté allemande à Venise, le Fondaco dei Tedeschi. La Vénus d’Urbain du Titien 16 / 37 TPE / Diffusion de la peinture humaniste à travers l’Europe 6. Giovanni Bellini (1425_1516): Est un peintre italien de la Renaissance

95 Saint-Ouen-l'Aumône Lycée technologique Jean Perrin u 95 Saint-Witz Lycée Léonard de Vinci n 95 Sannois Lycée Notre-Dame u 95 Sarcelles Lycée de la Tourelle u 95 Sarcelles Lycée Jean-Jacques Rousseau n 95 Sarcelles Lycée La Salle-Saint Rosaire u 95 Taverny Lycée Jacques Prévert u 95 Taverny Lycée Louis Jouvet u 95 Vauréal Lycée Camille Claudel Anglais u 78 Montigny-le-Bretonneux Lycée Nombreux établissements Arabe u 78 Sartrouville Lycée Evariste Galois u 91 Les