Roset

soirée, contrariée, Perdican emmène souper au château la jeune paysanne Rosette, sœur de lait de Camille. Le baron est consterné d'apprendre que son fils fait la cour à une simple paysanne. Acte II Camille annonce à Perdican qu'elle doit et veut partir " irrévocablement". Elle demande à dame Pluche de faire parvenir à son cousin un billet pour le convier à un rendez-vous. Perdican continue de rendre Camille jalouse avec Rosette. Il se rend cependant à l'invitation de sa cousine. Camille lui révèle

par hasard sur cette lettre.       Blessé, il décide de séduire Rosette, une paysanne et sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre Camille jalouse. Il donne un rendez-vous à Camille pour qu’elle assiste à la scène.       Camille apprend par sa gouvernante, Dame Pluche, que Perdican a la lettre. Elle comprend ainsi la cause de son comportement et élabore elle aussi un stratagème pour lui montrer son erreur. Elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle et qu'il ne l'aime pas, en lui faisant

Nous verrons que les paroles de Perdican ont plusieurs destinataire puis nous étudierons les stratégies utilisé par Perdican pour persuader Rosette de l'aimer. Dans un premier temps, la didascalie initiale nous apprends une vengeance entre les jeunes couples. Le rôle de Camille est spectatrice elle n'intervient pas dans les discours de Perdican et Rosette, Elle est cachée à part pour entendre leurs voix, on peut l'identifier grâce a ses sentiments de curiosité, en effet elle se pose des questions

détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, en lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène. Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican avait lu sa lettre, et comprend ainsi son comportement. Par vengeance, elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle. Rosette, s’aperçoit de la méprise et perd connaissance. Ils s'avouent finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en

AÏTA-GENTIS Pierre2nd4Alfred de Musset, On ne badine pas avec l’amour 1- Alfred de Musset est un poète et un dramaturge français. C’est un lycéen brillant, Alfred de Musset abandonne ses études supérieures pour se consacrer à la littérature. Dès l'âge de 17 ans, il fréquente les poètes du Cénacle de Charles Nodier et publie à 19 ans, son premier recueil poétique qui révèle son talent. En décembre 1830, sa première comédie " La Nuit Vénitienne " est un échec qui

compte les marier. Perdican, fils du Baron, revient de Paris où il a fait ses études et Camille, nièce du Baron, sort du couvent. Le premier contact est froid, Camille se montre distante au désespoir du Baron (acte I). Percican fait donc la cour à Rosette, jeune paysanne, sœur de lait de Camille.Il cherche cependant à comprendre l'attitude de Camille qui lui confie qu'elle veut devenir religieuse. En effet, elle a été influencée par des sœurs qui sont entrées dans les ordres par dépit, trompées ou

mariage est déjà prévu. Mais avec l'arrivée de Rosette, et les doutes de Camille, Perdican ne sait plus très bien quoi penser. D'un côté, il est épris de Camille à qui il est destiné depuis l'enfance, et de l'autre, il est attiré par Rosette qui, malgré son rang de paysanne, arrive à le séduire par son naturel est sa fraîcheur. Comme Camille ne semble pas être attirée par lui et de plus, elle compte rentrer au couvent, celui-ci décide d'épouser Rosette. Cependant, c'est davantage par jalousie et dépit

dominer et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre Camille jalouse. Il donne un rendez-vous à Camille pour qu'elle assiste à la scène. Camille apprend par sa gouvernante, Dame Pluche, que Perdican a lu sa lettre à la religieuse. Elle comprend ainsi la cause du comportement de Perdican et élabore un stratagème pour le confondre et lui montrer son erreur. Elle affirme à Rosette que Perdican se moque d'elle et qu'il ne l'aime

sonincapacité à comprendre qui est réellement l’auteur des critiques. Pour les deux autres paysannes Fanchette et Rosette leurs naïveté et déjà comprise dans leurs nom avec le suffixe « -ette » leurscomportement et aussi la conséquence de leurs simplicités en effet quand Figaro demande si Fanchette les espionnes elle trouve comme seule excuse que c’est « malhonnête ». Quant à Rosette un rien la «chagrine », elle parle « du temps », « des fleurs », « des chevaux » puis des « ses bonnets ». Tous ces

provenant de ganglions ou des amygdales obtenus par exérèse chirurgicale. Plusieurs techniques sont utilisées pour séparer les lymphocytes et les sous-populations lymphocytaires: centrifugation simple ou en gradient de densité, les techniques de rosettes, l'adhérence spécifique et non spécifique, les séparations magnétiques, etc. Cependant les technologies utilisant des anticorps monoclonaux et les principes de la cytométrie de flux intégrés dans un trieur de cellules (L'analyseur-trieur de cellules