Route de la soie

elle avait un toit supporté par quatre montants de fer où s'attachaient des rideaux qu'on avait relevés pour voir le paysage. Celui de derrière, seul, flottait au vent, comme un drapeau. La femme, à côté de son époux, s'épanouissait dans une robe de soie cerise extraordinaire. Ensuite, sur deux chaises, se tenaient une vieille grand-mère et une jeune fille. On apercevait encore la chevelure jaune d'un garçon qui, faute de siège, s'était étendu tout au fond, et dont la tête seule apparaissait. , Après

géographique des portugais et plus généralement des Européens. A/ Un projet soutenu par le roi du Portugal : rejoindre les Indes par la mer 1/Le contexte historique et les objectifs de l’expédition Depuis la prise de Constantinople en 1453, la route de la soie, et celle des épices très prisées par l’occident mais aussi de l'encens, du camphre et de beaucoup d'autres drogues et substances employées dans les cérémonies religieuses, dans la pharmacopée et dans la lutte quotidienne contre les mauvaises

elle avait un toit supporté par quatre montants de fer où s’attachaient des rideaux qu’on avait relevés pour voir le paysage. Celui de derrière, seul, flottait au vent, comme un drapeau. La femme, à côté de son époux, s’épanouissait dans une robe de soie cerise extraordinaire. Ensuite, sur deux chaises, se tenaient une vieille grand-mère et une jeune fille. On apercevait encore la chevelure jaune d’un garçon qui, faute de siège, s’était étendu tout au fond, et dont la tête seule apparaissait. Après

elle avait un toit supporté par quatre montants de fer où s’attachaient des rideaux qu’on avait relevés pour voir le paysage. Celui de derrière, seul, flottait au vent, comme un drapeau. La femme, à côté de son époux, s’épanouissait dans une robe de soie cerise extraordinaire. Ensuite, sur deux chaises, se tenaient une vieille grandm ère et une jeune fille. On apercevait encore la chevelure jaune d’un garçon qui, faute de siège, s’était étendu tout au fond, et dont la tête seule apparaissait. Après

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impérial ordonne que ça soit le gouvernement chinois qui fixe les prix des marchandises et que les commerçants étrangers n’auront ni le droit de s’installer selon leur gré, ni le droit d’apprendre le chinois. La Chine exporte principalement du thé, de la soie et de la porcelaine. En échange elle demande de l’argent et des produits de luxe n’ayant pas besoin de ressources et de produits basiques puisqu’elle est autosuffisante. Il est donc très difficile mais nécessaire de commercer avec la Chine car elle

avait un toit supporté par quatre montants de fer où s'attachaient des rideaux qu'on avait relevés pour voir le paysage. Celui de derrière, seul, flottait au vent, comme un drapeau. La femme, à côté de son époux, s'épanouissait dans une robe de soie cerise extraordinaire. Ensuite, sur deux chaises, se tenaient une vieille grand-mère et une jeune fille. On apercevait encore la chevelure jaune d'un garçon qui, faute de siège, s'était étendu tout au fond, et dont la tête seule apparaissait.

les champs. » pages 28-29. Marie-Amanda est aussi une inspiration. Elle est « Semblable à un phare, haute, lumineuse et fidèle, toute blanche de clarté, elle se dresse au milieu de la nuit et de la tempête des êtres pour indiquer à chacun la bonne route. » page 203. Angélina, infirme physiquement, possède une force de caractère reconnue. Un homme dit d'elle : « [...] un peu rétive, [...] pas commode à fréquenter. Ni belle, de reste, [...]. Mais travaillante et ménagère, comme il s'en voit rarement

sociaux : Rousseau : « Je méditais donc sur le triste sort des mortels flottant sur cette mer des opinions humaines, sans gouvernail, sans boussole, et livrés à leurs passions orageuses, sans autre guide qu’un pilote inexpérimenté qui méconnaît sa route »p53 Shakespeare : Macbeth tue le roi sans aucune considération des lois morales et sociales, ne le précise-t-il pas lui-même en les présentant comme des raisons qui doivent le retenir face à la tentation du mal quand il se dit : « … Il est ici

produits. Les villes se créèrent donc pour pouvoir se fournir de tout ce que les marchands apportaient. Ceux-ci voyageaient en charrettes ou en bateaux, et donc les villes se sont formées aux carrefours de plusieurs routes ou aux carrefours d’une route et d’un cours d’eau navigable. Des commerçants se sont alors installés dans les villes en ouvrant leurs commerces. Quelques industries (céramique, armurerie) firent augmenter la population des villes car des ouvriers venaient s’installer dans les