Royaume d'Aquitaine

des juristes français, XIIe-XXe siècle, PUF, « Quadrige », 2007. Agnès BABOT, Agnès BOUCAUD-MAITRE, Philippe DELAIGUE, Dictionnaire d’Histoire du Droit et des institutions publiques, Ellipses. Lucien BELY (dir.), Dictionnaire de l’Ancien Régime. Royaume de France, XVIe-XVIIIe siècle, PUF, « Quadrige », 2002. François BLUCHE (dir.), Dictionnaire du Grand Siècle, Fayard, 1990. Loïc CADIET (dir.), Dictionnaire de la Justice, PUF, 2004. Olivier CAYLA, Jean-Louis HALPERIN (dir.), Dictionnaire des

Capet n'intervient jamais au sud du royaume. Son autorité est limitée au domaine royal, les biens matériels et les vassaux directs sur lesquels il exerce un pouvoir direct. Les premiers Capétiens ne possèdent qu'un domaine peu étendu, réduit pour l'essentiel à une zone entre Beauvais et Orléans, vestige du duché de France de Robert le Fort. Par une politique habile de la plupart d'entre eux, ils assureront la croissance du domaine royal. Face aux grands du royaume quasi-indépendants, ils possèdent

(XVI-XVIIIème), répartis sur un territoire de centaines milliers de km² en croissance continue, sur une longue durée de trois siècles. Ainsi, pour reprendre une formule souvent utilisée, l’histoire des campagnes est bien la véritable histoire du royaume . La paysannerie constitue l'écrasante majorité, soit plus de 85% de la population (estimée) d'environ 13 millions de personnes au début du XVIème, et de 15 millions à sa fin. Elle retombe ensuite à 14 millions de personnes à la fin du règne de

(1095 - 1099) 3.1.1 La croisade populaire 3.1.2 Le voyage des chevaliers vers Jérusalem 3.1.3 Créations des États latins d'Orient 3.2 La deuxième croisade (1147 - 1149) 3.2.1 L'échec de la deuxième croisade 3.2.2 Saladin et la chute du premier royaume de Jérusalem 3.3 La troisième croisade (1189 - 1192) 4 Les croisades du XIIIe siècle, déviation et impuissance 4.1 La quatrième croisade (1202 - 1204) 4.1.1 La prise de Constantinople par les croisés 4.1.2 Les responsabilités 4.2 La cinquième

Chapitre : 1 L’établissement de la monarchie franque Section 1 : Données historiques Paragraphe 1 / Les invasions germaniques et la constitution du royaume franc Le terme « invasion » peut porter à confusion, ce ne sont pas des conquêtes de la part des peuples barbares, mais plutôt des migrations. Ces peuples ne se sont pas limités à habiter en Gaule, certains n'ont fait que

Chapitre 1 : Le pouvoir. A cette période existe­t­il un royaume de France? La seule réalité qui correspond au mot France et un morceau de Terre encadré par la Seine, la  Meuse, Lescaux. Toutefois le domaine de France n'a pas disparu, les Capétiens restent rois de  France, mais ce sont des rois très faible. Malgré leur faiblesse ils représentent toujours l'autorité  souveraine. Lorsque Hugues Capet est élu roi de France, le royaume est morcelé en une quinzaine de grand  domaines gouverné par des dynasties héréditaire

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vainqueur des Wisigoths et de leur roi Alaric II. Clovis a été le plus grand des mérovingiens, il a fondé le royaume et choisit Paris pour capitale. Il meurt en 511 et à partir de là le royaume est partagé entre ses fils c’est la coutume germanique. Ca va être le point de départ du déclin des mérovingiens. Les querelles familiale interne vont affaiblir la dynastie cela va briser l’unité du royaume. Les aristocrates, les leudes, les seigneurs vont en profiter pour prendre de plus en plus de pouvoir.

entre le souci de leurs intérêts propres et de la continuité de leur domination, et celui du bien être de l’État, la « res publica » ; cela pour une raison toute simple : la proximité avec les structures de gouvernement, au fur et à mesure que le royaume franc « s’étatise », se révèle toujours plus décisive dans la maîtrise des mécanismes qui assurent la reproduction de ces élites. Cette notion d’ « élites » est elle-même issue de la sociologie politique et s’est formée de façon polémique contre le

Francie occidentale », officialisé au traité de Verdun en 843 pour désigner la partie occidentale de l'empire carolingien, suite à son morcellement. Dès juin 1205, le territoire est désigné dans les chartes sous le nom de regnum Franciæ, c’est-à-dire royaume de France[2],[3]. L'occupation humaine du territoire correspondant aujourd'hui à la France est fort ancienne. Aux groupes présents depuis le Paléolithique et le Néolithique sont venues s'ajouter, jusqu'au premier millénaire, des vagues de peuplement