Rue Garibaldi

I. Un incipit naturaliste 1. Un cadre spatio-temporel précis Le lieu : l’action se situe dans « le vaste Paris » (l. 4), et plus précisément « place Gaillon » (l. 6), « à l’encoignure de la rue de la Michodière et de la rue Neuve-Saint-Augustin » (l. 15). Le temps : « huit heures sonnaient à Saint-Roch » (l. 17), « douce et pâle journée d’octobre » (l. 16-17). La date n’est pas précisée, mais on comprend que l’action se déroule au xixe siècle, puisqu’il est fait mention du train. 2. Présentation

l'extrême: la Bohème. Une sorte de philosophie ou de façon dépenser. Irradiant depuis le quartier Latin et plus particulièrement les mansardes de la rue des cannetes, la Bohème, en ne faisant plus qu'un avec le monde des artistes, Paris est alors réputé pour sa culture Bohème. Montmartre, le Moulin Rouge, le café d'Harcourt la rue de la Tour D'Auvergne et la rue des Martyrs, le qu'aient des fleurs sur l'île de la cité, tous ces lieux inspirent la débauche et la perdition pour les plus réticents, mais

l'évocation des souvenirs comme cité en 1 ; amis surtout par l'emploi d'un vocabulaire simple et enfantin qui sonne très bien, dans le champ lexical du bonheur : « épanouie, ravie , souriais... » 3.Le cadre est défini précisément ici « Brest » « Rue de Siam » et le lien qui unis chaque lieu dont parle Prévert est la pluie « il pleuvait sur Brest » « sous la pluie » « sous un porche il s'abritait » Cette plui est toujours rattachée à des adjectifs heureux, tout paraît beau malgré une pluie, qui

 Texte 1 – A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus

Émile Zola Thérèse Raquin Chapitre I Le premier chapitre de Thérèse Raquin décrit d’abord le passage du Pont-Neuf, une sorte de corridor étroit et sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine. Après avoir présenté ces lieux sinistres, le narrateur dépeint la boutique de Thérèse et ses habitants ...Le soir, trois becs de gaz, enfermés dans des lanternes lourdes et carrées, éclairent le passage. Ces becs de gaz, pendus au vitrage sur lequel ils jettent des taches de clarté fauve, laissent

-Parfums et cosmétiques ; -Montres et joaillerie ; -Distribution sélective.  Développement et expansion : Louis Vuitton (le fondateur de la marque) voit le jour le 4 août 1821. C’est en 1854 que la marque est fondée. Le premier magasin voit le jour rue Neuve-des-Capucines à Paris près de la Place Vendôme. Sa première création fut la malle plate. Part ailleurs, Moët et Chandon fut crée en 1743. Cette grande enseigne du champagne et des vins les plus fabuleux constitue à eux seuls les premiers Grands

manière de peindre des scènes de rue puis deuxièmement, exposer la vie du commun des mortels. Dans certains de ses poèmes, l’un des thèmes abordés par Prévert dans son recueil Paroles, c’est le quotidien. En effet, dans certains de ses poèmes tels que « Déjeuner du matin », « La rue de Buci maintenant » ou « Le message », Prévert énumère des actions quotidiennes mais situées dans des contextes différents. Ce dernier peut aussi bien décrire des scènes de la rue, se situant souvent dans un endroit

Fête Nationale du 30 juin 1878 par Claude Monet [pic] La Rue Montorgueil est un tableau réalisé par le peintre impressionniste Claude Monet le 30 juin 1878, à l'occasion de la fête de clôture de l'Exposition universelle de la même année. Claude Monet est à Paris en 1878, où il habite, pendant plusieurs mois. Pauvre et voulant subvenir aux besoins de sa famille, il profite du spectacle de la ville de Paris et de sa modernité. En effet, le 30 juin fut choisi pour célébrer « la paix et

côté dénonciateur. Texte 1- Rappelle-toi Barbara 2-Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là 3- Et tu marchais souriante Épanouie ravie ruisselante Sous la pluie Rappelle-toi Barbara Il pleuvait sans cesse sur Brest Et je t'ai croisée rue de Siam Tu souriais Et moi je souriais de même Rappelle-toi Barbara Toi que je ne connaissais pas Toi qui ne me connaissais pas Rappelle-toi Rappelle-toi quand même ce jour-là N'oublie pas Un homme sous un porche s'abritait Et il a crié ton

dont la curiosité s'éveilla sur son compte ne sortaient pas du quartier et vivaient dans la pension comme des huîtres sur un rocher. Quant aux autres personnes, l'entraînement particulier de la vie parisienne leur faisait oublier, en sortant de la rue Neuve-Sainte-Geneviève, le pauvre vieillard dont ils se moquaient. Pour ces esprits étroits, comme pour ces jeunes gens insouciants, la sèche misère du père Goriot et sa stupide attitude étaient incompatibles avec une fortune et une capacité quelconques