Rue Royale Sainte-Marie

références Biographie Dumas naît le 24 juillet 1802 rue de Lormet à Villers-Cotterêts de l'union de Thomas Alexandre Davy de la Pailleterie, général d'armée ayant fait une brillante carrière pendant la Révolution française, et Marie Labouret, fille de Claude Labouret, aubergiste à l'Écu d'or à Villers-Cotterêts.1 « Je suis lié à Villers-Cotterets, petite ville du département de l'Aisne, située sur la route de Paris à Laon, à deux cents pas de la rue de la Noue, où mourut Demoustiers, à deux lieues

Le massacre de la Saint-Barthelemy Ce tableau du massacre de la Saint Barthelemy fut réalisé entre 1576 et 1584 par François Dubois (1529-1584), rescapé de la tuerie alors que toute sa famille de confession huguenote s’est fait assassiner par les catholiques. Il souhaitait que son tableau reflète la réalité du massacre à travers les vêtements. Ainsi, les catholiques sont représentés en rouge et les protestants en noir ou en chemise de nuit. Dubois a surement voulu afficher ici l’esprit qu’avaient

sont brouillés, d'autant plus que la ponctuation est inexistante -> décalage constant, effort de représentation de la part du lecteur. Représentation de la réalité fragmentaire. A partir du vers 16, évocation du rythme hebdomadaire et quotidien de la rue industrielle. Ce matin / Le matin -> précis -> en général. Mais innovation du poème aussi dans l'écriture. 1.2) L'écriture V3 : S'adresse-t-il à lui-même ou à la tour Eiffel ? Absence de rimes : Apollinaire se contente d'assonances

déclarations enregistrées dans les registres des archives départementales de Charente L’orthographe et la graphie ont été dans l’ensemble respectées, l’absence fréquente de ponctuation a été respectée également 1743 – Saint Project le 19 novembre 1743 ont été inhumés dans le cymetierre de Saint project deux pauvres mandians incognus dont l’un estait agé d’environ 23 ans l’autre agé de douze lesquels ont été écrasées par la muraille de la grange de mery Lafond metayer de M. Fautereau doyen le justice en

néoclassique autour des places Omonia (la Concorde en Grec) et Syndagma (la Constitution). Ces places restent des centres névralgiques, et la plupart des monuments et musées se trouvent dans ces quartiers (le Parlement occupe le bâtiment du palais royal sur Syndagma) mais pour le reste le style néoclassique ne saute pas aux yeux, les bâtiments subsistants étant noyés dans les constructions environnantes. Les parties nouvelles de la ville sont pour la plupart en béton gris et souffrent d'un manque

scènes théâtrales. Il a une écriture nerveuse donc il y a beaucoup de rebondissements. Dumas a deux passions, les femmes et la chasse ainsi que la nourriture. Il va évoquer la chasse dans ces livres, dans La Reine Margot notamment : le massacre de la Saint-Barthélemy. chasse → métaphore cynégétique ↗chasse aux protestants ↘chasse aux femmes (conquêtes) Il aime de luxe mais va être constamment ruiné. Il va faire construire le château de Monte-Cristo. Il va être sans cesse amené à écrire car

nous avons commencer le circuit par la rue de la Loge. La majorité des rues de l'Écusson sont des rues d'origine médiévale : étroites, tournantes. Rue de la Loge L'allée centrale de Montpellier   La rue de la Loge est l’un des axes piétons les plus utilisés de la ville, dans le centre historique de Montpellier, reliant la Place de la Comédie aux Halles Castellanes, en passant par la Place Jean Jaurès. Très vivante et emplie de divers magasins, cette rue est très appréciée de tous. En effet, vous

Poquelin, riche marchand-tapissier établi rue Saint-Honoré à Paris, et nommé tapissier du roi. Sa mère, Marie Cressé, meurt en 1632 alors qu'il n'a que dix ans, son père se remarie avec Catherine Fleurette. De 1633 à 1639 il est élève au collège de Clermont tenu par des Jésuites. Jean-Baptiste y fait d'excellentes études (latin, mathématiques, physique, philosophie, mais aussi escrime et danse). Le 18 décembre 1637, il prête le serment de tapissier royal, reprenant ainsi la charge de son père auprès

antiques Guillaume Budé, lui suggère d’instituer un collège de « lecteurs royaux ». Des humanistes payés par le Roi sont chargés d’enseigner des disciplines que l'Université de Paris ignorait. Deux postes de professeurs furent initialement créés, un pour le grec et un pour l’hébreu, puis ce nombre passa rapidement à dix avec l'enseignement du droit français, du latin, des mathématiques et de la médecine. Dès lors le Collège royal, dont la devise est « Docet omnia » (Il enseigne tout), restera un des

clergé, souvent épargné de l'oppression royale comparativement aux paysans, fut un soutien dans l'ensemble loyal. On peut maintenant considérer les juristes plaidant sans relâche dans des ouvrages la légitimité du roi. On les appelait « les politiques ». Ce courant n'est pas négligeable dans la France du XVIe XVIIe siècle. Ils mettaient toute leur verve et toute leur intelligence au service du roi. • Les nobles ne payant pas la taille - impôt royal - il ne faut pas croire pour autant qu'ils