Rugissement

meurtre, les rapines[13], Égorgea les passants, dévasta la forêt, Fit tout ce qu'avait fait la peau qui le couvrait. Il vivait dans un antre, entouré de carnage. Chacun, voyant la peau, croyait au personnage. Il s'écriait, poussant d'affreux rugissements : Regardez, ma caverne est pleine d'ossements ; Devant moi tout recule et frémit, tout émigre, Tout tremble ; admirez-moi, voyez, je suis un tigre ! Les bêtes l'admiraient, et fuyaient à grands pas Un belluaire[14] vint, le saisit dans ses

beaucoup de changement et que tout le monde fait de son mieux. Après le dîner Joachim va faire un tour en mobylette avant de commencer à travailler. Il le fait tous les jours même quand il pleut, il a besoin d’air frais et il aime entendre le rugissement du moteur. Aujourd’hui il explore les environs de sa nouvelle ville. C’est une ville riche. Ils ont un terrain de football, piste d'athlétisme, une salle omnisports et d'une patinoire. Un cours de foot vient de terminer. Certains garçons rentrent

duc de Buckingham, amant de la reine, Milady, figure d'ange démoniaque, vient d'être arrêtée et emprisonnée.] |1 |  Que de haine elle distille ! Là, immobile, et les yeux ardents et fixes dans son appartement désert, comme les éclats de ses rugissements | | |sourds, qui parfois s'échappent avec sa respiration du fond de sa poitrine, accompagnent bien le bruit de la houle qui monte, gronde, mugit et | | |vient se briser, comme un désespoir éternel et impuissant, contre les

le meurtre, les rapines, Egorgea les passants, dévasta la forêt, Fit tout ce qu'avait fait la peau qui le couvrait. Il vivait dans un antre, entouré de carnage. Chacun, voyant la peau, croyait au personnage. Il s'écriait, poussant d'affreux rugissements : Regardez, ma caverne est pleine d'ossements ; Devant moi tout recule et frémit, tout émigre, Tout tremble ; admirez-moi, voyez, je suis un tigre ! Les bêtes l'admiraient, et fuyaient à grands pas. Un belluaire vint, le saisit dans ses bras

souvînt des graines, en éparpilla par terre et les oiseaux se dirigèrent tous dessus. Le passage enfin libéré, il ne restait plus qu’à esquiver les brèches présentes de ci de là. Quand il fut enfin arrivé de l’autre côté du pont il entendu un énorme rugissement. Il marcha pendant peu de temps car quand il allait sortir d’une cuvette que formaient deux plaines, il tomba sur deux énormes géants qui avaient une tête de lion et des mains pourvues de griffes acérées. Hector s’empressa de sortir son épée

terrible résonnant encore dans ses oreilles. Il était assis à sa table des cartes, dans les appartements privés des étages supérieurs du donjon de Hurlevent. De chauds rayons de soleil pénétraient par les fenêtres grandes ouvertes, accompagnés du rugissement de la foule en délire. Les festivités du Jour du Souvenir ont commencé. Dans sa main, il tenait un médaillon en argent terni dont le fermoir était solidement verrouillé. Varian tenta instinctivement d’ouvrir le bijou, comme il l’avait déjà essayé

avait pas un trou de ténèbres où des hommes cachés ne parussent reprendre chaque refrain avec une colère plus haute. La campagne, dans l’ébranlement de l’air et du sol, criait vengeance et liberté. Tant que la petite armée descendit la côte, le rugissement populaire roula ainsi par ondes sonores traversées de brusques éclats, secouant jusqu’aux pierres du chemin. 5 10 15 20 __________________ 1 Rivière qui coule près de la ville de Plassans. 11FRSEME1-LR1 Page 5 sur 6 ÉCRITURE

montrerez l'image du Lion à travers les Fables de la Fontaine. I-Les représentations du lion de nos jours Le lion, en général, est un symbole de vigueur, de force et de volonté. Il est associé au Soleil grâce à la forme de sa crinière et à son rugissement qui évoque l'éveil. Protection, appui, défense, vérité, force triomphante, justice, cet animal est gage de puissance, de pouvoir et d'intelligence. Indomptable, il est sacré figurant souvent près de la divinité. Cependant, il a également sa face

morale b. LE LION ET L’ESCLAVE Séquence 1 : La figure du lion du Moyen Âge aux fables - Séance 2 Étant par hasard à Rome, j'ai été, dit-il, le spectateur de cet évènement. Un lion à lui seul par la détente et la longueur de son corps, par son rugissement terrifiant et retentissant, par ses muscles et sa crinière flottante, avait attiré à lui l'attention et les yeux de tous. On avait introduit l'esclave d'un ancien consul, offert au combat contre les bêtes. Cet esclave avait pour nom Androclus

les forêts ». Dans ce poème, Victor Hugo dénonce aussi la crédulité et l’instinct grégaire du peuple, comparé à des bêtes, qui n’a rien fait contre le coup d’état : « Chacun, voyant la peau, croyait au personnage. Il s'écriait, poussant d'affreux rugissements :
Regardez, ma caverne est pleine d'ossements. […] Les bêtes l’admiraient, et fuyaient à grands pas… »   Robert Desnos publia (sous un pseudonyme) un poème « lelegs » dans lequel il dénonce les collaborateurs et les responsables de la seconde