Russell Croyance Vérité

question certaines conceptions contemporaines du concept de vérité. On apporte le concept dans un nouveau concept. On tente de le sortir du domaine restrictif de la philosophie. Tout comme la nouvelle analyse du concept que nous proposera Davidson, on tente de la démontrer comme étant accessible à tous. En esquissant John Dewey lorsqu’il exprime que « l’accès à la vérité ne peut être une prérogative de la philosophie » et que « la vérité doit avoir un lien avec les intérêts de l’homme » Davidson veut

scientifique doit au moins être une loi générale, comment passer de cas singuliers à une loi générale ? N’y a-t-il de connaissance que du particulier ? Par exemple, j’ai beau avoir observé des millions de cygnes blancs, je ne peux pas affirmer la vérité générale que « tous les cygnes sont blancs » car je n’ai pas observé tous les cygnes (ni ceux du passé, ni ceux du futur, ni même tous les cygnes du présent). Il se trouve d’ailleurs qu’un jour, on a observé un cygne noir… Autre exemple : le poulet

: L'expérience est-elle la seule source de vérité ? Sujet et corrigé d'une dissertation Introduction. L’expérience apparaît d’abord comme la répétition de ce qu’on perçoit ou de ce qu’on fait. Autrement dit, pour qu’il y ait expérience, il ne suffit pas d’avoir perçu une fois ou d’avoir réalisé une fois quelque chose. Même lorsqu’on fait une expérience nouvelle, elle s’intègre à l’expérience acquise jusque-là, sinon, il est impossible de la comprendre. C’est ainsi qu’on dit de certains hommes

plus utiles ou pas. Il a appris qu’il faut se fixer un but et trouver sa raison pour donner de la valeur à une idée. Guillaume Garreta face à cela, a dit qu’il ne faut jamais confondre l’utilité pratique et la vérité scientifique. Toutefois si on peut trouver un push-factor dans une croyance et qu’elle nous aide à avancer dans la vie, il ne faut pas hésiter de croire pour continuer de vivre.  G.M. se posait la question à propos de son sens de la vie et se demandais à quoi bon continuer ? Ceci

quelque chose qui semblait acquis et certain afin d'entamer une réflexion. - doute sceptique : décision de douter de tout et toujours. Il est radical, universel, permanent et définitif et repose sur la thèse de l'impossibilité d'accéder à la moindre vérité. Antithèse de l'attitude dogmatique. Cf. Pyrrhon, philosophe grec du 4ème siècle avant JC, figure majeure du scepticisme antique, qui préconise, pour atteindre l'ataraxie (tranquillité de l'âme) et la sagesse, la suspension du jugement (« épochè »)

chose qui semblait acquis et certain afin d’entamer une réflexion. - doute sceptique : décision de douter de tout et toujours. Il est radical, universel, permanent et définitif et repose sur la thèse de l’impossibilité d’accéder à la moindre vérité. Antithèse de l’attitude dogmatique. Cf. Pyrrhon, philosophe grec du 4ème siècle avant JC, figure majeure du scepticisme antique, qui préconise, pour atteindre l’ataraxie (tranquillité de l’âme) et la sagesse, la suspension du jugement (« épochè »)

lui substituer la croyance8 » Plusieurs traductions ont été proposées : a) « J’ai donc dû supprimer le savoir pour lui substituer la croyance » traduit par Barni.b) « Je dus donc abolir le savoir afin d’obtenir une place pour la croyance » traduit par Tremesaygues et Pacaud. c) « Il me fallait donc mettre de côté le savoir afin d’obtenir de la place pour la croyance » traduit par Renaut. Georges Pascal qui reprend la traduction a) la commente comme suit : « Les problèmes de l'âme, de la liberté et

existence, de savoir comment nous comporter afin de l'assumer de la meilleure manière et de nous apporter le plus de satisfactions possibles. Toutes les civilisations ont élaboré des sagesses ainsi comprises, souvent inspirées, pour l'essentiel, des croyances religieuses dominantes. C'est le cas par exemple de la sagesse hindoue, inspirée par la religion des brahmanes et reposant sur les « Védas », livre sacré. Or, la philosophie est traditionnellement considérée comme étant l'invention des grecs du

c'est-à-dire non pas une erreur (l'illusion n'est pas nécessairement fausse), mais une croyance qui procède d'un désir : on ne croit pas en Dieu parce que cela semble vrai, on y croit parce qu'on aimerait qu'il existe... Enfin, Bertrand Russell, philosophe et logicien anglais du XXe siècle, a donné une critique décisive de la religion en soulignant son opposition à la science, le mal qu'elle fait à la vérité et aux hommes : on ne compte évidemment plus le nombre de guerres menées au nom de la religion

l’expérience les a confirmées, et qu’en conséquent, il n’y pas de raison que cela change : par exemple, la lune gravite autour de la terre, le feu brûle les chairs etc. Dans le texte ci-dessus, issu de l’ouvrage Problèmes de philosophie, Bertrand RUSSELL étudie le rapport étroit entre la théorie et expérience, et comment les deux s’articulent l’une par rapport à l’autre. En effet, le problème qui est abordé dans ce texte est celui de l’expérience qui est souvent vu par les foules comme un moyen pour