Règles Comédie

12/05/11 Français ; Résumé du texte sur le théâtre : Déjà à partir du 5e siècle A.J-C, les cités des grandes villes de Grèce et de l'Empire romain organisaient des concours dramatiques où tragédies et comédies étaient jouées qui récompensaient les meilleurs auteurs et acteurs. Ceux-ci se déroulaient durant de grandes fêtes religieuses, en plein air sur les gradins. Mais , peu à peu le théâtre disparut de l'Europe, et la seule organisation qui puisse monter des spectacles était l'église mais celle-ci

venant directement du Cid. Cette pièce a été écrite par Corneille en 1637. Parlant d'un amour impossible entre Rodrigue et Chimène en raison d'un différent, cette pièce du 17e siècle a été vivement contestée par le public de l'époque en raison de règles du théâtre plus ou moins respectées et d'une incohérence de la pièce. Nous nous demandons alors : En quoi Le Cid représente ou non une pièce de théâtre classique et tragique ? Nous y répondront d'abord par la biographie, ensuite par la présentation

Commandeur venu pour le « festin de pierre ». Première page de Dom Juan, dans l'édition posthume (1682) des œuvres de Molière. L'illustration montre Dom Juan, Sganarelle et la statue du Commandeur venu pour le « festin de pierre ». Auteur Molière Genre Comédie Nb. d'actes 5 actes en prose Lieu de parution Paris Date de parution 1682 Date de la 1re représentation en français 15 février 1665 Lieu de la 1re représentation en français Paris Compagnie théâtrale Théâtre du Palais-Royal Metteur en scène

La comédie I-Les règles du théâtre classique du XVIIe siècle A-La vraisemblance et la bienséance 1-La vraisemblance La vraisemblance désigne la cohérence qu'une pièce de théâtre doit avoir. Elle sert à renforcer la réalité d'une pièce : le spectateur doit pouvoir la considérer comme vraie. Cela ne veut pas dire que les faits sont véridiques, mais qu'ils sont crédibles. [La vraisemblance est] « l'essence du poème dramatique, et sans laquelle on ne peut rien faire ni rien dire de raisonnable

Le comique Introduction Il est difficile d’analyser le comique car justement il touche au rire donc on a tendance à en rire. Le comique est basé sur une absence de règles. Il y a une « formule » mais « elle ne se déroule pas régulièrement (Bergson). Définitions du comique : Bergson : « ce qui est risible, c’est […] une certaine raideur de mécanique là où l’on voudrait trouver la souplesse attentive et la vivante flexibilité d’une personne. » Jean-Marc Defays : « « comique » sera donc

qu'au XIXe siècle dans On ne badine pas avec l'amour (Musset), et plus récemment au XXe siècle dans Les Bonnes (Genet). Quel intérêt - tant du point de vue du personnage qui joue la comédie, que de celui de l'auteur - ce procédé présente-t-il et quelle en est la finalité ? Mise en œuvre du procédé Un des personnages « joue la comédie », c'est-à-dire qu'il endosse l'identité de quelqu'un d'autre et ne parle pas en son nom propre, et ce, devant un ou des spectateurs, avec une vraie mise en scène et la présence

grecques (dans la Poétique, Aristote (384-322 av. J.-C.) définit la tragédie : « il faut que les personnages soient une imitation des passions humaines aussi vraisemblable que possible »). La comédie est le deuxième grand genre théâtral. Il représente principalement des conflits familiaux. Aristote a dicté les règles du théâtre : règle des unités, respect de la vraisemblance et de la bienséance. Le théâtre au XX° siècle Le XXème siècle est le siècle de la créativité et de la mise en scène. Les auteurs

leur réponse. >>ambiguïté du personnage: antipathique lorsqu’il est lache, ridicule mais sympathique lorsqu’il est courageux, rebel. III- Une fin de comédie? 1) Les règles du dénouement: -suivant Boileau, le dénouement doit être rapide et complet, il doit ramener les choses dans l’ordre >ici, un dénouement qui respecte les règles toutes les victimes de Dom Juan sont vengés( avec la réplique finale de Sganarelle:« Voilà par sa mort un chacun satisfait : Ciel offensé, lois violées, filles

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message au public. L'originalité de ce théâtre était surtout l'utilisation de ces procédés dans 2 genres totalement opposés : la tragédie et la comédie. Les acteurs étaient au contact du public, ils étaient presque entourée par les spectateurs se trouvant dans le parterre. Les genres les plus fréquents sont les destinées héroïques, la tragi-comédie ou la comédie romanesque. Les rôles féminins n'étaient pas jouer par des femmes mais par des garçons adolescents. Les pièces au théâtre Élisabéthain