Résumé De Je Voudrais Me Déposer La Tête

s’immobilisa. Elle avait perdu l’équilibre ; elle venait de le retrouver. Déçu, le blondinet jura entre ses dents. Il avait toujours trouvé amusant de voir quelqu’un se casser la figure. Cela faisait partie du désordre de sa tête blonde. Pourtant, vue du dehors, impeccable, la petite tête. Pas un poil plus haut que l’autre, à la surface drue de la brosse. Mais il n’aimait pas trop les vieux. Il les trouvait vaguement sales. Il les imaginait par en dessous, si on peut dire. Il était donc là, à se demander

grandi parmi des militaires. Il avait « la taille haute, le teint livide, le corps mal proportionné, le cou et les jambes tout à fait grêles, les yeux enfoncés et les tempes creuses, le front large et mal conformé, les cheveux rares, le sommet de la tête chauve, le reste du corps velu [...]. Quant à son visage, naturellement affreux et repoussant, il s'efforçait de le rendre plus horrible encore, en étudiant devant son miroir tous les jeux de physionomie capables d'inspirer la terreur et l'effroi4

grandi parmi des militaires. Il avait « la taille haute, le teint livide, le corps mal proportionné, le cou et les jambes tout à fait grêles, les yeux enfoncés et les tempes creuses, le front large et mal conformé, les cheveux rares, le sommet de la tête chauve, le reste du corps velu [...]. Quant à son visage, naturellement affreux et repoussant, il s'efforçait de le rendre plus horrible encore, en étudiant devant son miroir tous les jeux de physionomie capables d'inspirer la terreur et l'effroi4

villes grandes ou petites : c’est le dépôt de mendicité. Un jour, dont il n’est pas nécessaire de préciser la date, d’autant plus qu’elle n’est d’aucune importance pour le lecteur, naquit dans ce dépôt de mendicité le petit mortel dont on a vu le nom en tête de ce chapitre. Longtemps après que le chirurgien des pauvres de la paroisse l’eut introduit dans ce monde de douleur, on doutait encore si le pauvre enfant vivrait assez pour porter un nom quelconque : s’il eût succombé, il est plus que probable que

rien. LE VIEUX PATRICIEN Rien le matin, rien le soir. DEUXIÈME PATRICIEN Rien depuis trois jours. Albert Camus, CALIGULA. Pièce en quatre actes (1944) 13 LE VIEUX PATRICIEN Les courriers partent, les courriers reviennent. Ils secouent la tête et disent : « Rien. » DEUXIÈME PATRICIEN Toute la campagne est battue. il n'y a rien à faire. [102] PREMIER PATRICIEN Pourquoi s'inquiéter à l'avance ? Attendons. Il reviendra peut-être comme il est parti. LE VIEUX PATRICIEN Je l'ai vu sortir du palais

sur ses PATINS. Ainsi que sur leurs cothurnes les antiques comédiens. Le bout du foulard rouge à son cou bouge, pareil à la flamme d’un cierge qu’on secoue. On le devine pâle, émacié, comme un anachorète. Il est le maître de la DANSE-DES-PATINS. Il résume dans un tourment L’éclat métallique de l’orgue de foire, et tout le mouvement. Ses os vibrent comme un instrument. Visibles, sensibles, cordes tendues sous les muscles souples. Sur ses deux bras ouverts, il a le rythme de ces couples Qui tournent

ille notavit opus1. Bientôt Ovide abandonne entièrement les Grecs, et ne reçoit ses inspirations que de lui même ; les trois livres des Amours (Amorum lib. III), qui d'abord en formaient cinq, comme nous l'apprend l'épigraphe qu'Ovide a mise en tête de ce recueil, Qui modo Nasonis fueramus quinque libelli, Tres sumus : hoc illi praetulit auctor opus. Ut jam nulla tibi nos sit legisse voluptas, Ut levior demtis pœna duobus erit, sont une œuvre spontanée, une image fidèle et vive des impressions

.................................................................................................. 88 3- LE RÉSUMÉ DE TEXTE ...................................................................................................... 89 a- Règles générales du résumé ............................................................................................... 90 b- La mise en œuvre du résumé .............................................................................................. 91 4- La fiche

Claude Gueux La Bibliothèque électronique du Québec Collection À tous les vents Volume 141 : version 1.0 2 Du même auteur, à la Bibliothèque Les travailleurs de la mer Les misérables 3 Le dernier jour d’un condamné 4 Préface Il n’y avait en tête des premières éditions de cet ouvrage, publié d’abord sans nom d’auteur, que les quelques lignes qu’on va lire : « Il y a deux manières de se rendre compte de l’existence de ce livre. Ou il y a eu, en effet, une liasse de papiers jaunes et inégaux

Chapitre 2 : L'invitation Je me cognais contre lui et tombais brusquement en arrière, me cognant la tête contre le sol. « Aaaïïïeeuuu, ça fait mal ... » Soudain, 2 hommes se jetèrent sur moi et me mirent face contre terre, me bloquant les mains derrière le dos. « Non mais, vous êtes complètement fous ou quoi ? Dis-je en criant, d'abord parce qu'ils me bloquaient mais aussi parce que ma tête me faisait énormément souffrir. - Gabriel and Thomas, stop it ! Dit une voix masculine » Les hommes