Résumé Des Attentats Du 11 Septembre 2001

rompt avec Charles Taylor et fonde le Independent National Patriotic Front of Liberia (INPFL). Se rapprochant de l'Ecomog et peut-être soutenu par les États-Unis, l'INPFL capture le 6 septembre Samuel Doe, qui meurt torturé peu de temps après. La CEDEAO organise un processus de paix dès le début du mois de septembre, prévoyant un cessez-le-feu, le désarmement des différents groupes et la constitution d'un Interim Government of National Unity, mais sans grand effet sur le conflit[1]. Au début de l'année

LE DEREGLEMENT DU MONDE, Amin MAALOUF - RESUME Objectif : cri d’alarme face au dérèglement majeur, global et local, et multiforme (intellectuel, financier, économique, climatique, géopolitique, éthique) : il faut des solutions globales inédites : être capable de surmonter ses divergences, d’imaginer, puis de s’unir et de se mobiliser pour mettre en œuvre les solutions. I – Les victoires trompeuses Pourquoi la chute du mur de Berlin n’a-t-elle pas eu les effets escomptés, au contraire ? L’Europe

d’une Amérique qui se considère en guerre depuis le 11 septembre 2001 explique cette unanimité 1 . * Yves Boyer est directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique (FRS), président de la Société française d’études militaires, professeur associé à l’École spéciale militaire de Saint-Cyr et maître de conférence à l’École polytechnique. Le président du sous-comité des forces armées pour les forces tactiques, Curt Weldon, a bien résumé le sentiment général qui prévaut à cet égard aux

s’opposent à la CPI qui incarne la subordination du politique au règne universel de la raison. En d’autres termes, la CPI suggère la supranationalité et donc la fin de l’exceptionnalisme américain. Cela s’est d’autant plus exacerbé après les attentats du 11 septembre 2001, puisque dès lors les Etats-Unis se sont engouffrés dans un « modèle néohobbesien » (Pierre Hazan), modèle se traduisant par la volonté de se comporter en Etat-Nation moderne et puissant. D’ailleurs, leur aversion pour la CPI est telle

l’analyse géopolitique du sahel, puis la stratégie à adopter pour contribuer à la sécurité dans la région. [pic] I. ANALYSE GEOPOLITIQUE DU SAHEL 11. Les caractéristiques géopolitiques du Sahel Le sahel est considéré comme la zone difficilement contrôlable et difficilement défendable, devient susceptible d’attirer de multiples fonctions: trafics illicites (personnes, armes

puissance 18 II. La notion de puissance dans un environnement post-Guerre froide 23 A. De la superpuissance à la notion d’hyperpuissance 24 B. Entre unilatéralisme et soft power 26 III. L’exercice de la puissance dans un environnement post-11 septembre 28 A. Une vision stratégique à Washington qui influence la notion de puissance 29 B. La sécurité comme nouvel enjeu de puissance 32 Chapitre II : Les États-Unis et la Chine 37 I. Les États-Unis 37 A. Entre « nation indispensable » et « wilsonisme

qu'une méthode, c'est-à-dire une technique d'investigation, technique de lecture des faits". Afin de ne pas tomber dans un formalisme normatif dans l'analyse des événements, il convient cependant d'éviter certaines attitudes que l'on pourrait résumer ainsi qu'il suit : la géopolitique n'est pas faite de lois générales afin de ne pas enfermer l'analyse dans des canevas irréversibles, d'autant que les paramètres pris en considération traitent des données souvent fort complexes. La géopolitique

périodes: – De 1945 à 2001 où les techniques vont se diffuser dans le monde entier et vont se greffer sur des traditions spécifiques. C'est le cas pour l'Allemagne ou le Royaume-Uni. Mais en France, l'étude des RI était moins affectée par l'influence américaine, d'abord parce que c'est un des pays créateurs, c'est un centre de réflexions sur les RI et puis parce qu'il y a une meilleure connaissance des autres espaces (non occidentaux, moins concernés par la bipolarité) – Après 2001, le rapprochement

» s’il a été tué ou exécuté. Les héros et les martyrs se sont multipliés depuis que les guerres ont troqué la volonté de domination contre celle d’éradiquer le «terrorisme ». Cette dernière volonté est devenue universelle depuis les attentats du 11 septembre 2001 contre les tours du World Trade Center : elle a même été sacralisée sous l’appellation de guerre du Bien contre le Mal. Tous les oppresseurs de la planète ont sauté sur l’occasion de considérer leurs opposants comme des suppôts du Mal

désigner de nouveaux courants qui donnent une interprétation politique et idéologique de l’islam, les différenciant ainsi de l’islam en tant que foi. Pour l’islamologue Bruno Etienne l’islamisme que l’on peut aussi appeler islamisme radical peut se résumer comme « l’utilisation politique de thèmes musulmans mobilisés en réaction a l’occidentalisation considérée comme agressive à l’égard de l’identité arabo-musulmane » I) Les sources de l’islamisme L’Islam est une religion traversée par de