Résumé Double Assassinat De La Rue Morgue

Raquin’’ (1867) roman d’Émile ZOLA (240 pages) pour lequel on trouve un résumé puis un examen de : - l'intérêt de l'action (page 3) - l'intérêt littéraire (page 4) - l'intérêt documentaire (page 4) - l'intérêt psychologique (page 5) - l'intérêt philosophique (page 6) - la destinée de l'oeuvre (page 7) enfin l’étude de la fin du roman (page 8) Bonne lecture ! Résumé Thérèse Raquin est la fille d'un capitaine français, qui. en Algérie, l'avait eue d’une

pèlerinage. Le titre est déjà saturé de références littéraires. C’est effectivement une variation du labyrinthe dans la ville moderne, avec une sorte d’ironie sur soi-même. Les histoires extraordinaires de Poe, la première histoire « double assassinat dans la rue Morgue » est introduite par une épigraphe. Edgar Poe met en exergue une citation d’un auteur anglais du XVIIème. d. L’intertextualité. La présence d’un texte dans un autre est effective, sous forme de citation avouée ou non, un morceau

réseaux tels Facebook , Twitter et bien d'autres qui publient leurs idées et partagent leurs points de vue et réflexions en ligne. De plus, ce nouveau média développe l'échange et rompt la communication à sens unique et rend possible un échange à double sens, entre citoyens et hommes politiques par exemple. Les citoyens ne sont plus de simples récepteurs, ils deviennent aussi des émetteurs d'informations et d'opinions. Enfin, Internet facilite la participation. Les citoyens s'impliquent de plus en

complot organisé par les francs-maçons, la disposition de ces objets étant supposée contenir un mystérieux « message ». Encore une fois, à l'image de ce qui était arrivé au cadavre de Mary Nichols, celui d'Annie Chapman fut lavé à son arrivée à la morgue du Whitechapel Workhouse Infirmary, au grand dam du docteur Phillips qui en pratiqua l'autopsie. C'est ce même médecin qui examina les corps de quatre des cinq victimes de Jack l'Eventreur : Annie Chapman, Elizabeth Stride, Catharine Eddowes et Mary

lieu mon propos sur une analyse littéraire de l’œuvre puis je vous exposerai la démarche pédagogique que j’ai choisi de mettre en place en classe. IV) Analyse littéraire(2’30)La caractéristique principale de ce roman est la double interprétation qui peut être faite de chaque évènement. L’auteur développe tout un panel de moyens pour orienter le lecteur sur une fausse piste et donc une mauvaise interprétation des indices du texte : Premièrement, le

connaissance du Commissariat ,plusieurs patrouilles ont été dépêchées sur les lieux .La moto susmentionnée a été laissée à Delmas 43 par l’un des bandits à l’arrivée de la Police et du même coup ,le nommé Jean Richard Voltiné a été interpellé à la rue charbonnière de Delmas 33 près du Palais Municipal avec l’aide de la Population à l’intérieur d’un immeuble .,Deux pistolets de marques respectives A-100 falsifié 9mm contenant une cartouche d’une part et d’autre part un autre de marque MAS de # de

l'autre à la recherche du suspect. «Une cinquantaine» de corps ont été amenés dans la matinée à bord de deux camions à la morgue de l'Hôpital public de Kingston, ont déclaré à l'AFP une brancardière et un infirmier. Une journaliste de l'AFP a en outre constaté la présence des corps de 12 civils, dont un bébé, tués par balles, dans un troisième camion arrivant à la morgue en provenance de Mountain View, un autre quartier de la ville. «Le gouvernement regrette profondément la mort de membres

d’intelligence, qui n’ont pas besoin, pour voir clair, qu’on leur allume une lanterne en plein jour. EMILE ZOLA. 15 avril 1868. Chapitre 1 Au bout de la rue Guénégaud, lorsqu’on vient des quais, on trouve le passage du Pont-Neuf, une sorte de corridor étroit et sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine. Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus ; il est pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre ; le vitrage qui le

des gens d’intelligence, qui n’ont pas besoin, pour voir clair, qu’on leur allume une lanterne en plein jour. EMILE ZOLA. 15 avril 1868. – 10 – Chapitre 1 Au bout de la rue Guénégaud, lorsqu’on vient des quais, on trouve le passage du Pont-Neuf, une sorte de corridor étroit et sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine. Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus ; il est pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre ; le vitrage qui le

pardon des gens d’intelligence, qui n’ont pas besoin, pour voir clair, qu’on leur allume une lanterne en plein jour. EMILE ZOLA. 15 avril 1868. – 10 – Chapitre 1 Au bout de la rue Guénégaud, lorsqu’on vient des quais, on trouve le passage du Pont-Neuf, une sorte de corridor étroit et sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine. Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus ; il est pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre ; le vitrage qui le