Résumé La Divine Comédie

fondateur l'Augustinus, publié en 1640. Le jansénisme prend son essor sous les règnes de Louis XIII et de Louis XIV et demeure un courant important sous leurs successeurs. C'est d'abord une réflexion théologique centrée sur le problème de la grâce divine, avant de devenir une force politique qui se manifeste sous des formes variées, touchant à la fois à la théologie morale, à l'organisation de l'Église catholique, aux relations entre foi et vie chrétienne, à la place du clergé dans la société et aux

présentant un libertin foudroyé par la vengeance divine, il espère convaincre les spectateurs et les autorités de la moralité de ses intentions. 2. Contexte historique Monarchie absolue gouvernée par Louis XIV. L’ancien surintendant des finances Fouquet et condamné à la prison à vie. Colbert devient contrôleur général des finances. 2. Contexte culturel Le Brun devient le 1° peintre du Roi. Tartuffe est interdite. Molière collabore avec Lully sur la comédie ballet Le Mariage forcé. Molière et sa troupe

théâtre est un art, souvent destiné à être représenté sur une scène et devant un publique. A l’antiquité, le théâtre avait pour origines le culte du dieu grec Dionysos, il était alors une cérémonie religieuse. Au fil du temps le théâtre se détache du divin, il sort du temple de Dionysos pour se développer tout seule. Ses fonctions ont beaucoup évolués, aujourd’hui même s’il traite parfois de religion, les pièces de théâtres n’ont plus lieu lors de cérémonies. Les différents genres ont des buts aussi

FICHE DE LECTUREObjet d’étude : Le théâtre du XVIIe au XXIe siècleTitre  : Le Malade imaginaire Genre  : pièce de théâtre (comédie-ballet qui intègre chant, danse et musique) écrite en prose. Registre  : comique (susciter le rire en mettant en scène des personnages bourgeois parlant un langage commun) Auteur  : Molière de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin Date de 1ère représentation  : le 10 février 1673

TEXTE 11 DENOUEMENT DON JUAN Le texte que nous allons analyser est le dénouement de Don Jan, comédie de Molière représentée pour la première fois le 1 février 1665 au Palais Royal. Lace V voit s’ajouter l’hypocrisie aux autres vices qui apparaissent dans la pièce. Pressé de toutes les parts Don Juan est menacé par Don Carols, le frère d’Elvire. Il serait donc intéressant de voir dans quelle mesure le dénouement de DJ peut paraitre original. I- Un dénouement attendu a. Une fin prévisible et

les posséder toutes. Il consacre sa vie à ce jeu cruel, il va jusqu’à tuer pour satisfaire son désir. Il le présente comme un grand Seigneur, impie, débauché, libertin qui finit par recevoir le châtiment de la justice divine. En 1665, il présente pour la première fois la tragi-comédie en cinq actes et en prose au théâtre du palais royal. Cependant, l’Eglise continue d’exercer son pouvoir, elle exige d’abord des coupes dans le texte et finit pas à pas à interdire la censurer entièrement. « Dom Juan »

médiocrement. -Flaubert provoque par se roman, il se veut d’un genre nouveau pour l’époque. - Flaubert est un expérimenter qui écris en imaginant. - En lisant l’extrait on se demande pourquoi finir le roman de cette manière là? - Ce texte est le résumé du roman. 1- Problématique :1 lieu emblématique 2- Point de vue, ironie des personnages. 3- Echec d’éducation sentimentale. Expression, périphrase : ex « obsession adolescente ». -2 voix : voix de narrateur et voix de l’opinion publique.

du vrai. * La règle des trois unités Temps : 24h maxi (la proximité entre le temps de la représentation et le temps de la fiction augmente l’effet de vraisemblance). Lieu : antichambre d'un palais dans la tragédie et maison bourgeoise dans la comédie. Action ; intrigues secondaires indispensables à l'action principale mais ces dernières doivent trouver leur résolution au plus tard en même temps que l'action principale * La catharsis : purgation des passions par l’exemple d’une grande douleur

jamais l’audace jusqu’à rompre avec l’Eglise. Amoureuse inconditionnelle de la liberté, son attitude vis à vis des croyances religieuses est marquée avant tout par la tolérance. Pour celle qui a écrit « Où est l’esprit divin, là est la liberté parfaite », l’accès aux vérités divines ne pouvait passer que par un acte de liberté. Au reste, après avoir soutenu Calvin, elle condamnera son intransigeance avec la même vigueur qu’elle avait repoussé le fanatisme catholique. Cet esprit de tolérance transparaît

comme agissant, comme ‘’en acte’’ ». C’est ainsi qu’il établit la distinction entre le théâtre (bien qu’il parlait de tragédie et de comédie) et les autres arts découlant de la poésie. Sa conception du théâtre se fit donc dans la continuité platonicienne qui voyait en l’art une imitation du réelle. Cette ‘’action’’ c’est le drame qui regroupe alors tragédie et comédie. Le terme de ‘’théâtre’’ est équivoque en ce qu’il désigne à la fois un genre littéraire et un édifice. ‘’Theatron’’ signifie ‘’lieu