Résumé Le Singe Nu

chaîne longue seulement de 18 pouces, et contraints d’aller au travail ainsi chargés de chaînes ; 10. d’avoir infligé un quatre-piquets à nu à Célestine, avec coupure de chairs, et de l’avoir mise détenue à la barre disciplinaire pendant dix jours, à l’occasion de sa déposition devant le juge de paix ; 11. d’avoir infligé un quatre-piquets sur l’échelle, à nu, avec déchirure de chairs, à Céleste, et de l’avoir détenue à la barre disciplinaire pendant deux semaines, à l’occasion de sa déposition

ne sont que la confirmation des propos du philosophe allemand Martin HEIDEGGER qui signale que « l‟homme est lui-même son propre paratonnerre, sa vie lui appartient, il peut en faire un gâchis ou une œuvre d‟art. ». Le dessein de l‟homme ne se résume qu‟au combat, celui de la conservation de son « avoir » et de son « être », celui de la transcendance de l‟avoir ou de l‟au-delà de l‟être. Encore qu‟il faudrait en savoir le signifié de ces derniers. Brièvement, l‟homme doit conserver sa supériorité

HAUT DE FORME 35 rien ne t'en empêche. Tu n'auras qu'à me glisser un mot dans la boîte. Une grenouille vivante fera aussi l'affaire. Du moment que c'est quelque chose d'aussi vert que la boîte aux lettres pour ne pas effrayer le facteur. En résumé : un lapin blanc sort d'un chapeau haut de forme et parce que c'est un lapin énorme, ce tour de magie prend plusieurs milliards d'années. Tous les enfants des hommes naissent à l'extrémité des poils fins de sa fourrure. Ce qui les rend à même de s'étonner

34 LE MONDE DE SOPHIE rien ne t'en empêche. Tu n'auras qu'à me glisser un mot dans la boîte. Une grenouille vivante fera aussi l'affaire. Du moment que c'est quelque chose d'aussi vert que la boîte aux lettres pour ne pas effrayer le facteur. En résumé : un lapin blanc sort d'un chapeau haut de forme et parce que c'est un lapin énorme, ce tour de magie prend plusieurs milliards d'années. Tous les enfants des hommes naissent à l'extrémité des poils fins de sa fourrure. Ce qui les rend à même de s'étonner

palpite à peine, plate comme un lac. Reculée derrière ce brouillard moite et bleu, la Pointe de Saint-Quentin semble frémir et flotter, inconsistante comme un mirage… La belle journée à vivre sans penser, vêtue seulement d’un maillot de laine !… Mon pied nu tâte amoureusement la pierre chaude de la terrasse, et je m’amuse de l’entêtement de Poucette, qui continue sa cure de soleil avec un sourire de suppliciée… « Veux-tu venir ici, sotte bête ! » Et je descends l’escalier dont les derniers degrés s’enlisent

femmes africaines qui est qualifié de route tracée à l’avance. Celui-ci est uniquement concentré dans le foyer conjugal : « Porter de l’eau. Cuisiner. Repasser. Ouvrir son corps au mâle. Donner son ventre à la maternité »104, c’est à ces tâches que se résume le destin de la femme. Ces phrases assez courtes traduisent la restriction, l’étroitesse du destin féminin. Avec l’usage de ces verbes d’actions, l’auteur pointe le phénomène de l’esclavage. La femme est donc une bête de somme, une esclave qui ne

abjecte sujétion. Ce faisant, il essaie d’aliéner la violence d’un monde scandaleux tout comme Magamou qui, se saisissant « d’une parole que personne ne lui a donnée » 3, refuse de guérir, « affrontant les préjugés et les interdits afin de mettre à nu les vices et travers, les infirmités et indigences sociales » 4.A défaut d’aliéner cette violence, Sony Labou Tansi essaie d’exorciser son corollaire, la mort. Ne pourrait-on pas, dès lors, penser que la violence au Sénégal et au Congo est tributaire

velléitaire de son désir. Macbeth se rend à ses arguments : « Et si nous manquions le coup ? » I, 7, page 93. Les trois grands réseaux : l’ambition : « Le crime abominable de sa suppression :/ Et la pitié, comme l’enfant nu nouveau-né/ Chevauchant l’ouragan, ou chérubins du Ciel/ Montés sur les courriers invisibles de l’air » I, 7, page 91 : elle est comparée à un destrier que le cavalier a du mal à maitriser. Elle fait de Macbeth mené par son désir exacerbé, le spectateur

qui amorce le roman est un constat impitoyable sur le devenir de l’Afrique : « Dans cette ville où, bien que les fous y fourmillent, il n’y a pas d’asile de fous, ni d’hôpital acceptant de les accueillir, on voit un jeune homme, trente ans au maximum, nu comme le fut, dit-on, le premier homme au jardin de l’Eden, déambuler le jour dans les rues populeuses du rand port, ou s’absorber dans un soliloque zébré de sourires sporadiques et incohérents, tandis qu’il fourrage mécaniquement et en gloussant dans

aussi précise que possible. C’est ainsi un ouvrage très complémentaire de la PECIMAA. Les 11 modules sont tous construits selon le même plan et avec un style rédactionnel identique pour une lecture plus aisée. Le paragraphe « l’essentiel à retenir » résume les notions et connaissances que vous devez impérativement maîtriser sur le sujet du module. Un glossaire, en début d’ouvrage, donne une définition des principaux termes utilisés dans ce guide. Toutes les abréviations sont regroupées avec leur traduction