Sadok Bey

-les intérêts français Durant la période du règne de Mohammed es-Sadouk (ou Muhammadal-Sadiq, le dernier bey de tunisie) sur la Tunisie (qui dure de 1859 à 1882), les récoltes étaient mauvaises, il y avait une épidémie de choléra, et la famine se ressentait. Par conséquent, on peut dire que la Tunisie a été très faible économiquement durant cette période, c’est pourquoi, en 1869, le bey de Tunisie se voit forcé de remettre la gestion de ses finances à une commission internationale, formée notamment

‫اﻟﺸﺮآﺔ اﻟﻮﻃﻨﻴﺔ ﻟﻠﺴﻜﻚ اﻟﺤﺪﻳﺪﻳﺔ اﻟﺘﻮﻧﺴﻴﺔ‬ En 1870, Mancardi obtient la concession d'un chemin de fer entre Tunis et la région du Sahel la première ligne de chemin de fer tunisienne, reliant Tunis à La Marsa (TGM), est inaugurée le 2 août 1872 par Sadok Bey. 1878 à 1916, sont construites dans le nord du pays par la Société de Construction des Batignolles et sa filiale, la Compagnie des chemins de fer Bône-Guelma. (23 novembre 1874 par Kheireddine Pacha) Organisation Unite Affaire UABT GS1 Tunisie

100 NADJEM Nassira 101 BELKHANOUS Saad 102 KEMMOUNE Abdelhadi 103 BENHADIDA Hamza 104 OTMAN BEY Abdellatif Lali 105 SELKA Sidi Mohammed El Amine 106 AHMED NEDJAIMI Abdelkader 107 THOURI Nadia 108 SEBBANI Lahouari 109 MEHDI Haféda 110 KADAOUI Kaddour 111 BELDJILALI Ahmed 112 DOUMI Loucif 113 BOUHNIK Anis 114 AZIZI Ahmed 115 BENADOUDA Mekki 116 HERBACHE Leila 117 YAHIA BEY Djemila 118 DANI Charif 119 SADOK Hicham 120 KALA Mohammed Samir 121 BOUCHI Ahmed 122 ABASS AISSA Abdelkadir 123 BELKACEM Youssouf

de la d'œil rétrospectif. — Dès les le règne d'Hussein-Bey dépenses exagérées (1824-183 5), l'avidité des familiers, les cour, les concussions auxquelles se livraient les fonc- tionnaires de tous ordres, emprunts usuraires, l'es- compte même des récoltes futures étaient les signes pré- curseurs d'une banqueroute prochaine. La gravité de la situation amena Hussein-Bey qu'il à recourir aux services de Salah-Et-Taba-Chakir, nomma

les finances de la régence étaient livrées à la discrétion du Bey. Ainsi, « il n’était nullement question d’autorisation budgétaire, puisque le Bey, souverain, omnipotent, concentrait entre ses mains tous les pouvoirs »[40]. En effet, le Bey, qui représentait à la fois le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif, exercés par décret beylical, détenait la compétence exclusive en matière de budget[41]. Pour financer ses dépenses, le Bey multipliait les impôts et en assurait le prélèvement par le recours

administrateurs locaux, connus sous le nom de deys de Tunis | | |jusqu’en 1705, puis seulement beys. | | |Le bey Hussein ibn Ali, qui régna de 1705 à 1740, fonda en 1710 la dynastie des Husseinites, qui se | | |maintinrent sur le trône jusqu’en 1957. |

la région d’Alger (Mitidja). Il ne reçoit qu’une partie des impôts, vit dans son palais, entouré de sa milice de janissaires. Les provinces sont dirigées par des Beys, certains sont très indépendants. Par exemple, celui de Constantine, Hadjadj Ahmed Bey, refuse de venir à la cour d’Alger. Pendant la guerre d’indépendance, il résiste à la conquête française, et mène sa guerre contre les Français, à part. Il y a également de nombreuses tribus complètement indépendantes (certaines payent l’impôt, d’autres

ottoman. Sous le règne ottoman, les régions correspondant à la Kabylie du Djurdjura et à la Kabylie maritime en plus de la ville de Béjaïa relèvent du dey d’Alger, alors que la Kabylie de la Soummam, des Babors, des Bibans et du Guergour relèvent du bey de Constantine. Le retour à des configurations plus anciennes10 pourrait bien nous montrer ce que l’occultation d’une histoire de la longue durée peut empêcher de voir. Pour l’instant, il nous faut rappeler que le remodelage en cours depuis la deuxième

caractéristiques actuelles de cette catégorie sociale. Mon grand père Mustapha notaire, à l'époque, bien connu et respecté dans sa ville, choisit pour son deuxième fils le prénom de Tahar, « le pur », après avoir donné la préférence pour son aîné celui de Sadok « celui qui dit la vérité ». Mustapha Sfar respectait ainsi une symbolique qui mettait en exergue dans le choix des prénoms les valeurs sociales qu’on souhaitait promouvoir dans la communauté. La famille Sfar, tant sa branche « tunisoise » que sa branche

de la République. Cette institution a vu le jour même avant la naissance de la Constitution de 1959. En effet, le 25 juillet 1957, l’A.N.C., qui était chargée par le décret beylical du 29 décembre 1955, d’élaborer une Constitution du Royaume que le Bey promulguerait en l’état, se réunît en séance solennelle et décida de déclarer « le régime monarchique définitivement aboli », de proclamer que la Tunisie est un Etat républicain, de confier « à Monsieur Habib Bourguiba, président du Conseil, la charge