Sages Poètes de la rue

anciennes formes littéraires. Les poètes peuvent faire passer un sentiment qu'ils ressentent au moment où ils écrivent comme l'amertume, l'amour, la tristesse, la révolte ... Ils cherchent à faire passer un message souvent caché de manière implicite ou explicite. Les poètes utilisent les mots comme une arme, afin de faire passer leurs messages et leurs idées. Les mots peuvent toucher, faire pleurer, rendre heureux, triste, et dans d'autres cas révoltés. Les poètes prennent la force qu'ont les mots

moderne à l’Art Contemporain du 20ème siècle, de Botticelli à Georges Braque, la peinture fut une source d’inspiration pour les poètes. En effets, Théophile Gautier fut l’un des premiers poètes français qui s’inspire de la peinture dans ses textes poétiques notamment dans les poèmes Pastel et A Zurbaran présent dans ce recueil tandis que Baudelaire l’un des plus célèbres poètes du 19ème siècle fut aussi critique d’art avant de s’orienter vers la poésie. De nombreux artistes ont su trouver un idéal poétique

Institut Maris Stella Rue F. Sterckx 44 6T2 1020 BRUXELLES Cours de Religion 2009-2010 Mme Drugman Table des matieres INTRODUCTION…………………………………………………… 1. BIOGRAPHIE……..………………………………………....1 2. DE SA JEUNESSE A SA MORT……………………….…..2 3. APRES SA MORT……………...…..……………………......3 CONCLUSION………………………………………………………. ANNEXE……………………………………………………………. SOURCES…………………………………………………………… Introduction Bonjour

personnes ne sont pas comme lui : cette même dame l’escroque. On voit ainsi que les mentalités de l’époque sont différentes, et souvent mauvaises. C’est lors du songe que toute la philosophie de ce texte prend forme. On nous apprend que « certains poètes, certains philosophes, ont donc grand tort de dire que out est bien ». Cela montre à quel point les enseignements que font les philosophes sont étroits d’accès, et qu’un simple homme comme Memnon n’arrive pas à comprendre cet enseignement. Du point

l’été est le résultat des conditions au printemps. Puisque la vie adulte est la période la plus longue dans la vie d’un être humain, j’ai choisi de la représenter par le Soleil, qui est également le symbole de l’illumination et donc de la plus grande sagesse dont fait preuve l’adulte comparativement à l’enfant et à l’adolescent. La dernière étape est donc la vieillesse et la mort, représentée ici par l’automne car elle est, pour beaucoup de gens, synonyme de fatigue et de mort. J’ai donc tenté de sélectionner

PEJAC, sans titre, art mural, Rue Edouard Manet (Paris XIIIe) Poème du Moyen-Age : En la forest d'Ennuyeuse Tristesse En la forest d'Ennuyeuse Tristesse,  Un jour m'avint qu'a par moy cheminoye,  Si rencontray l'Amoureuse Deesse Qui m'appella, demandant ou j'aloye.  Je respondy que, par Fortune, estoye Mis en exil en ce bois, long temps a,  Et qu'a bon droit appeller me povoye  L'omme esgaré qui ne scet ou il va. En sousriant, par sa tresgrant humblesse, Me respondy : " Amy, se je savoye Pourquoy

symboles, l’allégorie, l’érudition, qui viennent souvent à la place du sentiment. Dès la fin du XIVe siècle le souci de perfection technique prend le dessus et la poésie devient un exercice de rhétorique ou un divertissement de société. Quelques poètes : Charles d'Orléans (le prince poète), Froissart, Guillaume de Machaut, François Villon. De l'école lyonnaise à la Pléiade (XVIème siècle; humanisme) De l'Italie à Lyon : parmi les influences majeures qui jouèrent sur un poète français du

son époque, notamment le parnasse. Deuxième d’une fratrie du cinq enfants (dont un décèdera dans son premier mois) il passe la majeure partie de son enfance dans un taudis rue Bourbon après que son père eût abandonné sa femme. Lauréat à 15 ans d’un concours de vers latin, il fugue plusieurs fois à Paris où il rencontre des poètes comme Verlaine (avec qui il aura une liaison houleuse achevée en coup de pistolet), Paul Demeny ou encore Théodore de Banville. Après la « tragédie du Bruxelles » où Verlaine

Charles Baudelaire « À une passante » 1857 La rue assourdissante autour de moi hurlait.  Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,  Une femme passa, d'une main fastueuse  Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue.  Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,  Dans son œil, ciel livide où germe l'ouragan,  La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! — Fugitive beauté  Dont le regard m'a fait soudainement

sous-entendu aussi perfide qu'inévitable. Mais je ne veux, pour le présent, tenir compte que de la grande vérité oubliée, - la perversité primordiale de l'homme, - et ce n'est pas sans une certaine satisfaction que je vois quelques épaves de l'antique sagesse nous revenir d'un pays d'où on ne les attendait pas. Il est agréable que quelques explosions de vieille vérité sautent ainsi au visage de tous les complimenteurs de l'humanité, de tous ces dorloteurs et endormeurs qui répètent sur toutes les variations