Saindoux

Expression Règles d’orthographe : Les mots finissant par –ou : -Les mots féminins en [u] s’écrivent -oue sauf la toux (un sirop antitussif). -Les mots masculins en [u] s’écrivent –ou. Sauf : le houx, le courroux, l’époux, le saindoux, le remous, le caoutchouc, le ragoût, le coût, un égout, un loup, le pouls, le goût, le dégoût, le bout, le joug, un atout, le tout et le redoux. -Sept noms en –ou prennent un x au pluriel : bijou, caillou, chou, genou, hibou, joujou, pou. Les mots finissants

héritées en grande partie du comté de Flandre, avec l'influence anglaise et celle de la Picardie proche.Entre terre et mer, ses produits de base sont le hareng, le lapin, la pomme de terre et la bière. C'est historiquement une cuisine au beurre, ou au saindoux, où l'huile est peu utilisée. La région est productrice de fromages, dont le plus célèbre, le maroilles, est utilisé dans l’une des variétés de flamiche.Elle se caractérise entre autres par le goût des saveurs douces amères comme celles du chicon braisé

Près de la mer ou trouve aussi de la soupe aux crabes. Cuillère à ragout en étain Les soupes aux légumes sont variées : Potiron, Poireaux, petits pois, pommes de terre, laitue, Potage aux carottes Potage à l’oseille conservée dans du saindoux et dans un pot en grès Potage à la poule les jours de fête La soupe la plus courante c’est la soupe « à cochon ». On y mettait des légumes frais de saison, des pommes de terre et un morceau de porc. Les familles les plus pauvres se contentaient

courgettes), - céréales complètes (farines non raffinées), - fruits. Supprimer les mauvaises graisses au profit des bonnes en évitant: - le beurre cuit (y compris le beurre clarifié), - les huiles raffinées, - l'huile de palme, - le saindoux, - les margarines. et en utilisant de préférence: - l'huile d'olive, - la graisse d'oie, - la graisse de canard, - l'huile de tournesol, - l'huile de noix ou de canola.

découverts sur les murs des thermes. Quelqu'un a fait le compte de ses achats dans une écriture abrégée : Nuc(es?) biber(es) XIIII singa(m) II panem III orrellas III XII thymatla IIII VIII LI Ce qui peut se traduire par « Noix(?) ; boissons 14 ; saindoux 2 ; pain 3 ; 3 boulettes 12 ; 4 saucisses 8. Total 51 »  [pic] A – Entrée H – Tepidarium : C’est la partie des thermes où l'on peut prendre les bains tièdes. Dans l'organisation du bain antique, le tepidarium est le passage intermédiaire entre

Mais aussi ils péchaient avec des bateaux, des filets et des stridents Ils ramassaient aussi des coquillages et des mollusques. *La nourriture : La viande la plus estimée était : le sanglier et le porc. La cuisine se préparait à base de lard et saindoux. Les montagnards connaissaient l’huile de noix et les plus riches l’huile d’olives. Ils préparaient d »es soupes d’orties, d’oseilles et y ajoutaient des lentilles ou du choux. Ils buvaient de la cervoise. En temps, les Gaulois consommaient du

ou les arrondis dans les calculs, cela voudrait dire que l’huile d’olive a perdu des doubles liaisons, ce qui est le signe qu’elle a ranci. V. Etat physique des corps gras L’huile à température ambiante est sous forme liquide, tandis que le saindoux est un peu plus solide. L’état physique d’un corps gras dépend de son nombre de carbone ainsi que du nombre de double liaison qu’il possède. Plus le nombre de carbone est grand, plus la température de fusion (à laquelle le lipide passe de l’état

|25 g de beurre allégé à 41% de M.G.|20 g de bonbons (4 bonbons) | | |2 œufs, |30 g de fromage allégé. |(cuits) |1 petite banane |10 g de saindoux |25 g de confiture ou de miel ( 1 c.| | |80 de jambon de dinde, |30 g de fromage type pâte cuite, |4 c à soupe de pâtes ou semoule ou |1pomme ou 1 poire moyenne |15 g de lard

évitant « les coups de pompe », qui entraînent des grignotages à l'origine de déséquilibres alimentaires. Ils doivent être présents à chaque repas. Groupe 5 : Matières grasses Appartiennent à ce groupe les huiles, le beurre, les margarines, le saindoux. Ces aliments fournissent les lipides et les acides gras essentiels ainsi que les vitamines liposolubles indispensables au bon fonctionnement du système nerveux et au bon fonctionnement des cellules. Mais il ne faut pas en abuser en raison des risques

pays colonisés mangent comme les romains, mais les Francs et les Germains de l'époque de Clovis apportent le goût des viandes. La cuisine médiévale s'éloigne peu à peu de l'idéal romain : les légumes sont de moins en moins consommés, le lard et le saindoux remplacent l'huile d'olive (mais l'église veille en obligeant à "faire maigre" environ 150 j par an). La palette d'épices d'élargit et à partir du 15e siècle, le goût pour le sucré et l'aigre-doux se développent en Europe, pour s'épanouir au 16e