Saint Amant La Pipe

LAMARTINE, Méditations Poétiques, « Le Lac ». IV DEVOIR SUR TABLE: 1° Analyse de l’extrait n°4 de Madame Bovary : la promenade en barque avec Léon. 2° Comparaison de quatre extraits sur la mort de l’héroïne : a- CHATEAUBRIAND, Atala. b- BERNARDIN DE SAINT PIERRE, Paul et Virginie. c- FLAUBERT, Madame Bovary. d- ZOLA, L’Assommoir. V PROLONGEMENT : LE THEME DE LA MORT DANS LA PEINTURE REALISTE : 1° Etude de tableau : COURBET, L’Enterrement à Ornans. 2° Bilan sur le Réalisme. Annexe : Question de corpus

pharmacien progressiste et athée, le curé Bournisien, Léon Dupuis, clerc de notaire, Rodolphe Boulanger, gentilhomme campagnard. La naissance d'une fille la distrait un peu, mais bientôt Emma cède aux avances de Rodolphe. Elle veut s'enfuir avec son amant qui, lâche, l'abandonne. Emma croit en mourir, traverse d'abord une crise de mysticisme, puis plus tard, au théâtre de Rouen, revoit Léon, revenu de Paris. Elle devient très vite sa maîtresse, lors d'une promenade dans un fiacre. Installée dans sa

LVII. A une Madone LVIII. Chanson d’Après-midi LIX. Sisina LX . Franciscae meae laudes LXI. A une Dame créole LXII. Moesta et errabunda LXIII. Le Revenant LXIV. Sonnet d’Automne LXV. Tristesses de la Lune LXVI. Les Chats LXVII. Les Hiboux LXVIII. La Pipe LXIX. La Musique LXX. Sépulture LXXI. Une gravure fantastique LXXII. Le Mort joyeux LXXIII. Le Tonneau de la Haine 48 49 50 51 52 53 54 56 57 58 59 60 61 62 64 65 66 67 68 69 71 73 75 77 78 79 81 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 Collections

................................................................................................................................ 9 Le paresseux. Marc-Antoine Girard de Saint-Amant ........................................................................................................ 9 Le fumeur. Marc-Antoine Girard de Saint-Amant ........................................................................................................... 9 Chanson. Pierre Corneille ...............................

.................................... 67 Les Hiboux........................................................................................ 101 Confession........................................................................................ 68 La Pipe........................................................................................ 102 L'Aube spirituelle........................................................................................ 70 La Musique...................................

coin du feu » et un des poèmes nommés « Spleen » avec « la bûche enfumée ». Mais un texte emploie énormément le champ lexical du feu : « La pipe ». Il utilise des mots tels que « fumeur », « en feu », « fume » et « chaumine ». On trouve également des comparaisons pour accentuer le feu « Je fume comme la chaumine », ce qui veut dire que Baudelaire fume la pipe, ce que nous apprend le titre, et qu’il fume beaucoup. La comparaison nous donne la quantité de tabac fumé par le poète vu qu’une chaumine

le 1er janvier 1921, dans un an et quatre mois elle sera majeur ». Lieu : Le Cap-Breton, chez Mathilde. Evénements : Mathilde ouvre la boite donnée par Esperanza, elle contient une photo des 5 condamnés et de deux hommes : Esperanza « qui fume sa pipe » p59* (je suppose que c’est lui car on sait par la suite qu’il était présent sur la photo mais aussi qu’à l’époque il fumait.) et le caporal Bouffi qui est « debout sous son casque, l’air plutôt fier de lui » p59*. Il y a aussi les lettres des condamnés

lyriques par le | Montrer comment le poème est un don d’amour | | |poète |Instances lyriques : dessin et textes | |recueil : poèmes I,II,III|La figue, la pipe à opium, l’œillet, le palmier, le flacon et la |La tradition lyrique amoureuse | | |croix : bonne entrée en matière pour installer la poétique |Entrer en amour c’est entrer en poésie | |

Baudelaire, p. 74 et suiv.; le ch. VI du Baudelaire de J. Prévost. (Pour les ouvrages fréquemment cités, les références bibliographiques complètes sont après les notes) 9. A. Guyaux, préface à Volupté, "Folio", Gallimard, 1986, p. 15. 10. Lettre-poème à Sainte-Beuve, "Tous imberbes alors...", Pl. I, p. 206 à 208. 11. Le Crépuscule des idoles, Gallimard, 1974, p. 110. 12. Voir G. Sagnes, L'Ennui dans la littérature française, de Flaubert à Laforgue (1848-1884), Armand Colin, 1969, p. 124 et suiv. 13.

la destinée » lui conférant ainsi une puissance, et une puissance qui cause la mort ! Dans sa logique implacable du malheur, elle tire la conséquence que, puisqu’elle n’a pas su être heureuse avec son mari, il lui est impossible de l’être avec son amant. Elle s’enferme ainsi dans une répétition sans issue, dans ce qu’Alain Robbe-Grillet appelle « une malédiction ronronnante » qui fige l’univers dans un malheur sans fin… • A cette double conception des la destinée, fait écho la vision que le texte