Saint Jean-Baptiste

Introduction 1 : Au Moyen Âge, Lyon était coupé en deux. La Saône était une frontière naturelle entre l'Empire Germanique et le Royaume de France. Le Vieux Lyon et la Cathédrale Saint Jean appartenaient à l'Empire Germanique, et c'est aussi le territoire de l'Eglise. A intégrer dans la partie où on parle de la restauration des gargouilles: De manière générale, les gargouilles doivent être restaurées toutes les 150 à 200 ans, selon le calcaire du bâtiment. A intégrer dans la partie où on

l'unique souci des reposoirs de la fête-Dieu. Elle décide même d'offrir Loulou empaillé pour orner le reposoir situé dans la cour de la maison de Mme Aubain. Pendant que la procession parcourt la ville, Félicité agonise et dans une ultime vision, le Saint-Esprit lui apparaît sous l'aspect d'un gigantesque perroquet. 3. Lieux où se situe l’action (éventuellement valeur symbolique) À Pont–l’Evêque en Normandie – bords de la Manche pour Troaile 4. Références historiques a) époque évoquée dans l’œuvre

et se consacre à la création de cette œuvre pendant 16 ans. Il en fera un modèle mais, il manquera de bronze et il ne pourra pas la réaliser.  C'est pendant qu’il est auprès du duc de Milan qu'il peint la Cène sur le mur du réfectoire du couvent Sainte-Marie-des-Grâces. Pour cette peinture, De Vinci utilisa un procédé qui ne résista pas à l’humidité du lieu. Malgré ça, De Vinci a réussi à faire passer, à travers ce tableau, le sentiment de surprise qu’éprouvent les personnes en apprenant que l’un

C'est que son talent est indiscutable ; c'est aussi que ses œuvres sont très loin d'avoir toutes, sinon le même mérite, du moins la même valeur. Quel abîme entre Mme Bovary et l’Éducation sentimentale ! Combien Salammbô l'emporte sur la Tentation de saint Antoine ! Et pourtant ne retrouve-t-on pas dans l’Éducation sentimentale l'observateur exact et profond, le tout-puissant analyste, le peintre consommé des objets et des sentiments, le créateur de tant de vivantes figures que Mme Bovary a révélé ?

Le tondo Doni, ou « sainte Famille à l’enfant Jean-Baptiste », est une œuvre de Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simoni, Michel Ange en Français. Il s’agit d’une œuvre peinte, circulaire, de 120 cm de diamètre, conservée à la galerie des offices de Florence Réalisée entre 1503 et 1506, en tempura et huile sur bois, l’œuvre est entourée d’un cadre circulaire sculpté. L’utilisation d’un format circulaire était très répandu pendant l’antiquité, lors de la Renaissance du XV° siècle, il va y avoir

utilisées et l'iconographie. B) Dans ce tableau il y a quatre personnages. Cette toile représente la Vierge entourée de l'enfant Jésus, son cousin saint Jean-Baptiste et l'ange Uriel. La Vierge enveloppe de sa main Jean et non Jésus. La Vierge Marie, parée de son traditionnel habit bleu (tradition médiévale), pousse de sa main droite sur Jean-Baptiste pour qu'il aille parler à l'enfant Jésus, béni par sa main gauche avec l'ange Uriel assiste à la scène. Celle-ci est assise à droite qui met sa main

importance en termes de composition. Malheureusement, deux des trois œuvres n'ont jamais été terminées et la troisième a été si longue à créer qu'elle fut soumise à de longues négociations sur son achèvement et son paiement. L'un de ces tableaux est Saint Jérôme. Liana Bortolon, dans son livre The Life and Times of Leonardo (1967), associe ce tableau à une période difficile de la vie de Léonard. Les signes de la mélancolie peuvent se lire dans son journal : « Je pensais que j'apprenais à vivre ; j'apprenais

Huile sur bois 182x132cm, exposé à Nantes La Vierge, l'Enfant Jésus avec sainte Anne et saint Jean Baptiste en 1495, exposé à Londres La Vierge, l'Enfant Jésus et sainte Anne en 1502 Huile sur bois, exposé à Paris Le Baptème du Christ 1470-1475 Tempera sur bois 180x152cm, exposé à Florence Le Musicien en 1490, exposé à Milan Léda et le cygne en 1508, exposé à Florence Madonna Benois en 1478 Huile sur bois, exposé à Saint-Pétersbourg Madonne Dreyfuss en 1470 Huile sur bois 12x15cm, exposé à Washington

au bord de la mer morte, Antipas retient prisonnier Ioakannan (Jean le Baptiste), qui condamne publiquement son union incestueuse avec Hérodias, sa nièce qui fut de plus précédemment la femme de son frère qu'elle a quitté. Celle-ci, qui n'était poussée que par l'intérêt, craint d'être répudiée. Lors d'un grand festin, Salomé, fille Hérodias et d’Hérode Philipe, danse pour Antipas, puis demande, et obtient, la tête de Jean le Baptiste qu'elle a tant voulu. Analyse Style Trois contes témoignent

pinceaux et autres basses besognes, son maître l'initie à la préparation des couleurs, la décoration, la gravure, la peinture des retables et des fresques ainsi qu'à la sculpture sur marbre et sur bronze. 1472, il est accepté dans la compagnie de Saint Luc, la célèbre guilde des peintres Florentins, mais il reste pourtant l'assistant de De Verrochio pendant 4 ans encore. 1476, Léonard peint sont premier tableau (la madone à l'œillet) et entre dans l'atelier d'Uccelo avec lequel il étudie la