Salle d'apparat

* Une femme brune * Un miroir * Un mur carrelé bleu * La mousse sur le nez II/ Identification des connotations * La femme représente la beauté au naturel et la séduction * Le miroir et le mur carrelé font penser à une salle de bain dans une maison * La mousse sur le nez de la femme fait penser à la légèreté et l’onctuosité III/ Axes et analyse plastique Cette publicité tirée d’un magazine nous présente un univers quotidien qui montre la femme dans son habitude

trace de skieur. La salle de bain fait 5 m² , elle comporte une douche à l’italienne , un lavabo revêtu de bois, une glace en forme de goûte. Les WC sont séparés de la salle de bain par une porte. Des produits d’accueil sont aussi disponibles tel qu’un ensemble de produit de beauté pour madame, Guess,et pour monsieur, Dolce and Gabbana. La chambre est éclairée par un lustre qui consomme 150 w/h , deux liseuses qui consomment a elles deux 50 w/h et deux spots dans la salle de bain qui consome

proposer de lui laver le dos et autres partie du corps trop difficile à laver en lien avec son hémiparésie. * Respecter l’intimité, la pudeur, et la dignité du patient en fermant la porte de la salle de bain. * L’inciter à se laver sous la douche en ayant pris soin de maintenir la température de la salle de bain assez élevée. * Lui fournir les aides adaptées nécessaires telles que les barres d’appui ou encore le siège de douche afin qu’il se sente en sécurité, évite son épuisement et qu’il apprécie

pays), la punition écrite, qui consiste en général à recopier des pages de manuels scolaires ou le règlement intérieur de l’établissement et la punition qui consiste à donner des heures de travaux d’intérêt généraux comme nettoyer les tables de la salle de classe par exemple. Célestin Freinet dans ses Invariants pédagogiques explique que « les punitions sont toujours une erreur » dans le sens où celles-ci ne seront jamais comprises par l’enfant. Alors, la punition est-elle bien obligatoire

sortir, quand, soudain, j’entendis rire sous mes fenêtres. J’ouvris. Sur le trottoir, en effet, des jeunes gens se séparaient joyeusement. Je refermai les fenêtres en haussant les épaules ; après tout, j’avais un dossier à étudier. Je me rendis dans la salle de bains pour boire un verre d’eau. Mon image souriait dans la glace, mais il me sembla que mon sourire était double... L'excipit Texte 4 La Chute Mais, bien entendu, vous n’êtes pas policier, ce serait trop simple. Comment ? Ah ! je m’en

faire. La jeune fille saute dans les habits savamment choisis la veille, qu’elle doit mettre pour l’école en ce jour de la Fête de l’horreur. Elle prend à peine le temps de souligner de noir le bord de ses yeux et de ses lèvres devant le miroir de la salle de bain et descend les escaliers pour aller chercher un goûter. Elle remonte dans sa chambre. Bizarre ! Son lit est fait mais elle se dit que c’est peut-être elle finalement qui l’a fait avant de descendre ! Tout est possible, elle est si stressée

bloc car césarienne, le chirurgien termine de recoudre maman et ensuite, celle-ci ira en salle de réveil pour une durée de 2h. Yanis pris en charge par l’aide-soignante accompagnée de papa. QUAND ? Le 9 octobre vers 17h. Yanis est né à 16h14. Je suis dans ma 1ère semaine de stage. OU ? - Maternité (18 chambres) - Bloc (1 salle explo, 3 salles pré travail, 3 salles de travail, 1 salle de bain, 1 salle réa bébé) Employés (hors néonat): - 2 ASH - 14 aides-soignantes - 6 auxiliaires de

peux allumer la lumière. Je commence ainsi à discuter avec elle en lui demandant si la nuit à été bonne tout en déposant les protections dans son armoire. Pendant que Mme C se lève, je m’organise pour avoir le moins de fois possible à sortir dela salle de bain une fois la toilette commencer. Je prend donc ses vêtements et sa protection que je dépose sur une petite table a coté du lavabo, je pose mes serviettes et mes gants de toilettes a proximité et dépose ma panière au sol à coté de moi. Je rempli

Ecole nationale supérieure d’architecture de Versailles Séminaire « sources » : La documentation de la recherche Compte rendu : Fiche sources Thème : - Monographie salle de spectacle : la salle Pleyel (1927) d’Auburtin, Granet et Mathon à Paris Présenté par : GUILLAUME CAVENAILLE FARES DJEDRI Année universitaire 2011-2012

raser. J'avais remarquer lors de mes passages précédent qu'il appréciait particulièrement ce moment. Le rasage est le dernier soins que nous lui faisons, ainsi il reste tranquille tout au long de la toilette en attendant le rasage. Arrivé dans la salle de bain, j'aide M L. à s'installer sur une chaise puis l'infirmière commence à le déshabiller. Il se met à faire la grimace et se raidit. Elle lui enlève son haut. M L. accepte que je lui lave le visage, le dos et le torse. Je lui demande s'il peut