Salluste

pontife à la Regia, et exercera la fonction de grand Pontife jusqu’à sa mort. Désigné préteur urbain pour l’année suivante au moment de la conjuration de Catilina (63 av. J.-C.)[32], il ne fait rien pour la prévenir et est soupçonné de connivence[33]. Salluste, qui est un partisan de César, attribue ces soupçons à des manœuvres calomnieuses de Q. Catulus et C.Pison, adversaires politiques de César. Appien considère pour sa part que Cicéron n’ose pas mettre en cause César en raison de sa popularité[34]

ces pensées vers un péril: - la didascalie coupant l'alexandrin (v777) en 2 hémistiches marque le passage de l'émotion à l'inquiétude -elle entrevoit la lutte entre le bien et le mal -l'amant est vue comme le protecteur à la différence de don Salluste qui représente le traite du mélodrame -construction parallèle et antithèse : « me protège/m'accable » , « un ange/un spectre » « m'aime/me hait » -la conscience de sa faiblesse et l'intuition du danger conduisent la reine à la prière II) La

(épicurisme) • Cicéron (1ére ½ du Ier s. ACN) : Le Destin, Les paradoxes des Stoïciens • Sénèque (Ier s. PCN) 13. Histoire/Géographie : La République • Jules César (Ier s. ACN) : Commentarii de bello gallico, Commentarii de bello civili • Salluste (Ier s. ACN) : La conjuration de Catilina, La guerre de Jugurtha 14. L’empire • Tite-Live (Ier s. ACN/ Ier s. PCN) : Histoire romaine • Tacite (Ier /IIéme s. PCN) : Les Histoires, les Annales, la Germanie • Suétone (Ier /IIéme s. PCN) : La vie

caractéristiques Etudier un mouvement littéraire : le Romantisme ainsi que le théâtre de l’absurde. Lecture cursive : Fin de partie, Beckett Lectures analytiques : - I, 3 : présentation de Ruy Blas - III, 2 : tirade aux ministres - III, 5 : le retour de Don Salluste -  IV, 2 : l’arrivée de Don César - V, 3 : le dénouement Textes complémentaires : -  scènes d'exposition de Britannicus de Racine et de Ruy Blas  - extrait de la préface de Cromwell d'Hugo Activités complémentaires : - étude du tableau Les Ménines

aucune source sur la Révolte de Spartacus provenant de contemporain à ce dernier, même si de grands auteurs antiques l'ont mentionné ces derniers se situent les plus souvent deux siècles après son existence. La source la plus ancienne est celle de Salluste qui a pu côtoyer des témoins de cet épisode, mais nous disposons seulement de quelque fragment de son œuvre " Histoires" qui demeurent incomplète. Les sources sur lesquelles nous nous basons proviennent de Plutarque qui dans son œuvre " Vie parallèles"

dont l'ombre m'accompagne, Puisque mon coeur subit une inflexible loi, Sois aimé par ta mère et sois béni par moi ! Vivement et portant la main à son coeur. – Oh ! Sa lettre me brûle ! Retombant dans sa rêverie. Et l'autre ! L'implacable Don Salluste ! Le sort me protège et m'accable. En même temps qu'un ange, un spectre affreux me suit ; 780 - Et, sans les voir, je sens s'agiter dans ma nuit, Pour m'amener peut-être à quelque instant suprême, Un homme qui me hait près d'un homme qui m'aime

butin: Sac de Corinthe en 146 par Mummius. Pillée à nouveau un siècle plus tard par les soldats de César, qui ont pillé les tombes pour en vendre les objets. Pillage de la Macédoine par Paul-Emile : ramène une Athéna en bronze de Phidias. D’après Salluste (Ier s. a.C.), Romains = pilleurs des peuples. Naufrages des navires cf. épave d’Anticythère, épave de Madia (Tunisie)  Rome = premier musée de l’art grec.  D’où la difficulté des copies. • Face à la pratique des copies des œuvres grecques

hideuse » fait référence à une technique de l'époque qui consiste à appliquer de la colle sur une branche d'arbre afin de les capturer les oiseaux qui auraient le malheur de se poser dessus. C'est également une métaphore sur la vengeance de la Don Salluste sur la reine qui risque d'être longue et douloureuse. Ceci est un procédé stylistique de la tragédie classique. Il y a d'autres exemples dans le texte : « Qu'on égorge estafiers, geôliers et guichetiers »(v.236)

historiques modernes, un tiers, tout au plus, a survécu. Avec l'avènement de l'Empire romain, la discipline historique tend à perdre de son indépendance et à ne devenir qu'un moyen au service d'une fin politique (chez Tite-Live) ou morale (chez Salluste). « Dans l'ensemble les Romains s'intéressaient plus aux mérites littéraires de leurs livres d'histoire qu'à rapporter avec précision ce qui s'était réellement produit10. ». Cette tendance de la discipline a pu être qualifiée d'« histoire pragmatique

mieux distinguer les personnages ou bien le décor, il permet de cibler le milieu social, l’époque et le lieu où se situe la pièce. Parfois, le metteur en scène ajoute des objets symboliques qui facilitent l’interprétation, par exemple, les bagages de Salluste dans la scène d’exposition de Ruy Blas. La représentation théâtrale permet aussi de découvrir l’interprétation qu’un metteur en scène fait d’une pièce ou de comparer plusieurs mises en scène comme la mise en scène de Roussillon et de celle de Vigner