Salon de la Guerre

INTRODUCTION Nom de l’œuvre : la galerie des glaces Lieu : château de versailles Architecte : Jules Hardouin Mansart Style : baroque du XVII siècle Date de construction : entre 1678 et 1684 Au lendemain du traité de Nimègue qui met fin à la guerre de Hollande en 1678, Louis XIV, fort de ses victoires récentes, entreprend une nouvelle fois de transformer Versailles, avec l’intention d’en faire le siège de son gouvernement. Il souhaite notamment que soit construite dans le château une grande

de Marseille, L’Estaque accueille à la fin du 19e siècle et au début du 20e de nombreux artistes. Cézanne vient s’y réfugier pendant la guerre de 1870 et y séjourne ensuite à plusieurs reprises. C’est pour marcher sur ses traces que Braque s’y rend pour la première fois en 1906, puis en 1908 après avoir vu la grande rétrospective posthume du peintre d’Aix au Salon d’Automne. Dans un entretien, il confie s’y être rendu « avec une idée déjà faite… mes premiers tableaux de L’Estaque étaient déjà conçus

représentant des scènes de l’histoire ancienne, montrant un prince de l’Antiquité (Auguste, César…) en action de gloire ou de guerre. Il s’agit là d’un véritable traité de bon gouvernement en image, et ce « bon gouvernement » ne peut être que celui du roi. Le programme iconographique de la galerie des glaces (décidé au lendemain de la paix de Nimègue (1678) qui mettait fin à la guerre de Hollande) constitua une véritable révolution dans la représentation du roi. En effet, pour sacraliser ce que l’entourage

des soumissions. Évolution nette en 2 siècles. 1789 : Révolution française, haute bourgeoisie a décidé de réagir. ( influence Voltaire, Montesquieu …). Par l'intermédiaire des salons littéraires : aristocrates, nobles, bourgeois cultivés, intellectuels ( ceux qui ont un métier de réflexion ). Femmes aussi. Les salons d'Holbach : groupe de pression, écriture des feuilles, noyauter les administrations, de là vont arriver les grands révolutionnaires ( Robespierre : aristocrate . La philosophie des

coiffeurs, Joseph Joffo passe son enfance dans le 18e arrondissement de Paris. Quand survient la guerre et l'occupation allemande, la famille Joffo est persécutée en tant que juifs. La fuite des deux frères Joseph et Maurice Joffo vers la zone libre est racontée dans le roman Un Sac de billes. Joseph Joffo arrête ses études à l'âge de 14 ans avec le certificat d'études en poche et reprend avec ses frères le salon de coiffure familial. Il se met à l'écriture 26 ans plus tard en racontant ses souvenirs d'enfance

et Courbet est un réaliste qui ne participera jamais aux expositions impressionnistes. Manet est surement un maitre pour les impressionnistes mais il refusera d’être considéré avec ce surnom et, au contraire, il cherchera toujours l’affirmation au Salon. INDEX DES ARTISTES 1)Gustave COURBET (1819-1877) 2)Edouard MANET (1832-1883) 3)Les MACCHAIOLI: -Giovanni FATTORI -Silvestro LEGA En France: l’importance de la couleur, de la nature et de la contemporanéité En France, évolution de la peinture

beaux-arts, il fréquente l'atelier de Gustave Moreau en 1895. Il y rencontre Georges Rouault, Albert Marquet et visite les expositions de Jean-Baptiste Camille Corot et celles de Paul Cézanne. En 1896, Matisse expose pour la première fois au « Salon des Cent » et au Salon de la Société nationale des beaux-arts dont il devient membre associé sur proposition de Pierre Puvis de Chavannes. Cette fonction lui permet notamment d'exposer sans passer par un jury. Il passe l'été à Belle-Île-en-Mer et rencontre l'australien

maison (un homme et sa nièce) ne lui répondent jamais. Tous les soirs, Werner von Ebrennac frappe la porte du petit salon, y entre et leur parle du temps, de la température ou des autres sujets qui soupçonnent une réponse, qu’il ne reçoit jamais. Et, toutes les soirées, sans aucune réponse, l’homme y sortit en leur souhaitant une bonne nuit. Un soir, l’homme arrive dans le petit salon en peu plus tard, tout transi et leur demande de se chauffer à leur feu. C’est le premier d’une série des ses monologues :

réussites : « Dés qu’ils étaient ensemble, le peintre et l’écrivain en arrivaient d’ordinaire à cette exaltation. Ils se fouettaient mutuellement, ils s’affolaient de gloire… » (p67-68) ou encore on voit que Sandoz croit en la peinture de Claude : lors du salon il est fâché de l’attitude de Jory qui se moque de la peinture de Claude. L’amitié de Claude et Sandoz est d’autant plus forte à la fin du roman que Sandoz est le seul à comprendre le génie de son ami et il continue ainsi de le voir et de le soutenir

la Grèce antique. En effet, il a noté les jeunes filles qui ont les nezs camus et les corps immatures de « type Montmarte » , les précurseurs des danseurs que Degas peint sont dans toute sa carrière. Après 1865, lorsque le salon a accepté sa peinture historique scène de guerre au moyen age (Musée d'Orsay, Paris), Degas ne peint plus des sujets académiques, et il se concentre sur les scènes de la vie moderne. Il commence à peintre les café, les concert et les danseurs de ballet. Une nouvelle conception