Salon de la Guerre

d'artistes suisses, tels que Biéler, Reichlen, Gaulis, Blancpain, et se noue d'amitié avec Charles Maurin et le graveur Félix Jasinski. Il se passionne en effet pour le portrait. En 1887, il présente son " Portrait de Jasinski tenant son chapeau" au Salon des Artistes Français, lequel tableau déplaît fortement à son professeur Jules Lefèvre, en raison d'une certaine liberté qu'il prend dans cette toile par rapport à l'académisme qu'on lui a enseigné.  Les difficultés financières apparaissent, mais

BAUDELAIRE Le Peintre de la vie moderne ( 1863) L’exercice régulier de la critique d’art (le premier Salon dont Baudelaire rédige le compte rendu est celui de 1845) conduit progressivement le poète vers un idéal de beauté moderne, capable de se substituer aux formes classiques dont l’épuisement apparaît alors aux yeux de tous : l’art religieux qui sombre dans le goût saint-sulpicien qui régnait pendant la Restauration, l’art néoclassique, toujours fixé sur le modèle antique, qui trouve sa limite

Inventions organise le Salon des Arts Ménagers (directeur : Jules-Louis Breton qui s’associera à Paulette Bernège). Ce salon est une sorte de propagande. Résolution de se débarrasser des domestiques à la maison. Développement du design a pour début l’abolitionnisme + émancipation de la femme. 1923 : 1er salon des arts ménagers. Durera jusqu’en 1983 (raison : plus trop d’intérêt de la part du public, radio, TV etc. beaucoup plus développés donc moins d’attrait pour ce salon) Salon fermé entre 1938 et

1874 à Rio de Janeiro et mort à Paris le 18 juin 1943 (Élève de L. Gerome), elle délaisse son activité de création de reliure contemporaine pour la peinture dans les années vingt. Elle expose ses dessins, fusains et monotypes avec Fonseca avant guerre à la Galerie Barreiro,rue de Seine. Dans les années cinquante elle décide de se consacrer à la peinture sur verre qu'elle présente à plusieurs reprises à la Galerie Bruno Bassano (1956). Dix ans plus tard, le peintre japonais Toshio Bando[1](1895-1973)

frère en zone libre. Il rentre à Paris à la fin de la guerre et retrouve le reste de sa famille, sauf son père qui a été déporté. Il arrête ses études à 14 ans, au certificat d'études et reprend avec ses frères le salon familial. Il commence à écrire à 26 ans, suite à un accident de ski qui l'immobilise. Ses romans son autobiographiques et ont tous été remniés par des nègres littéraires. Il réside actuellement à Paris où il possède plusieurs salons de coiffure. Fils de Roman Joffo (coiffeur) et de

début de la guerre de 7 ans. Cependant à partir de 1750 le gout pour l’antique réapparait en réaction aux courbes et fantaisies du style rocaille. Tout l’enjeu de ce sujet est d’appréhender les deux mouvances stylistiques ayant eu cour durant le règne de Louis XV et leur inter influence. Ainsi pour envisager l’aménagement d’un salon sous le règne de Louis XV il nous faudra envisager ces 2 périodes stylistiques si différentes. Dans un premier temps nous étudierons (I) le salon rocaille en rappelant

figuratif. Et en 1912, le Salon d'automne accepte d'exposer des œuvres non-figuratives comme « Fugue en deux couleurs ». Au Salon des Indépendants, Kupka est exposé avec les peintres cubistes, mais il refuse d'être assimilé à un mouvement. En 1913, il publie «La Création dans les arts plastiques», dès la déclaration de guerre d'août 1914, bien qu'il fréquente les milieux anarchistes parisiens et soit antimilitariste, Kupka s'engage comme volontaire. En 1918, il termine la guerre avec le grade de

cherche en Espagne l’inspiration même s’il ne s’y rend pas effectivement. Etudiait les tableaux de Louis-Philippe (de la « galerie espagnole ») au Louvre. Grand souvenir de sa vie était son voyage à Rio de Janeiro de décembre 1848 à juin 1849. * Le Salon * Début du XIX S. – rythme bisannuel * À partir de 1833 (sauf entre 1852 et 1863) devient annuel * Il dure 3 mois, fermé lundi, payant le samedi, gratuit le reste du temps * Vitrine du goût officiel en montrant l’exemple

chien noir (œuvre exposée au Salon de 1844), le chien étant un épagneul qu'il a acquis la même année ; d'autres autoportraits suivent, où il se représente en homme blessé ou en homme à la pipe. Il se lie avec des artistes tels que Charles Baudelaire, Hector Berlioz… dont il a fait les portraits . Sous l’impulsion de Jules Champfleury, Courbet jette les bases de son propre style ; le réalisme . Jules Champfleury rédige pour le peintre la liste de ses œuvres pour le Salon de 1849 et en aout il fait

FRANÇAIS QUARTIER HAUSSMANN Proust fréquente le salon de Madame de St marceaux, 100 bd Malesherbes. Geneviève Straus (veuve de Bizet) un des modèles de la duchesse de Guermantes demeure 104 rue de Miromesnil. Elle tient un salon pour être entouré, se faire aimer et lutter contre la dépression. Proust y rencontre Maupassant et Degas. L’appartement est décoré de toiles de Corot, Monnet, Fragonard, Boudin, Quentin de la Tour. Charles Haas fréquente ce salon. Au 35 rue de Monceau, Madeleine Lemaire qui