Salon littéraire

beaux-arts, il fréquente l'atelier de Gustave Moreau en 1895. Il y rencontre Georges Rouault, Albert Marquet et visite les expositions de Jean-Baptiste Camille Corot et celles de Paul Cézanne. En 1896, Matisse expose pour la première fois au « Salon des Cent » et au Salon de la Société nationale des beaux-arts dont il devient membre associé sur proposition de Pierre Puvis de Chavannes. Cette fonction lui permet notamment d'exposer sans passer par un jury. Il passe l'été à Belle-Île-en-Mer et rencontre l'australien

rompus. C'est ce portrait qui lui vaut de s'imposer comme le chef de file du Fauvisme; cet art qui est caractérisé par l'usage de couleurs franches et criardes, l'énergie des coups de pinceaux, et l'atmosphère joyeuse des toiles. Il les exposa au salon d'automne de 1905, qui fut le véritable départ d'une carrière faite auparavant de tâtonnements. Matisse abandonne toute idée d'imitation : les corps sont tantôt rose proche du violet, tantôt d'un bleu léger. Le paysage est traité de la même façon.

qui obsèdent ses contemporains. Picasso semble plutôt indifférent au néo-impressionnisme, et à Cézanne au départ. Tandis que des artistes comme Matisse, puis Braque s’intéresse aux qualités techniques de l’œuvre de Cézanne qui expose notamment au Salon des Indépendants en 1899, Picasso lui est l’artiste dont l’œuvre répond à des impératifs d’expression et de sentiment au lieu de se vouloir combinatoire de procédés et exécution d’un projet « réduit à la technique », d’où son relatif désintérêt au

hôtel, d’un casino, d’un bar et d’un salon de thé. Le restaurant est de type gastronomique et nous avons le privilège d’avoir à nos coté un chef étoilé, Michel Renoux, qui a, à son palmarès deux macarons michelin. Le type de clientèle visé est une clientèle aisée à fort pouvoir d’achat. Notre idée de force porte sur la Casino qui organise des tournois sponsorisé par de grande marque et qui attire beaucoup de joueurs. Notre seconde idée de force est le salon de thé qui est le coin exotique et détente

mode depuis quel que années un Matisse figure titulaire du fomalisme abstrait.Le fauvisme est un courant de peinture du début du XXe siècle. Tiré d'une expression du journaliste Louis Vauxcelles, il débuta historiquement à l'automne 1905, lors du Salon d'automne qui créa scandale, pour s'achever moins de dix ans plus tard, au début des années 1910. En fait, dès 1908, il est déjà à son crépuscule. Son influence marqua néanmoins tout l'art du XXe siècle, notamment par la libération de la couleur. Le

qu’elle faisait à la brasserie « La Rotonde » , Kiki observait ces vies d'artistes dont elle faisait quasiment partie désormais ; elle posa peu après pour Modigliani, Kissling et Foujita dont le " Nu couché à la toile de Jouy" qui sera l'événement du Salon d'automne de 1922. Elle pose pour Modigliani, Kissling et Foujita dont le " Nu couché à Ce qu’on peut retenir d’elle ? La vie de Kiki est dès lors un parcours artistique, dont elle n'est pas simplement un outil voire une inspiratrice, mais

singularisé son audience. La rétrospective au Salon d’Automne en 1907 a pris une allure d’apothéose : on l’adore autant qu’on le déteste La révérence à Cézanne va être prise au sérieux. Les deux autres grands solitaires, Van Gogh et Gauguin, ont peu d’amateurs. Renoir et Monet sont finis… Les « néo-impressionnistes » végètent. Les postérités symbolistes s’épuisent. L’Art nouveau glisse peu à peu dans l’Art déco. L’académisme de désarme pas. Le scandale du Salon a donc été renforcé par ses temps de déshérence

effet  le  fauvisme  a été  l’une  des  première  manifestations  de  la grande  vague  romantique  de  ce   début  de  siècle,  aboutissant  aux  philosophies  de  l'existence  de  l’inconscient  et  du  subconscient.  En  1903  la  création  du  salon  d’automne  permet  de  présenter  l’art  “contemporain”  de  l’époque  en  réunissant  artistes,  amateurs  et  critiques  d’Art.  Et  c’est  d’ailleurs  là  qu’en  1905  après  le  scandale  provoqué  par  certaines  oeuvres  exposé  que  le  terme 

lé « Le Bonheur de vivre ».  C’est une huile sur toile qui mesure 175 cm x 238 cm. Cinq mois sont nécessaires à l’artiste pour  réaliser cette œuvre entre 1905‐1906, à son retour de Collioure pour le Salon Des indépendants de  1906.   « Le bonheur de vivre » a été acheté directement à ce salon par Léo Stein (collectionneur et  critique d’art américain), qui l’a revendu à Christian Tetzen Lund, qui l’a ensuite revendu au docteur  Barnes pour sa collection privée à Merion aux Etas Unis (PA), où le tableau se trouve encore 

du boulevard Saint Michel. Cuisine traditionnelle française, un grand nombre de plats avec les suggestions du jour. En été, cette brasserie chic propose une terrasse très arborée SALON DE THÉ LADURÉE Cette institution nationale de renom est connue notamment pour ses macarons. Il s’agit d’un des premiers salons de thé de la capitale. L’après-midi, si vous avez une petite faim, il s’agit de l’endroit parfait pour un « gouter ». Vous pouvez aussi offrir des petits macarons à vos amis restés dans