Salopette

Hamburgers, Emma en Raffole. Il lui en offrit, elle toute contente oublia même de lui dire merci. Deux minutes avant quelle eut fini, la mascotte de ce restaurant que l’on voyait tous les jours à la télévision apparut en jonglant. Elle était vêtue d’une salopette jaune, d’un T-shirt à manche longue et de chaussettes Blanches à rayures rouges. Des courts cheveux rouges et frisés ornaient sa tête. Elle avait un visage blanc avec la bouche toute rouge. Emma était émerveillée de voir ce célèbre personnage en

Mario (マリオ, Mario?) est un personnage de jeu vidéo devenu la mascotte de Nintendo, facilement reconnaissable grâce à sa moustache, sa salopette, ses gants blancs et sa casquette rouge marquée d'un M dans un cercle blanc. Né de l'imagination de Shigeru Miyamoto, il apparait pour la première fois en 1981 dans le jeu Donkey Kong sous le nom de Jumpman mais c'est la série à succès des Super Mario qui a fait de lui un phénomène mondial et l'une des principales icônes du jeu vidéo. Depuis, Mario a accompagné

bras gauche. Elle fait sa pause déjeuné, elle tient un sandwich dans sa main et pose son coude sur une sacoche a son nom. Un imposant pistolet a riveter repose sur ses genoux. Elle a des lunettes de protection sur son front et elle est vetue d’une salopette bleue aux manches et aux pantalons retroussés, elle a des chaussettes rouges et des chaussures marrons qui écrase un exemplaire de « Mein Kampf » d’Hitler. Derrière elle, un drapeau américain flotte dans le vent, c’est le symbole du patriotisme.

photographe français Henri Cartier Bresson, en 1954 , la photo est en noir et blanc, comme la plupart de ces photos . Qu’est ce qu’on voit sur l’image ? En regardant cette photo, on voit un homme de dos, mettant les mains sur les côtes , il porte une salopette sur un débardeur sans manche , a droite un chien qui regarde l’homme . Et juste en face, une jeune femme qui tenait un bebe entre les mains, une femme plus âgée juste a cote d’elle, et un autre chien entre les deux femmes. Les deux femmes paraissent

nettement sur les feuilles vert___ foncé___. – Les feux du soleil couchant embrasaient de lueurs orangé___ les eaux bleu___ de l’océan. – Des lunettes bleu___ sombre___ cachaient ses yeux fatigués. – Le clown avait des cheveux jaune___ vif___, une salopette violet___ à pois vert___ et d’énormes chaussures framboise___.  Conjugue les verbes suivants à l’imparfait : être – paraître - faire 

3. Une cérémonie déshumanisée ex : « quelque chose » = pronom indéfini masculin : corps de Chloé assimilé à une chose + imprécision ex : le corps de Chloé = désignée par son corps, n'est plus un être humain. ex : « le déclic » + « vieilles salopettes d'huile » = les employés sont assimilés à des mécaniciens + le processus de mise en terre est mécanisé → déshumanisation Ainsi, par le biais d'une ambiance pesante et sombre, Boris Vian partage sa vision

faut essayer de comprendre pourquoi nous adoptons telle ou telle tenue. Nous vivons dans une société aux codes bien établis et il convient de se plier aux convenances. On ne peut pas, par exemple, travailler dans une bijouterie de luxe vêtu d’une salopette, le directeur d’une grande entreprise ne peut pas recevoir ses clients en jogging. Sans parler des uniformes imposés à certaines professions ou dans certaines écoles. Un bon nombre de gens sont donc contraints d’adapter leur tenue aux règles en vigueur

tout oppose. Ces deux personnages sont Germain (Gérard Depardieu) et Margueritte (Gisèle Casadesus). Germain, quarante cinq ans, un homme quasiment analphabète, vit une vie monotone, dans une petite ville sans âge. Toujours habillé d’une salopette bleue et d’une chemise, il a les cheveux longs et en bataille. Il habite dans une caravane au fond du jardin de sa mère. Sa mère, une femme méprisante et sans cœur l’a toujours rejeté. Dans le film il ya un flash back en couleur qui nous

Coello se faisant passer pour deux sculpteurs. Pendant 5 semaines ils vont ainsi creuser un tunnel de 60cm de diamètre jusqu’au milieu de la rue afin de déposer dans la cavité 50 kilos de TNT. Le 19 décembre vers 7 heures du soir deux hommes en salopette bleue viennent poser 45 mètres de fil sur les façades des immeubles. Le lendemain vers 9h30 quand le président du gouvernement espagnol quitte l'église des Jésuites, où il prie chaque matin, il ne roule que quelques mètres avant l’explosion qui envoie

Les machines sont énormes par rapport aux ouvriers. Les gestes des ouvriers sont mécaniques, les ouvriers sont courbés, concentrés sur leur travail, beaucoup sont représentés de dos. Ils vissent les pièces détachées. Beaucoup portent casquette et salopette. Les ouvriers travaillent ensembles, ils sont solidaires, ils paraissent fatigués. C’est le travail à la chaîne. Cette œuvre représente le Fordisme. Ford recherche la productivité avant tout. Il a appliqué dans ses usines une nouvelle organisation