Salut Galarneau

dispositions de la Constitution de l’An I, mais celle-ci est mise en suspens en raison de l'état de guerre intérieure et extérieure. Ce n’est pas Robespierre lui-même qui choisit ces exécutions, mais un organe institutionnel important : Le Comité de Salut Public, qu’il domine de fait. C’est un corps exécutif mis en place par la Convention nationale le 6 avril 1793 afin de faire face à la situation d’urgence créée par les troubles extérieurs (guerre) et intérieurs (contre-révolution). C’est un organe

disparition des titres de noblesse, et même… l'abolition de la peine de mort. Il combat avec force mais en vain l'idée de la suppression du veto royal. Plus tard il est élu députés de Paris à la Convention en 1792. Sous la Terreur, il entre au Comité de Salut Public où il est tout puissant en 1793. Il va imposer un grand nombre de changements, entre autre, il supprime toutes les libertés. Il impose aussi à la Convention la loi du 22 prairial an II qui abolit la procédure et accélère le rythme des exécutions

comme solution face à la situation critique Dans cette seconde sous parties, nous traiterons l'idée de défense du salut public, et dans une seconde sous partie la dérive du gouvernement provisoire dans la dictature personnelle de Robespierre. A) Défendre le salut public 1.Une théorie exposé par Robespierre Cette théorie repose sur le fait de défendre le salut public, c'est à dire défendre la république par tous les moyens. La France étant en péril sur son territoire, il faut

sur les bancs des Montagnards. Il combattit violemment les Girondins, favorables à la Guerre. Par la suite il contribua à leur éviction après la trahison de Charles François Dumouriez (2 juin 1793). II. L’HOMME DE LA TERREUR : Entré au Comité de salut public le 9 Thermidor an I (27 juillet 1793), il devint l’âme de la « dictature jacobine », imposant un régime de terreur, dont les mesures d’exception étaient jugées indispensables pour sauver la République gravement menacée à l’intérieur (insurrection

soutenu par le peuple et les sections parisiennes, Robespierre obtient la suppresion des Girondins. La situation de la France va mal, à cause des guerres aux frontières et à la révolte vendéenne. Maximilien Robespierre est alors nommé au Comité de Salut Public, pour remplacé Danton le 27 juillet 1793.Il va, dès lors, y déployer un zèle et une activité immense : Robespierre s'avère un extraordinaire homme d'Etat. Il est aussi l'orateur le plus respecté de la Convention et des Jacobins où il est toujours

l'Ancien Régime Section 1. L'administration centrale de 1789-1870 § 1. La révolution A. Le roi et les ministres dans la Constitution de 1791 1. Le roi 2. Les ministres B. La dictature révolutionnaire 1. Les comités de gouvernement a) Le Comité de salut public b) Le Comité de sûreté générale 2. Les ministres C. Le Directoire 1. Le Directoire exécutif 2. Les ministres § 2. Le Consulat et l'Empire A. Le chef de l'Etat : du Premier consul à l'empereur 1. Le Premier consul pour dix ans dans la Constitution

sûreté générale : il est crée par la convention (qui a remplacée l’assemblée) le 2 octobre 1792. Il est en charge de la police et de la justice révolutionnaire. Il assure la mise en place de la terreur en favorisant les dénonciations. Le comité de salut public : mis en place en mars 1793, il contrôle dans un premier temps le pouvoir exécutif, mais son influence va ensuite largement s’accroître. - Réintroduction du tribunal révolutionnaire le 10 mars 1793 : en collaboration étroite avec le comité de

des 31 mai et 2 juin 1792 qui aboutissent à l’arrestation des Girondins. Il réclame l’exécution de tous les députés Girondins. Il organise la Garde nationale à Nantes, recrutant des volontaires contre les vendéens. En 1793, mandaté par le Comité de salut public de Robespierre, comme « représentant en mission », il est envoyé dans l’Aube pour y faire exécuter le décret de l’Assemblée sur la réquisition de 300000 hommes nécessaire à la guerre. Puis il participe avec un acharnement abusif à la déchristianisation

plus illustre membre et l'une des figures de proue. Opposé à la guerre contre l'Autriche en 1792, il s'oppose à La Fayette et soutient la chute de la royauté. Après les journées du 31 mai et du 2 juin 1793, il entre le 27 juillet 1793 au Comité de salut public, où il participe à l'instauration d'un gouvernement révolutionnaire et de la Terreur, dans un contexte de guerre extérieure contre les monarchies coalisées et de guerre civile (insurrections fédéralistes, guerre de Vendée...). À la suite de

de Paris né en juillet 1789, le 10 août, les insurgés la renversent et elle cède la place à la Commune insurrectionnelle où les sans-culottes ont le contrôle. Elle appliquera désormais la politique révolutionnaire et donc aussi celle du Comité de Salut Public de Robespierre. Hébert tenta de s'opposer à la Terreur tant il avait une influence sur la Commune. Mais la réaction des thermidoriens s'abattit sur elle, et lui ôta tous ses pouvoirs. Clubs Club des Jacobins