Salut les Terriens !

l’industrie. Par ailleurs les structures sociales et les mentalités évoluent. C’est le siècle des philosophes. Les structures économiques et politiques se modifient également de façon irréversible. Les monarchies dans lesquelles les propriétaires terriens dominaient les paysans, font place à des régimes bourgeois où les capitalistes détiennent le pouvoir face aux ouvriers. Le retour en arrière n’est plus possible. 1.1.4 Quatrième étape : la marche vers la maturité Elle correspond à la généralisation

repérant les causes de l’émigration des Irlandais et leur intégration à la société américaine. Question 1 : Les causes de l’émigration des Irlandais sont la Grande Famine de 1845-1849 ainsi que l’incitation au départ par le grand propriétaire terrien anglais. Question 2 : Les Irlandais déjà émigrés incitent leurs proches à les rejoindre dans leurs lettres. C’est ce que fait Mary Mc Bride en envoyant de l’argent pour faire venir son frère et sa sœur à New York : ainsi, l’émigration des uns

civile doit bénéficier d'une représentativité garantie et être associée aux projets afin 55 de garantir leur « soutenabilité sociale » . Les représentants de la société civile doivent être pluriels et pas uniquement constitués de grands propriétaires terriens ou de riches dirigeants économiques. Elle suppose une implication de toutes les branches de la société à leur développement, ce qui est encore loin d'être le cas. Cependant, l'originalité de cette démarche participative est qu'elle se veut multiple

volontairement précaire et révocable au gré du maître. Cette précarité pèse comme une menace permanente sur le khemmas. Son effort vise donc à sortir de cette situation en cherchant à constituer des réserves qui le libèreront de la demi-servitude terrienne et personnelle. Mais cette aspiration se heurte à l'intérêt du propriétaire qui vise exactement un but opposé. Si le désir du khemmas est de devenir un exploitant libre sur sa terre, celui du grand propriétaire est de s'assurer une source de

est" * garde intacte sa valeur et son autorité, mais le salut public qu'il faut "d'abord" prendre en considération est précisément cette constitution légale qui garantit la liberté de chacun par des lois : en quoi il demeure loisible à chacun de rechercher son bonheur dans la voie qui lui paraît la meilleure, pourvu seulement qu'il ne porte aucune atteinte à la liberté légale générale, par conséquent au droit des autres co-sujets. » * Le salut public est la loi suprême de l'État. BONHEUR CD POITIERS

monde naturel agresse sans cesse l'espace humain tout en le protégeant contre la civilisation urbaine, la ville étant placée sous un signe négatif, les rapports y étant corrompus par l'argent, l'être humain y perdant le contact avec ses origines terriennes. Les trois communautés vivent à l'écart du monde civilisé, les chemins qui y mènent sont rudes et escarpés (“Colline” [pages 15 et 16] ; “Un de Baumugnes” [page 46] ; “Regain” [page 24]). Elles vivent en équilibre fragile entre le contact avec la

anciennes familles de Rome, celui qui à un pater familias (archè). On appartient aux premières familles. D’un autre côté il y a la Plèbe, les citoyens plus récents (tribu, voisins, etc), ce sont des familles plus isolées les petits propriétaires terriens de campagne et les petits commerçant de la ville. Elle est indispensable dans la production romaine, la revendication politique des plébéiens va se faire par la grève. A l’époque la grève consiste à monter sur une des sept collines de Rome (l’Aventin)

les formes de sociabilité qui changent alors radicalement, passant d’un mode personnel de relations à un mode plus anonyme et abstrait. Ils notent par exemple, que les marques de civilité se sont modifiées (le serrement de mains fait place au salut d’honneur), les petits commerces se sont multipliés (la clientèle se substitue aux clients singuliers), les lieux de rassemblement ont changé de nature (le café remplace la jemâa), les espaces masculins et féminins se sont entremêlés (apparition

-> gdes entreprises Japon : 1853 – 1868 : période trouble, divisions concernant l’ouverture du Japon. 1868 : restauration de l’empereur de Kyoto qui regroupe une élite ; construction d’usines d’état avec peu d’emprunts étrangers. Forts impôts terriens. Comme cela ne marche pas et coûte cher à l’Etat, l’empereur Mutsu-Hito privatise. 1880 : vente des usines à prix modiques, naissance des Zaibatsu (Mitsubishi, Sumitomo, etc) Mais, en 1912, l’Etat possède encore 30 % du capital fixe japonais.

la scolarité, etc… 1ère partie : Les précurseurs de la sociologie I/Charles de Montesquieu (1689-1755) MONTESQUIEU est un baron : le baron Charles Louis de Seconda. Il fait partie des grands seigneurs. Il a une famille riche, propriétaire terrien. Montesquieu va beaucoup côtoyer la société aristocratique et intellectuelle. Il va baigner dans le milieu savant. Montesquieu exerce aussi des fonctions prestigieuses : magistrat, conseiller du roi, membre de l’académie française, membre de la société