Samedi soir sur la Terre

régulières éclipses de la raison. Pourquoi suis-je ainsi ? Qui sait ? La cause en est peut-être fort simple : je me fatigue très vite de tout ce qui ne se passe pas en moi. Et il y a beaucoup de gens dans mon cas. Nous sommes deux races sur la terre. Ceux qui ont besoin des autres, que les autres distraient, occupent, reposent, et que la solitude harasse, épuise, anéantit, comme l'ascension d'un terrible glacier ou la traversée du désert, et ceux que les autres, au contraire, lassent, ennuient

mais le ciel était toujours aussi gris, il descendit de voiture et m'ouvrit la porte, je frissonnais, l'air était glacé, je sortis sur mes deux jambes, mon plâtre étant enlevé depuis maintenant 2 mois. Les cours reprenaient lundi et nous étions samedi. Une lueur se dessina sur mon visage lorsque je vis ma mère et Phil descendre de la voiture de mon père, j’abandonnais Edward et me précipitait vers ma mère. _ Maman !m'écriais-je _ Bella, elle courait vers moi elle aussi nous nous prîmes dans

chambre. Sophie , la grosse, a dit à Barbara que tous les gens parlent d’eux. Elle dit que les gens parlent d’Antony, et qu’il est séropo.. Mais Barbara ne la croit pas. Elle pense que tout le monde essaie de tout casser, elle a l’impression que la terre entière lui en veut. Donc cette nuit, ils la passent ensemble dans la chambre de Barbara. Le lendemain, la femme de service qui apporte le petit déjeuner les a vus dans le lit. Elle repart sans dire un mot… 5. Intermezzo (p.45 – 52) La directrice

html Les bus de la ctpm (compagnie de transports perpignan méditerranée) Agence CTPM 27, Boulevard Clémenceau 66000 Perpignan Tel: 04-68-61-01-13 L'agence est ouverte du lundi au vendredi de 7h30 à 12h30 et de 13h30 à 18h30 ; le samedi de 09h00 à 12h00 et de 14h30 à 17h00. Tous les horaires, les plans et les tarifs CTPM sont consultables sur le site suivant: www.mairie-perpignan.fr (rubrique découverte/se déplacer/transports urbains) Liaisons: Le Boulou - Le Perthus

Le récit de Jean Joubert, Les Enfants de Noé , relate l’enfermement d’une famille dans un chalet à la suite d’une tempête de neige. La dramati- sation de l’aventure se double d’un jeu subtil sur la narration: c’est l’un des enfants, Simon, qui raconte et commente les événements sept ans après alors qu’il est étudiant à l’université, le discours argumentatif s’inscrivant ainsi dans la narration. Une narration changeante car, au fur et à mesure que la tension croît, celle-ci est déléguée au personnage

du bois reprend cette souris, George était tellement en colère après Lennie , que celui-ci lui demande si il doit partir. George lui dit que non , qu'ils ont un avenir ensemble, ils vont gagner de l'argent et ensuite s'acheter une maison, de la terre, une vache, des cochons. Ils finissent par manger et par se coucher. chapitre 2 (p 51 à 76) George et Lennie arrivent dans le nouveau ranch vers 10 h 00 du matin. Le baraquement des ouvriers est long, rectangulaire, murs blanchis à la

et ce n’était pas lui qui m’avait cherchée. ». Lui n’a que 13 F et elle, une montre et une chaîne en fer et peu de linge. La fugue est programmée pour le mardi (55) La porte de derrière est fermée à clé tous les soirs par l’intendante (56). Le mardi soir, Firmin retarde le projet au lendemain car son patron ne l’a pas payé (57). Le lendemain, en effet, elle s’enfuit de la maison en passant par la fenêtre de la lingerie (58) et le toit de la serre. Une minute après, ils courent dans les champs. En

et ce n’était pas lui qui m’avait cherchée. ». Lui n’a que 13 F et elle, une montre et une chaîne en fer et peu de linge. La fugue est programmée pour le mardi (55) La porte de derrière est fermée à clé tous les soirs par l’intendante (56). Le mardi soir, Firmin retarde le projet au lendemain car son patron ne l’a pas payé (57). Le lendemain, en effet, elle s’enfuit de la maison en passant par la fenêtre de la lingerie (58) et le toit de la serre. Une minute après, ils courent dans les champs. En

une nourrice admirable : je l'ai fait venir; ce fut samedi. Dimanche, j'allai chez Mme de Bournonville, lui dire le déplaisir que j'avais d'être obligée de lui rendre sa jolie nourrice. M. Pecquet était avec moi, qui dit l'état de l'enfant. L'après-dînée, une demoiselle de Mme de Bournonville vint au logis, et sans rien dire du sujet de sa venue, elle prie la nourrice de venir faire un tour chez Mme de Bournonville. Elle y va, on l'emmène le soir. On lui dit qu'elle ne retournerait plus; elle se désespère

25/848 dont tout cela a commencé. Je vivais bien, avant. J’avais une vie parfaite. Et puis, tout a dérapé. Oh, vous voulez savoir comment ? Vous voulez entendre ma triste histoire ? D’accord. Tout a commencé quelques mois plus tôt, un samedi soir tout ce qu’il y a de normal. Bon, normal pour moi en tous les cas. * * * Quatre mois plus tôt… – Vas-y, baise-moi, c’est bon, ouais c’est ça. Vous voyez ce type en costume noir, diablement beau ? Ouais, le type qui se fait tailler