Satire Partie De Campagne

l’état s’appuyait sur la concurrence pour améliorer l’industrie. Aussi, dans les campagnes, Staline décide lacollectivisation des terres en faisant disparaître la propriété privée, et tous les koulaks qui refusaient cette collectivisation étaient victime de la répression. Le régime de Staline est également total au plan politique, il dirige le pays en dictateur : il possède l’essentiel des pouvoirs et domine le parti communiste. La population est surveillée en permanence par la police politique.

l'orchestra. QUELQUES AUTEURS DE THEÂTRE GREC Aristophane: né en entre 455-450av JC, mort vers 385 av JC. C'est un pète comique qui a écrit de nombreuses pieces dont il nous reste que onze sur quarante-quatre. les comédies d'Aristophane sont des satires sociales ou des phamphlets. Oeuvres principales: Les guepes L'assemblée des femmes Ploutos Euripide: né entre 485 et 480 av JC et mort en 406 av JC C'est un poète tragique,La vie d'Euripide est mal connue Euripide aurait, selon la tradition

le suggère: Julien est déterminé à réaliser une ascension sociale telle que son idole Napoléon 1er. Cette envie de s'élever tient à deux facteurs. Tout d’abord, Julien est las de sa vie dans Verrières; il souhaite réellement quitter cette ville de campagne et plus particulièrement sa famille où il se sent mal afin d’accéder à un rang social plus prestigieux. Cette détermination est sans aucun doute aussi le résultat de l’attraction du pouvoir qui pousse Julien à tout faire pour se démarquer des autres

les courtisans se comportent comme de véritables « sauvages » : rites stéréotypés, compor­tement superficiel, « débauche », inversion des valeurs, hypocrisie et totale soumission à un roi... Les descriptions sont hyperboliques, mettant en valeur la satire, comme le montre la gradation aux lignes 1 et 2 : « les jeunes gens [sont] au contraire durs, féroces, sans mœurs ni politesse. ». Le but des courtisans est de « plaire », de séduire, d’attirer l’attention au prix d’ « artifices » et d’hypocrisie

lui-même tout son bien, et, n'ayant besoin d'aucun des êtres qu'il fait, il n'est porté à les faire ni à faire qu'ils soient de telle façon que par sa seule volonté indépendante. [Bossuet, Libre arb. 2] Libre arbitre, faculté de choisir entre deux partis, sans aucun motif déterminant et par la seule force de la volonté ; on a dit aussi franc arbitre qui est très peu usité, et libéral arbitre qui ne l'est plus du tout. 7Libre à, qui a la faculté, le pouvoir de. Car enfin je suis libre à disposer

esclaves, Marivaux PHILOSOPHES : Voltaire ( 1694-1778) : Défenseur des grandes causes (Affaire Calas, prend le parti d'un père accusé d'avoir tué son fils en ayant la certitude qu'il y a eu une erreur judiciaire > obtient réhabilitation du commerçant grâce à une extraordinaire campagne d'opinion). Domine scène intellectuelle mettant tous les genres au service de la satire, de la polémique et de l'argumentation. Incarcération à la bastille pour offense à un régent une première fois et une

tout-puissant : ce monde est forcément le meilleur possible. Par extension, « optimisme » désigne une tendance à voir le bon côté des choses, en opposition à « pessimisme ». À noter que le nom ne figure dans le dictionnaire de l’Académie française qu’à partir de 1762, soit après la publication de Candide. 2. Extrait 1 : le premier chapitre Objectifs : - percevoir le programme de lecture mis en place dans l’incipit ; - étudier l’implicite. On peut répartir les trois premières questions entre des groupes

développe en France, et plus largement en Europe, dans la deuxième moitié du XVIIe siècle.             Le classicisme se forme en opposition à un autre mouvement artistique antérieur, le baroque, né en Italie à Rome, Mantoue, Venise et Florence à partir du XVIe siècle et qui se répand rapidement dans la plupart des pays d’Europe. Il touche tous les domaines artistiques, sculpture, peinture, littérature, architecture et musique et se caractérise par l’exagération du mouvement, la surcharge décorative

Bruyère leur reproche deux choses essentiellement (comme aux parvenus en général, cf. Périandre) : d’une part leur âpreté au gain, sans aucun respect d’autrui, et d’autre part leur goût de l’étalage et de la montre une fois devenus riches. La satire est légère (16 pour se moquer de leur vanité), mais beaucoup plus virulente quand il s’agit de s’en prendre à leur âpreté, (28 : « faim insatiable d’avoir et de posséder », ou 51 : « toujours insatiables, même au seuil de la mort », et 58 : ils

prévoyance - et ce de manière explicite -, la fable classique, on l’a vu précédemment, ajoute implicitement une satire de l’égoïsme et du matérialisme qui n’émerge pas du tout chez Esope. En conséquence, le professeur et les élèves émettent l’hypothèse que la transformation parodique de la fable, en agissant sur le matériau narratif, entraîne un détournement de la morale tirant vers la satire, hypothèse qu’il leur appartiendra de vérifier tout au long de cette séquence. Au terme de cette séance, les