Saumur

BALZAC Eugénie Grandet Personnages Logis situé a Saumur : Angers province. Monsieur cruchot : Notaire chargé des placements usuraire de monsieur grandet,il raconte l’héritage que aura sa fille si la femme de grandet meurt. Grace a lui eugene se fait pardonner. Neveu de Monsieur cruchot : président souhaite épouser Eugénie Madame cruchot : Madame grandet : soumise a son mari, femme séche, elle decouvre l’échange de la boite fait avec charles , 1820 l e Père Grandet demande comme chaque

ensuite présenter rapidement le thème et les informations développées dans ces différentes pièces. Nous étudierons ensuite un cas particulier à savoir une lettre retraçant des actes de violences commis par un maître stagiaire à l'école des Recollets de Saumur. Nombre de pièces 5 Correspondants Instituteurs/Préfet du Maine 1882 et Loire/Ministre de l'Instruction Publique. Dates Présentations Lettres d'instituteurs vers le préfet et le ministre de l'instruction publique, pour des augmentations

et, pour les conserver propres, il les posait sur le bord de son chapeau à la même place, par un geste méthodique. Saumur ne savait rien de plus sur ce personnage. Six habitants seulement avaient le droit de venir dans cette maison. Le plus considérable des trois premiers était le neveu de monsieur Cruchot. Depuis sa nomination de président au tribunal de première instance de Saumur, ce jeune homme avait joint au nom de Cruchot celui de Bonfons, et travaillait à faire prévaloir Bonfons sur Cruchot

majoritairement dans un espace rural ; l'Avenue Balzac située le plus au Nord sur le croquis ci-dessus ; est principalement dotée de différents types de logements : petits immeubles, maison ... 3. Les acteurs publics de cet aménagement sont : Saumur agglo, la mairie de Saumur fait partie des maîtres d'ouvrage, les financeurs de cet aménagement sont le conseil général de Main-et-Loire ; la Région des pays de la Loire, l'Etat (FNADT), ainsi que l'Europe ( FEDER) Cet aménagement a été choisi en 2012, afin de

Fiche de lecture : Année de parution : 1833 Genre littéraire : roman réaliste Le résumé. A Saumur, petite ville de province, Félix Grandet (le Père Grandet), personnage d’une avarice extraordinaire, est à la tête d’une fortune colossale. Un jour de novembre 1819, une fête est organisée pour les vingt-trois ans d’Eugénie (la fille du père Grandet). Les des Grassins et les Cruchot, deux familles rivales qui espèrent marier l’un de leurs fils avec Eugénie, y sont conviés. Mais lors de cette

l’oeuvre A Saumur, M. Grandet règne en tyran sur sa famille. Riche propriétaire et respecté de tous, il a su s’enrichir au rythme des régimes qui se sont succédé au début du XIXe siècle. Sa fille, Eugénie, fait l’objet de toutes les convoitises de deux familles de la ville : les Cruchot et les des Grassins, qui veulent à tout prix marier l’un de leurs fils avec elle. Sur cette guerre de conquête, arrive Charles Grandet, cousin d’Eugénie, venu de Paris. Quand il arrive à Saumur, Charles ne le

écrit par Honoré de Balzac, paru en 1833 (Etudes de moeurs/Scènes de la vie de province). Description de la ville de Saumur (Maine et Loire) avec sa vie commerciale, les commentaires de ses habitants ... Biographie deMonsieur Grandet, qui a acquis une grande richesse grâce à de bonnes affaires, et qui a donc une grande influence politique et commerciale sur les habitants de Saumur. Il leur inspire du respect et de la terreur, à cause de la facilité avec laquelle il réussit toutes les spéculations

Atelier 1 La province (Saumur) : 1) a) Relevez les mots de vocabulaire péjoratif qui ont trait aux maisons de Saumur. Mélancolie, sombres, ternes, ruines, tristes, pâles et froid, obscure, voie tortueuse. b) Qu’en supposez-vous au sujet de la vie de ceux qui les habitent? Ce sont des personnes tristes et monotones. Ils ont une vie peu trépidante. 2) a) Relevez un procédé littéraire employé par Balzac pour décrire ces maisons.

L'Ingénu prit le chemin de Saumur par le coche, parce qu'il n'y avait point alors d'autre commodité. Quand il fut à Saumur, il s'étonna de trouver la ville presque déserte, et de voir plusieurs familles qui déménageaient. On lui dit que, six ans auparavant, Saumur contenait plus de quinze mille âmes, et qu'à présent il n'y en avait pas six mille. Il ne manqua pas d'en parler à souper dans son hôtellerie. Plusieurs protestants étaient à table : les uns se plaignaient amèrement, d'autres frémissaient

s'il ne rencontrait tout à coup le regard pâle et froid d'une personne immobile dont la figure à demi monastique dépasse l'appui de la croisée, au bruit d'un pas inconnu. Ces principes de mélancolie existent dans la physionomie d'un logis situé à Saumur, au bout de la rue montueuse qui mène au château, par le haut de la ville. Cette rue, maintenant peu fréquentée, chaude en été, froide en hiver, obscure en quelques endroits, est remarquable par la sonorité de son petit pavé caillouteux, toujours