Scipion l'Africain

arriver à Rome avec ses prêtres. Bizarrement, les choses commencent à basculer. 3 – Le redressement romain et la contre-attaque de Scipion. Hannibal proche de réussir manque d’hommes alors que Rome en a encore 200 000 malgré ses pertes et grâce à la confédération qui lui a donné une grande armée. En Espagne, les Scipion (le père et l’oncle du futur Scipion l’Africain), sont en train de barrer la route aux renforts qui pourraient arriver de l’Espagne. C’est inquiétant pour Hannibal, son alliance avec

souplesse aux deux choses les plus opposées : savoir obéir et savoir commander. ». Hannibal s’est fait connaître lors de la 2ème guerre Punique où il remporta des séries de victoires sur les légions romaines. Hannibal fut finalement battu par Scipion l’Africain lors de la bataille de Zama. Après cette bataille, un traité fut signé pour stopper cette guerre qui dura 20ans. La paix signée, Hannibal ne perd pas l'espoir de redresser la situation. Il prend part aux luttes politiques, devient le chef du

protéger de l’influence pernicieuse de la foule. Pour convaincre Lucilius de cette nécessité vitale, Sénèque prend l’exemple de sages célèbres, au § 6 : Socrate, le stoïcien Caton d’Utique, Lélius, dit « le Sage » (Laelius Sapiens, ami de Scipion l’Africain) auraient pu euxmêmes se laisser contaminer (excutere morem suum) par l’influence pernicieuse de l’atmosphère dégénérée de la fin du règne de Néron . 2/L’horreur des spectacles du cirque Sous l’Empire, ces spectacles (circenses) étaient

considérablement les deux camps. De 218 à 201 av J-C, la deuxième guerre punique a pour prétexte le siège injustifié d’une ville alliée des Romains par les Carthaginois. Elle opposa deux brillants stratèges, Hannibal et Scipion, dit l’Africain. La république est presque vaincue, mais Scipion, au terme de brillantes manœuvres stratégiques, vainc Hannibal et ne laisse que Carthage intacte. De 149 à 146 av J-C, la troisième guerre punique, le sénat romain décide de détruire Carthage pour assurer définitivement

l’histoire de l’Allemagne : « les Hohenfels faisaient partie de notre histoire » (p.15), « leur célébrité était encore vivace » (p15). Hans compare les ancêtres de Conrad à d’illustres Romains : « je connaissais leurs exploits aussi bien que ceux de Scipion l’Africain, d’Hannibal ou de César » (p. 15-16); iI énumère les hauts faits des ancêtres morts au combat : Anno von Hohenfels, Frédéric von Hohenfels, deux frères, Fritz et Ulrich, et un autre Frédéric von Hohenfels. Il souligne leur proximité avec la

Quand à sa mère Cornelia, elle était la fille de l’illustre Scipion l’Africain vainqueur d’Hannibal. Né en 162av. JC destiné à ne manquer de rien, il devient questeur en 137 av. JC ou il s’illustra a coté de l’incompétence militaire du consul Caius Hostilius lors de batailles en Espagne. En 133av. JC il devient tribun

de cinq mois avant d’arriver en Italie. La route avait été dure, cependant cette stratégie est plus que payante la surprise est totale. Elle permit aux carthaginois de remporter plusieurs victoires importantes : - En 218 avant J.C, ils vainquirent Scipion sur le Tessin et un mois plus tard Tibérius Sempronius et son armée connurent le même sort sur les bords de la Trébie. - En 217 avant J.C, défaite retentissante des romains au bord du lac Trasimène, plus de 15 000 romains périrent. - En 216 avant

ont toujours été hostiles à l'idée d'être gouvernés par un Roi. Cette simple idée faisait naitre en eux des sentiments puissantes qu'illustre l'assassinnat de César aux ides de Mars de -44. Pourtant, avec le siècle des grands imperatores (Scipion l'Africain, Scipion l'Asiatique, Pompée et César, pour ne citer que les plus célèbres) est né le sentiment que la République n'était plus à même de gouverner un territoire devenu trop grand par le biais des récentes conquêtes à l'est comme au nord, pour ses

doute pour glorifier leurs actes, pour évertuer leurs apports respectifs à Rome et son empire. En effet, ces derniers servent avant tout pour le prestige d'une gens (sorte de famille se reconnaissant un ancêtre commun), se dire descendant de Scipion l'Africain, de Paul Emile, pour n'en citer que deux, apporte vraiment un « plus » à sa vie, un respect de la part des autres. C'est une sorte de légitimité qui s'instaure avec elle. A fortiori, lorsqu'il s'agissait de rentrer dans les rangs de la nobilitas

Sabines. Aux calendes de Mars, à Rome, on célébrait leur fête. 3. Les âges de la vie 4. Les grandes femmes de l'Antiquité Cornélie – Cornelia Africana : (née vers 189 av. J-C., décédée vers 110 av. J-C.) Fille de Scipion l'Africain, mère des Gracques. Devenue veuve très tôt, elle se consacra à l'éducation des ses fils. Elle est devenue le type de Romaine de grande naissance, admirée par ses vertus et sa large culture. Lucrèce – Lucretia : ( ? - décédée en 509 av