Sécheresse

l'évapotranspiration est beaucoup plus que la quantité d'eau acquise par les précipitations. Un certain nombre de termes peuvent qualifier les déserts dont « sécheresse » ou « aridité ». Il faut faire la distinction entre ces deux notions. La sécheresse correspond à un déficit pluviométrique temporaire et relatif par rapport à des précipitations normales. On parle de sécheresse quand ce déficit hydrique n'est pas propre au climat de la zone et quand il dure suffisamment longtemps pour être dommageable. L’aridité est

par la sécheresse au Sahel ou les guerres civiles a accru la vulnérabilité des populations avec un effondrement massif de leurs capacités immunitaires. Ce qui s’est traduit dans les années 90 par une recrudescence des pathologies infectieuses telles que la tuberculose, le choléra ou la rougeole 1 1 Typologie des risques 1.-Risques « naturels » « Les risques naturels sont de deux ordres: • Les risques climatiques (tempêtes, cyclones et tornades mais aussi inondations et sécheresses) qui

ce cas une personne sur sept dans le monde souffre de la faim ? La menace alimentaire qui touche plus de 10 millions de personnes dans la Corne de l'Afrique remet en lumière la fatalité d'une catastrophe qui n'a pourtant rien de naturelle. Sécheresses, inondations, conflits armés... tout cela contribue à aggraver une situation d'extrême vulnérabilité alimentaire, mais ce ne ce sont pas les seuls facteurs explicatifs. La situation de famine dans la Corne de l'Afrique n'est pas une nouveauté

technologiques auxquels sont exposées les sociétés? Risques naturels | Risques technologiques | *Les risques liés au climat -cyclones/tempêtes/ouragans (Hugo, Katerina en 2005, 1 800morts) → mouvement de masse d'air -inondations -les sécheresses les activité humaines (rejet croissant de CO2) peuvent amplifiés ses phénomène *Les risques liés aux mouvements de l'écorce terrestre → le mouvement des plaques -séismes (Japon 2011) -les éruptions volcanique (Montserat) -tsunamis provoquer par

Australie a été largement insuffisante suite à une sècheresse hors du commun. En effet, L’Australie en tant que 3ème producteur mondial de blé a alors été à la base d’un manque en approvisionnement, ce qui a entrainé une augmentation des prix du blé dans le monde entier. Evolution et perspectives de la désertification * Malheureusement, la désertification progresse en Australie pour différentes raisons; surtout à cause des sècheresses périodiques de plus en plus fréquentes qui favorisent

en deux catégories bien distinctes. La première comporte les phénomènes naturels dévastateurs, généralement imprévisibles, d'une importante ampleur, qui détruisent les cultures et anéantissent les cheptels : tremblements de terre, inondations, sécheresses, invasions d'insectes (comme les criquets), maladies épidémiques des plantes. La seconde implique directement des comportements humains : les guerres avec leurs destructions, avec le parti pris délibéré de détruire les productions des adversaires;

dépend fortement des conditions climatiques de l’année. Ainsi, les bovins, qui étaient au nombre de 3.7 millions de têtes en 1975, ont connu une chute de 30% durant les années de sécheresse de 1980-83. Depuis 1985, les troupeaux se sont reconstitués lentement pour atteindre en 1990 le même niveau qu’en 1975. La sécheresse qui a eu lieu entre 1992 et 1995 a de nouveau réduit les effectifs à 2.4 millions de têtes (Races bovines au Maroc, Boujenane; 2002). Actuellement, le cheptel bovin est estimé à

Documents 1,2 et 3 : 3) Du point de vue des ressources en eau, la Turquie se place au premier rang avec 3000 m/hab : c’est un grand pays fortement peuplé avec de grosse ressource en eau tel que l’accès à deux mers ou encore, aucune zone de sécheresse ; ses secteurs d’activités sont assez équilibrées, 72% pour l’agriculture, 16% pour l’usage domestique et 12% pour les l’industrie. En revanche, on constate que l’Irak est un pays faiblement peuplé avec des ressources en eau correct (2500m/hab)

fixation mécanique qui se résume à ériger des palissades le long des cimes des dunes, à l’aide de palmes (appelées localement AFREG). Dans ce sens, le programme quinquennal (2005-2009) a intégré le reboisement de 420 ha par des arbres résistants à la sécheresse, mobilisant alors une enveloppe de 6,4 milliards de centimes, dont 170 ha ont été réalisés jusqu’à présent, ainsi que 1 190 km de palissades, pour une valeur de 10,3 milliards de cts, dont 162 km ont été exécutés. L’on nous indique que 640 postes

majoritairement pluviale, qui occupe environ 75 % de la main-d'œuvre agricole et malgré une diversification de la production agricole, celle-ci est encore tourné vers l'agriculture de subsistance. De plus, une large partie du Sénégal se trouve sujette à la sècheresse caractéristique de la région du Sahel, avec des précipitations irrégulières, des sols généralement pauvres et des ravageurs via les invasions acridiennes. Le cheptel compte 3,1 millions de bovins et 8,7 millions d'ovins et de caprins. La plupart