Sécheresse

(les pluies d'été), les cultures rabi prenant ensuite le relais jusqu'en mai-juin (souvent grâce à l'irrigation). Les zones arides comme le désert de Thar, au centre, ou montagneuses comme l'Himalaya sont moins favorisées, les unes en raison de la sécheresse, les autres du froid. • L'essentiel des terres agricoles est voué aux cultures vivrières, essentiellement céréalières : riz, blé et millet, dont l'Inde est le deuxième producteur mondial. La riziculture est concentrée dans les zones les plus touchées

il s’agit d’une véritable «culture loterie ». En effet, plus le total moyen des précipitations est faible, plus les écarts à la moyenne sont importants... Une série de bonnes années et voici le front des cultures qui mord sur le désert. Vienne la sécheresse, la catastrophe s’abat sur le Sahel en même temps que le spectre de la désertification vient hanter les esprits. Ainsi en va-t-il chaque fois que les frontières du risque sont transgressées. L’économie sahélienne associe le pastoralisme fondé sur

quelque 12 tonnes de CO2 par an et par habitant contre 23 tonnes aux Etats-Unis et 4,4 tonnes en Chine. Or à ce rythme, notre comportement pourrait avoir des répercussions graves sur l’environnement et ce à l’échelle de quelques décennies : Les sécheresses et les inondations seront plus nombreuses, sous l’effet de l’évaporation accrue de l’eau des mers. Les pays dont les ressources en eau sont déjà mauvaises seraient ainsi les premiers à en faire les frais. La fonte des glaces et des neiges s’accélérera

l'état d'urgence Quand tous les océans ont englouti les îles Et que les innondations ont frappé les grandes villes Et par la suite pendant toute une décennie Ce fut les ouragans et puis les incendies Les tremblements de terre et la grande sécheresse Partout sur les visages on lisait la détresse Les gens ont dû se battre contre les pandémies Décimés par millions par d'atroces maladies Puis les autres sont morts par la soif ou la faim Comme tombent les mouches... Jusqu'à c'qu'il

l’aménagement du territoire peut être la source de nouvelles richesses pour l’économie des zones de montagne, mais dans le cadre d’un comportement économe et responsable. Avec le réchauffement climatique, les situations d’évènements extrêmes comme les sécheresses, les inondations et l’érosion accélérée, risquent de se multiplier et d’être, avec la pollution et le gaspillage, d’ici une génération un des principaux facteurs limitant le développement économique et social dans la plupart des pays du monde.

se situe actuellement à un niveau historique. Les prix alimentaires flambent. Les industriels se disent obligés d’augmenter leur tarifs en moyenne de 5 à 8 %. Pourtant, les stocks mondiaux ont été reconstitués en 2008 et en 2009. En dépit de la sécheresse et des incendies en Russie et des inondations en Australie, des aléas climatiques ayant fortement perturbé les récoltes, les stocks mondiaux de blé en 2010/11 seront de 176,72 millions. Autre signal positif : en Asie, le prix du riz, base de l’alimentation

Il existe de fortes présomptions que la vulnérabilité des populations et des ressources en eau sera augmentée avec le changement climatique. Et notamment l’augmentation des évenements extrèmes, comme les sécheresses et les inondations. 1.1.1.3 Sécheresse et Inondations Sécheresse et inondation peuvent provoquer des catastrophes. Le changement climatique, les interventions humaines sont des facteurs aggravants de risque. Les politiciens sont conscients du problème ; malgré tout, ils ont

forêt et du braconnage (Le braconnage est une pratique illégale de la chasse). 7) Témoignage : * Adanech Woyna, 39 ans. D’ordinaire, sa famille dépend entièrement de l’agriculture, cultivant du maïs et des patates douces. Mais avec la sécheresse et cinq enfants à nourrir, elle n’arrive plus à trouver assez de nourriture. Pour pallier au manque, son mari travaille comme laboureur dans le village voisin afin de gagner un peu d’argent. Malgré cela, il ne parvient qu’à acheter du pain à l’enset

et/ou au DTS doivent effectuer un stage de deux (02) mois en entreprise. Ce stage sera sanctionné par un rapport présenté devant un jury. C’est dans ce cadre que nous avons effectué un stage pratique au Comité Inter – Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel du 1er octobre au 30 novembre 2007. INTRODUCTION L’explosion des Technologies de l’Information et de la Communication a apporté de nombreux changements dans l’organisation du travail et dans la relation interpersonnelle.

selon la saison. Effectivement, les températures atteignent 40 ° C en été, et -40 en hiver. Aussi, la moyenne de température est de -26.5°C en janvier et de 17.5°C en juillet. Le soleil est présent en moyenne 257 jours par an, ce qui amène des sécheresses considérables. En effet, étant généralement au cœur d’un système de hautes pressions, ce désert ne connait pas beaucoup de pluie. Les précipitations se font une fois aux deux ou trois ans et ce, durant la période estivale. Dans les zones plus basses