Secret de famille

de la famille mais aussi de la société, en s’appuyant sur des témoignages et des articles réalisés par différents auteurs. Le premier de ces textes est un extrait de l’autobiographie de Annie Ernaux et est intitulé « une femme » dans lequel elle invoque le souvenir de sa mère. Le second des textes étudiés est un article tiré du journal l’Express du 12 avril 2004. Ces auteurs, Marie Huret et Natacha Czerwinski s’y interroge sur le succès de la généalogie et tournent autour du secret de famille. Le troisième

 Le jardin secret : Editeur : Gallimard Jeunesse Collection : Folio junior Frances Elisa Hodges Burnett est née le 24 novembre 1849 à Manchester, en Grande-Bretagne. A l’age de 16ans, elle suit sa famille qui se fixe au Etats-Unis. Elle se rend populaire en écrivant des livres pour enfant, mais c’est le Petit Lord Fauntleroy qui lui apporte le succès ; son fils lui servit de modèle pour le personnage principal. Par la suite, elle publia

à la fois, Delphine tente de la comprendre en explorant son passé. Elle relate la vie de sa mère, avec tous les bons et les mauvais cotés, et écrit son histoire avec une grande justesse. Entre autobiographie et introspection, l’auteure analyse sa famille dans les moindres détails. Avis de lecture : Un livre poignant qui nous peint une dérangeante vérité. Le livre nous attire. La femme présentée sur la couverture nous intrigue avec sa beauté. « Ma mère était morte depuis plusieurs

regrette tout de suite ses pensées : « un flot d'amour et d'attendrissement, de repentir, de prière et de désolation noya son cœur. ». Dès que Pierre découvre la vérité sur le secret de sa mère,les rapports entre Mme Roland et son fils se dégradent et ils empirent tout au long du roman jusqu'à la fin où Pierre, exclu de la famille , s'exile sur La Lorraine,et fuit le cercle familial. Le narrateur nous montre aussi l'attachement que Louise a pour Pierre.Elle s'inquiète de ne pas le voir trouver de métier

Paris en 1950 pour y trouver un poste comme fille au pair dans une famille sur place. Quand elle va dans un café pour chercher une adresse appropriée, elle fait la connaissance d’un jeune médecin, Richard Fabre, qui est fortement attiré par sa beauté et son charme. Quand Wanda décide de demander du travail chez une famille juive, les Finkelstein, il lui offre de l’aide pour arriver à leur appartement. Wanda s’y présente au père de famille, Samuel, qui a réussi de survivre son déportation au camp de travail

s’oppose. Pour le faux médecin, c’est de garder sa fausse identité et pour l’écrivain c’est de comprendre pourquoi Jean-Claude Romand a tué toute sa famille. Il y a contradiction, car l’auteur essaye d’avoir réponse aux questions qu’il se pose. Il veut savoir pourquoi le personnage principal garde un aussi gros secret et pourquoi il a abattu toute sa famille, et pour Jean-Claude, il ne veut pas que son énorme mensonge soit découvert : 2« Comment se serait-il douté qu’il y avait pire que d’être rapidement

Aides familiales, SECRET PROFESSIONNEL, DEVOIR DE DISCRETION ACTUELS ELÉMENTS DE REFERENCE – ROMBEAUX JEAN-MARC, CONSEILLER À LA FÉDÉRATION DES CPAS DE L’UVCW[1] En Région wallonne, le statut des aides familiales prévoit que l'aide familiale est liée par un devoir de discrétion. Cette obligation persiste après la fin des interventions et après la fin de son contrat. Ce devoir de discrétion donne lieu à débat. Au sein de notre Association, trois questions sont apparues: - quelle est

familiale. - Axes : I/ L’argent : seul lien qui unit la famille II / L’argent : un thème qui reflète l’identité des personnages Développement : I/ L’argent : seul lien qui unit la famille : - Dans le roman : chaque perso vit à l’écart des autres → l’argent seul lien qui existe entre eux, mais lien négatif :- Famille soudée qu’à l’annonce de l’héritage → famille se détourne de Mme Rosémilly (cf p.82) → début de l’unification de la famille Roland, cupidité qui les rapproche. - Argent : source

Philippe Grimbert – Un secret « Fils unique, j’ai longtemps eu un frère. » C’est sur cette phrase ambiguë et énigmatique que s’ouvre le roman de Philippe Grimbert, Un secret. Le narrateur du roman raconte dans les deux premiers chapitres les souvenirs de son enfance. Le « je » est Philippe lui-même qui s’imaginait un frère, invisible mais doué (begabt) de toutes les qualités physiques et mentales qu’il aurait aimé avoir lui aussi. Non seulement cette toute première phrase est énigmatique

reflet de la société et de l’auteur. Dans un deuxième temps, nous parlerons de l’existence d’une rivalité entre les deux frères et dont les différences s’accentuent au fil de l’histoire. Et dans un troisième temps nous aborderons la découverte du secret où il n’y a pas de retour possible, Pierre en subira les conséquences. Pour l’auteur, son environnement est une source inépuisable d’inspiration. Tout d’abord, à sa date d’écriture, la France connaît des difficultés économiques et s’enlise dans