Lazare de Baïf

RonsardCette fonction lui offrit l’occasion de voyager : il fut envoyé en Flandre puis de nouveau en Écosse. Bientôt, une fonction plus importante lui fut offerte et il devint le secrétaire de la suite de Lazare de Baïf, le père de son futur collègue de Pléiade et compagnon à cette occasion, Antoine de Baïf. Il a été attaché de la même manière à la suite du cardinal du Bellay-Langey et sa querelle mythique avec François Rabelais date de cette époque. Cette carrière diplomatique prometteuse fut cependant

Cette fonction lui offrit l’occasion de voyager : il fut envoyé en Flandre puis de nouveau en Écosse. Bientôt, une fonction plus importante lui fut offerte et il devint le secrétaire de la suite de Lazare de Baïf, le père de son futur collègue de Pléiade et compagnon à cette occasion, Antoine de Baïf. Il a été attaché de la même manière à la suite du cardinal du Bellay-Langey et sa querelle mythique avec François Rabelais date de cette époque. Cette carrière diplomatique prometteuse fut cependant

septembre 1524 dans le Château de la Possennière, près de Vendôme.Il est d'abord page de beaucoup d'aristocrates, dont le fils du roi François Ier. Il se destinait à la carrière de militaire et de diplomate, ayant déjà été secrétaire de l'ambassadeur Lazare de Baïf; mais une grave maladie le rend à demi-sourd; il doit donc réorienter son avenir.Le 6 mars 1543, il est tonsuré au Mans. Des bénéfices ecclésiastiques lui assurent un revenu régulier qui lui enlève tout souci matériel; ce qui lui vaut de consacrer

1524 dans le Château de la Possennière, près de Vendôme. Il est d'abord page de beaucoup d'aristocrates, dont le fils du roi François 1er. Il se destinait à la carrière de militaire et de diplomate, ayant déjà été secrétaire de l'ambassadeur Lazare de Baïf; mais une grave maladie le rend à demi-sourd; il doit donc réorienter son avenir. Le 6 mars 1543, il est tonsuré au Mans. Des bénéfices ecclésiastiques lui assurent un revenu régulier qui lui enlève tout souci matériel; ce qui lui vaut de consacrer

1552 ; Les Amours de Marie, 1555 ; Sonnets pour Hélène, 1578) Il est d'abord page de beaucoup d'aristocrates, dont le fils du roi François Ier. Il se destinait à la carrière de militaire et de diplomate, ayant déjà été secrétaire de l'ambassadeur Lazare de Baïf; mais une grave maladie le rend à demi-sourd; il doit donc réorienter son avenir.       Le 6 mars 1543, il est tonsuré (consistant à raser une partie des cheveux) au Mans. Des bénéfices ecclésiastiques lui assurent un revenu régulier qui lui

devient page du troisième fils de François premier, Charles d’Orléans -En 1540, il séjourne trois mois en Allemagne comme secrétaire de Lazare de Baïf, un de ses cousins diplomates. Là, il entre dans les milieux lettrés que fréquente ce dernier, développant ainsi ses goûts artistiques. En 1540, il séjourne trois mois en Allemagne comme secrétaire de Lazare de Baif, un de ses cousins diplomates. Là, il entre dans les milieux lettrés que fréquente ce dernier, développant ainsi des gout artistiques.

né en septembre 1524, près de Vendôme. Tout d'abord, il est page de nombreux aristocrates, notamment le fils du roi François Ier. Il voulait faire une carrière de militaire et de diplomate, car il a déjà été secrétaire de l'ambassadeur Lazare de Baïf; mais une grave maladie le rend à demi-sourd. Il est transféré au Mans, le 6 mars 1543, où des bénéfices ecclésiastiques lui assurent un revenu régulier qui lui enlève tout souci matériel. Ceci va lui permettre de consacrer sa vie à la poésie

« noyau dur » de la « brigade » des poètes des années 1550-1570, Pierre de Ronsard et Joachim du Bellay. Dans ses nombreux catalogues d’élite poétique successifs (qui contiennent souvent sept poètes, parfois plus ou moins), Ronsard cite par exemple Baïf et Étienne Jodelle dans son Elégie à La Péruse de 1553 et il y ajoute Rémy Belleau à la fin de son Hymne à Henri II de 1555 (participation confirmée en 1556 à l’occasion de la première utilisation par Ronsard du terme Pléiade : « Belleau, qui vint

Écosse, celle-ci meurt malheuresement en mars 1537. Il reste encore un peu en Écosse puis prend le chemin du retour vers la France en passant par l'Allemagne - où il séjournera, en 1540, pendant trois mois, chez son cousin humaniste et diplomate Lazare de Baïf et assistera en sa compagnie à la diète de Haguenau - et la Flandre pour arriver en Alsace où il y sera fait écuyer. Des desseins militaires se profilaient pour son avenir. Mais atteint d'otite chronique, il en ressort non sans séquelles. Devenu

Pléiade poétique (IIIe siècle av. J.-C.)) ; cette appellation sera adoptée par la postérité[3]. Outre le « meneur » Pierre de Ronsard, la Pléiade regroupe alors selon lui les poètes Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. À la mort de Jacques Peletier du Mans, Jean Dorat le remplacera au sein de la Pléiade, et d'autres poètes comme Guillaume des Autels et Nicolas Denisot y seront aussi parfois comptés. On considère souvent la