Secteur Tertiaire Dans Les Pays Développés

ans de travaux. Les Régions « naturelles » Régions économiques Part des différents secteurs économiques en 2005 (% de la population active) : - Secteur primaire (agriculture, pêche, exploitations forestière et minière) : 4% - Secteur secondaire (industrie) : 21 % - Secteur tertiaire : 75 % Le tertiaire prédomine. Le tertiaire est le secteur qui produit des services. « Le secteur tertiaire recouvre un vaste champ d'activités qui va du commerce à l administration, en passant par les transports

Une forte accélération de la croissance on observe globalement une accélération de la croissance depuis trois siècles. On peut distinguer néanmoins plusieurs périodes : Période Dates Caractéristiques TCAM PIB/hab, pays développés Période agraire 500-1700 Croissance presque nulle 0,1% capitalisme commercial 1700-1820 première petite accélération +0,2% première révolution industrielle 1800-1850 machine à vapeur, métier à tisser et le train +1% seconde révolution industrielle 1890-1930

issus de l’exode rural. En effet l’exode rural est tel que Paris englobe les villages alentours pour ne faire qu’un. L’exode rural est du à l’envie des habitants des campagnes de trouver un travail pour nourrir leur famille ? Cet exode permet de développer les industries qui se mécanisent d’avoir une main-d’œuvre disponible à porté de mains certains patron vont même jusqu’à loger leur employés à côté de leur usine, cela permet d’augmenter le rendement et la productivité des entreprises. Toutes ces

de production. Ainsi, avec le même nombre de travailleurs et le même stock de capital, le PIB augmente. On remarque que les pays qui dépensent le plus pour la recherche-développement sont ceux qui connaissent une forte progression de leur productivité. Au Japon, la productivité par personne occupée a augmenté en moyenne de 1,93% par an entre 1982 et 2003, alors que ce pays occupe la première ou deuxième place pour l’effort de recherche : il consacre, en 2002, 3,12% de son PIB à la dépense de RD.

niveau microéconomique, les effets varient selon la nature de l'investissement alors qu'au niveau macroéconomique, ils diffèrent selon la période donnée. Pour illustrer ces effets, l'étude s'étendra des Trente Glorieuses à nos jours dans les pays développés. Il est admis que le progrès technique est souvent destructeur d'emplois car il remplace l'homme par des machines automatisées. Cependant, selon Schumpeter le progrès technique serait plutôt une « destruction créatrice » d'emplois. De plus,

|durée hebdomadaire du travail |ceux qui désirent travailler, |des réserves de productivité et |travail au capital, surtout dans | | |tout en permettant aux |l’abaissement progressif se |les secteurs où le travail en | | |entreprises de s’adapter à la |traduit par une augmentation de |équipe suppose obligatoirement | | |nouvelle situation. |la productivité

pour les problèmes du pays, mais elle facilite l’implémentation des politiques publiques qui complètent les insuffisances de la croissance. En bref la croissance est une condition nécessaire mais non suffisante pour assurer le bien être social. Au Maroc, à l’instar des pays en voie de développement, la nécessite d’assurer une croissance économique forte et durable s’impose comme une solution pour plusieurs problèmes sociaux qui hypothèquent l’avenir du pays. Avec l’accumulation

PARTIE : LA TERTIARISATION DE L’ECONOMIE Depuis maintenant vingt ans, les seules activités créatrices d’emplois relèvent du secteur tertiaire. Autrefois considérées comme activités induites par l’industrie et l’agriculture, elle deviennent une branche motrice, souvent à même d’entraîner le secteur secondaire dans son développement. Au sein des activités tertiaires, les branches à forte productivité comme le tourisme, le transport, le commerce, les finances, ne sont pas celles qui créaient le

États-Unis et inférieur au attentes des analyse, même si certain fondamentaux la croissance économique ralentie de 2,2 % le PIB du pays a augmenter de 2,2 % en rythme annualisé de janvier a mars après avoir progresser de 3 %. la politique monétaire menée pas la FED ( la banque central américain) régule a croissance qui conditionne celle de la France et de la plupart des pays dans le monde, mais les bonnes performances française ne sont que la partie émergé de l'iceberg constitué par le surendettement

mutations de l’emploi ont lieu dans notre société : dans les années 50 la structure de l’emploi en France était divisée en trois secteurs : primaire, secondaire et tertiaire (toujours le cas aujourd'hui, ce qui a changé c'est la part de chaque secteur). Chacun ayant approximativement la même part. Mais cinquante ans plus tard, en 2008, on relève une part du secteur tertiaire bien plus importante (75% de la structure de l’emploi en France), celle de l’industrie en faible diminution, et celle de l’agriculture