Seigneur de guerre

trouvaient également en suisse, Allemagne ou Belgique. Mais ces peuples n'avaient pas d'existence collective. Leur nom a été donné par les latin, il n'avait pas "d'identité nationale". Jules Cesar leur donne le nom de Galli (coqs), du fait de leurs guerres entre eux. Les gaulois ne nous ont rien apporté. La ville d'Aix a été créée en 120 av J-C, par le général Sextius. La première ville romaine construite dans le domaine de la France c'est Aix, le plan de Aix est ressemblant au plan de Pompéï. Les gaulois

autres dc 2 espace la francie orientale et la constitution d’un nouvel empire . 2e etape desagragation de l’empire caro : Etats pontificaux (aptrimoine de st pierre) créer au milieu 8e s par un accord entre fam caro et la papauté. Le pape estle seigneur temporel donc l’expression territorail de la puissance temporel de la papauté. 3e etape : 888 emp reconstitué de facon artificiel par louis le gros mais fondé sur aucune assise viable et l’empire eclate completement ac series de royaume qui se

raisons de s’enorgueillir : comme ils n’étaient pas très puissants sur le plan politique, ils avaient dû mettre au point une force de négociation qui faisait des envieux, seul moyen de garantir leur survie dans un monde constamment dévasté par la guerre. Une alliance contractée aux environs de l’an 1000 avant J.-C. avec Salomon, roi d’Israël, avait favorisé la modernisation de la flotte marchande et l’expansion du commerce. Depuis lors, la Phénicie n’avait cessé de se développer. Ses navigateurs

internationales occupent un large champ disciplinaire. Les relations internationales, entre les Etats intéressent tout à la fois la science politique et la science juridique. La science politique propose de faire une étude de la diplomatie et de la guerre et de la paix. La science juridique l’étude des relations internationales passent par l’analyse du fonctionnement des organisations internationales et la mise en place bite des conventions internationales. Ni le juriste ni le politologue ne peuvent

contexte, la date exacte peut varier. On peut par exemple citer la chute de Constantinople en 1453, le premier voyage de Christophe Colomb en 1492 ou le début de la Réforme protestante en 15179. Les historiens français utilisent souvent la fin de la guerre de Cent ans en 1453 pour marquer le terme de la période tandis qu'en Grande-Bretagne et en Espagne, c'est respectivement la bataille de Bosworth en 148510 et la prise de Grenade en 149211 qui sont plus fréquemment mentionnées. Ces dates symboliques

concillium. Cette armée était constituée des comitatus : reconnaissance par le serment. Ils sont des petits groupes de guerriers à la tête desquels il y a un chef. Les jeunes guerriers prêtent serment à celui qui le dirige pour apprendre le métier de la guerre et donc devenir son fils pour les armes – serment qui les lient jusqu’à la mort. En contrepartie, le chef lui doit le logis, la nourriture de l’armement). Pour le reste du peuple, soumission au roi (choisi par rapport à sa capacité à porter les armes)

contact, dans la guerre et dans la paix, par le biais de quelques intermariages3, à différents niveaux, en raison du fait que le roi d’Angleterre fut pendant longtemps duc de Guyenne (une Guyenne un moment démesurément élargie en une immense principauté d’Aquitaine4), et surtout en raison de la conquête de la Normandie et des terres adjacentes par Henry V, ce qui permit à des membres de la nobility et de la gentry pendant quelques années de devenir, par l’obtention de fiefs, des seigneurs et des nobles

distinction essentiel c’est la fonction sociale. Il s’en distingue 3 : - La prière. - La guerre. - Le travail. A chaque fonction sociale, correspond un groupe social, qu’on appelle « ordre » qui vient de « ordo » en latin qui veut dire « mode de vie ». - Le clergé ; ce sont tous les ecclésiastiques, réguliers ou séculiers, ceux qui prient pour les autres. - La noblesse ; historiquement ce sont les seigneurs & leurs vassaux, ceux qui combattent pour protéger les autres ordres. - Le tiers-état /

redressement de l’autorité royale qui est mis en route, l’objectif étant la reconstitution de cette autorité, en dépit de la féodalité. En effet, les rois de France, suzerains, cherchaient à agrandir leur domaine royale, s’imposant ainsi comme le seigneur de tous, chercher à s’éloigner de l’adage endiguer à cette époque « Le vassal de mon vassal n’est pas mon vassal ». Ainsi, pour mettre fin à l’émiettement du territoire, et de leur pouvoir, les rois vont enclencher un processus, pour jouir entièrement

s'opposant à l'éclatement issu de la féodalité. Les villes, quant à elles, cherchent à gagner leur autonomie et à s'affranchir des contrôles économiques exercés par le seigneur sur leurs échanges. A la fin du XIIème siècle, la monarchie capétienne a toutes les apparences d'une monarchie féodale. Le roi est considéré tel un seigneur comme les autres. Il est lui-même pris au piège des relations féodo-vassalique et parfois entouré de voisins beaucoup plus puissants que lui. Hugues Capet est en conflit