Semaine des barricades

d’autres travailleurs de la ville, cette volonté de lutte montra clairement que des sections de la jeunesse ouvrière étaient prêtes à en découdre avec le patronat. En 1966, les salaires des travailleurs français étaient les plus bas de la CEE, les semaines de travail les plus longues (jusqu’à 52 heures dans certaines branches !), et les impôts les plus élevés. Pour mieux faire face à la fin des "trente glorieuses" qui s’annonçait à l’échelle mondiale, notamment lors de la crise de l’étalon-or, de

Lenoir. Tombant sous le charme de cette charmante demoiselle il se rend tous les jours aux jardins espérant l'apercevoir. Puis, un jour, le couple espace leurs venues jusqu'à ne plus venir du tout. Marius tente donc d'obtenir leur adresse. Quelque semaines plus tard, Marius observe les Jondrette et ne peut que constater leur pauvreté. Il s'aperçoit que M. Leblanc et Mlle Lenoir leur rendent visite. Ces derniers permettent à la famille de revenir dans six heures à fin de leur donner une somme d'argent

», qui déchaîne l'enthousiasme des foules. Pragmatique, il n'a pas de solutions mais sera amené, face à la lassitude des Français du continent et la pression internationale, à accorder l'indépendance à l'Algérie. 24 janvier 1960 : la « semaine des barricades » à Alger S'estimant trahis par De Gaulle, dont les discours sont de plus en plus favorables à l'indépendance, les Européens d'Algérie ainsi que quelques officiers, manifestent à Alger, conduits par Pierre Lagaillarde (député d'Alger et ex-parachutiste)

composée de boutiquiers, d’artisans, de membres de la bourgeoisie, est hostile à la Monarchie de Juillet. Au soir du 23, des manifestants conspuent Guizot. Les soldats présents tirent dans la foule et tuent 13 personnes. Paris se couvre alors de barricades. Les troupes sont mises en échec par les insurgés et le roi Louis-Philippe abdique le 24 février : le même jour, la République est proclamée à l’Hôtel de Ville. Un gouvernement provisoire est formé, essentiellement composé de républicains modérés

Juillet 1830: Les trois Glorieuses. B* 21 Novembre 1831: Révoltes des Cants à Lyon. C* 5 et 6 Juin 1832: Obsèques du Général Lamarque. 2) Attentats et évènements sanglants faits par les républicains de 1834 à 1848. A* 9 Avril 1834: semaine sanglante à Lyon. B* 14 Avril 1834: massacre de la rue Transnonain. C* 9 Juillet 1847: Lancement de la campagne des banquets. 2ème partie: Journaux républicains, sociétés secrètes républicaines et les classes sociales durant la Monarchie

phases : « phase étudiante » (3 - 13 mai) : * 400 étudiants occupent la cour de la Sorbonne * manifestations étudiantes se transforment en émeute et violence de la part des étudiants et des forces de l'ordre * mise en place des premières barricades au boulevard Saint-germain * du 9 au 12 mai : grèves étudiantes deviennent nationales et de plus en plus violentes * 13 mai : 1ère manifestation des ouvriers ; syndicats veulent une augmentation des salaires et une réduction du temps de travail

l'illumination du ministère des Affaires Étrangères, lieu où siège Guizot. Le poste de garde voyant tout ces manifestants se sentit menacé et une grande bataille commença. Plusieurs manifestants trouvèrent la mort. Les 23 et 24 Février, de nombreuses barricades se formèrent dans Paris, et de nombreuses batailles éclatèrent. La dernière aura lieu au Palais des Tuileries où le Roi abdiquera, démoralisé de finir comme « Charles X », en faveur du Comte de Paris. Mal grès les batailles sanglantes, on se rappellera

à la place de sa, il ne soutien aucune des deux communautés. La seule volonté de De Gaulle est de les réconcilier. La création de l’Organisation de l’Armée Secrète est une source de haine et de terreur depuis 1961, qui se précède de la semaine des barricades en Janvier 1960 à Alger, déclenchés à chaque fois par l’échec de combat de la part de De Gaulle.

se rassemblent place du Panthéon, puis se rendent à la Madeleine où ils se mêlent aux ouvriers. Les manifestants se dirigent ensuite vers la Chambre des Députés aux cris de « Vive la Réforme ! à bas Guizot ! ». Quelques rixes et des ébauches de barricades pendant le reste de la journée. Dans l’ensemble, les forces de l’ordre contrôlent la situation. L’occupation militaire de Paris a été décrétée. La garde nationale parisienne, 40 000 hommes, a été dans les premières années de la Monarchie de Juillet

gouvernement rassembla une armée que les communards appellent versaillaise, composée en partie de prisonniers de guerre libérés par les Allemands. Le 21 mai les Versaillais parviennent à entrer dans la ville. Commença la Semaine sanglante, des combats de rue sans pitié, barricade par barricade, qui s’achevèrent par la défaite des militaires au cimetière du Père-Lachaise. La Commune fut d'abord et surtout une tentative de révolution sociale . En Belgique, le 21 mai, les membres de la Première Internationale