Sensation Rimbaud

 Dans ce texte, Bergson montre que les mots figent nos sensations et les transforment, que la parole, le language se met entre notre sensation et notre conscience ». Il part d'une explication simple et meme banale, « je peux goûter à quelque chose dont je n'avais pas mangé depuis mon enfance, par exemple une madeleine trempée dans une tasse de thé. Je suis incapable à présent de me souvenir précisément de cette saveur, mais je sais clairement que je l'appréciais jadis. Quelle n'est pas alors ma

dpasse un sens simplement passif. Percevoir ne serait donc pas simplement un ltat de celui qui reoit passivement. Dfinitions Classique Processus dorganisation spontan de nombreuses sensations prsentes processus par lequel un individu apprhende un objet. La perception est donc la construction et lorganisation des sensations. Moderne (issue de la phnomnologie) acte vcu de notre corps par lequel le sujet se projette dans le monde et y dgage des significations. La perception est la saisie dun tout, dune

Descartes) ou de ses sensations (comme le fait Husserl), puis de construire logiquement le monde partir de ces sensations. Par exemple, il faut montrer quil est rationnel de supposer quil existe une chose au-del de mes sensations qui les unifie et les explique (ex il existe une pomme qui est la cause de mes sensations de couleur, de fermet et de saveur). Une telle tentative de fonder la connaissance se heurte lobjection suivante et sil ny avait rien du tout derrire mes sensations Et si le monde ntait

le point de vue interne. Charles ressent différentes sensations : - L2-4, sensations visuelles -L4, sensations olfactives -L4-5, sensations auditives → l'ensemble des sensations sont agréables qui permettent de planter un décor lumineux, coloré, des couleurs gaies, et avec un environnement sonore apaisant C'est donc un décor harmonieux, pleins de sérénité →c'est une invitation au bonheur. Ligne 6, en contraste, Charles éprouve une sensation d'étouffement qui se double d'un sentiment de tristesse

cordes Vers 10 : On a un terme marin suivi d'un terme humain donc une personnification, c'est comme si le vaisseau était en fait le poète. Vers 9-10 : Allitération en “S“, il faut souffrir pour être inspiré. Vers 11-12 : l’immense gouffre » donne une sensation de vertige, tout semble apocalyptique. « Me bercent » rappelle « comme une mer », le poète aime ce gouffre, il en a besoin, il souhaite peut être la mort. Vers 13-14 : Il n'y a pas de verbes, c'est le Spleen, entrecoupé de virgules et terminé par

des sens que l’on a ici. Châteaubriand développe l’element visuel, le domaine paternel « surgit à ses yeux » et il ‘revit ces campagnes ». Le son provoque donc le phénomène de la mémoire involontaire qui agit sur les sens en recréant toutes les sensations liées au souvenir. Contrairement aux souvenirs évoqués volontairement, il s’agit icic d’un véritable retour dans le passé causé par ce son, Châteaubriand est « transporté dans le passé ». La mémoire involontaire est donc la mémoire des sens et provoque

rencontrée en 1842) Toutefois, la femme s'efface rapidement en raison de la puissance de son parfum qui engendre une vision imaginaire et idéalisée (cf. titre) Mouvement en crescendo de la femme à l'île puis au port. Jeu de correspondance entre les sensations (synesthésie) Lecture du texte XXII - Parfum exotique Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne, Je respire l'odeur de ton sein chaleureux, Je vois se dérouler des rivages heureux Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone;

rencontrée en 1842). Toutefois, la femme s'efface rapidement en raison de la puissance de son parfum qui engendre une vision imaginaire et idéalisée (cf. titre). Mouvement en crescendo de la femme à l'île puis au port. Jeu de correspondance entre les sensations (synesthésie). Etude I - Vision de la femme par Baudelaire - Transformation par l'île et le port C'est la relation intime amoureuse qui provoque la vision intérieure (" yeux fermés "). Les conditions sont favorables à cette rêverie : la

que le parfum prend plus d'ampleur encore. La gradation se continue à l'infini comme si cette sensation provoquait chez le poète l'élévation, et un oubli du spleen, un transport vers l'idéal. Cette démarche ne peut pas dissocier les sens et l'esprit. Dans cette gradation, le poète retrouve les sensations les plus lourdes, capiteuses, comme " le musc, le benjoin, encens,.. " Mais au terme de ces sensations, c'est l'esprit qui culmine, du fait que l'idéal peut-être atteint par la quête des sens.

tous droits réservés © __________________ I. Propédeutique pour mieux comprendre.La perception ça semble tout simple! J'ouvre les yeux, je vois un arbre à une certaine distance. Pourtant ... Je vois un arbre.-Si je vois, je vise à travers une sensation, l'exercice d'un sens, la vue. La "visée" est un acte de transcendance, une sorte d'intention (= je tends vers) et cet acte intentionnel  n'est pour moi, que par la présence à soi de cet acte de ma conscience.-Si je vois "un" c'est que je sais compter