Serbe

Bosnie-et-Herzégovine (croato-bosniaques) et la République serbe de Bosnie ainsi que la présence d’une force de

Nationnaliste en Europe : le cas du Kosovo La province autonome du Kosovo, qui était, jusqu'au 17 février 2008 une province de la république de Serbie, s'est retrouvée en proie aux tensions communautaires et violences inter-ethniques entre la minorité serbe et la majorité (86%) albanophone du pays. Ces tensions et affrontements, qui eurent pour origine la suppression de l'autonomie du Kosovo par Slobodan Milosevic en 1989, aboutirent, en 1998, à une véritable guerre. Après des années de négociations

remise le lendemain. Le 23 juillet, à 18 heures (horaire choisi en fonction de l'horaire de départ annoncé du président français, de retour de visite en Russie32), la note austro-hongroise est remise par l'ambassadeur d'Autriche-Hongrie au ministre serbe des Finances (assumant l'intérim pour le premier ministre en déplacement à Niš33), qui dispose alors de 48 heures pour l'accepter20. Le gouvernement de Belgrade accède alors à une majorité des revendications austro-hongroises, mais refuse, après

Le tennis mondial connait aujourd’hui son apogée, grâce à des joueurs talentueux qui animent depuis des années le circuit ATP. L’année 2011 a connu l’hégémonie incontestée du numéro 1 mondial le serbe Novak Djokovic. Apres avoir rendu les armes 3 fois consécutives en finale de grand chelem, El Matador Rafael Nadal n’a toujours pas trouvé la recette pour battre le champion du monde. Roger Federer quant à lui, seul joueur à avoir gagné face Nole en 2011, connait un début de saison très remarquable

elle put rejoindre l'ONU dès mai 1992. La faible réponse militaire de la Yougoslavie dans ce conflit s'explique par le fait que celle-ci était peu intéressée par la Slovénie où la minorité serbe y était très réduite. A l'époque, elle était davantage préoccupée par la situation en Croatie où une communauté serbe plus importante était établie. La guerre d'indépendance de la Croatie fut ainsi une suite logique à celle de la Slovénie. D. La Guerre de Croatie Comme la Slovénie, la Croatie souhaite

général Mladic fait massacrer 8000 musulmans désarmés dans une ville de Bosnie orientale (Sebrenica). La défense de cette enclave avait été confiée à l’ONU (voir le film No Man’s Land). Di Nota rappelle par le biais de paroles rapportés (surement d’un serbe) que 800000 serbes ont été « assassiné » cinquante ans auparavant par le régime fasciste des Oustachi et que les musulmans s’étaient battu à leurs côtés. Tito aurait émancipé les musulmans du Kosovo pour affaiblir les serbes et aurait découpé le territoire

les Balkans mais ne maîtrise pas les voies d’accès mer noires-méditerranée et profite du recul des Ottomans (Turcs). Le nationalisme Austro-hongrois :veut garder son influence sur la Bosnie avec Sarajevo. Le nationalisme Serbe : veut rassemblé tous les slaves en 1 état serbe, mais il doit arraché la Bosnie à l’Autriche-Hongrie qui s’y oppose. Les russes soutiennent les serbes en affaiblissant l’Autriche-Hongrie. * Les colonies : le nationalisme français et anglais qui revendique Fachoda ;

Entraînements • Rencontres avec les coachs : > FMP/Étoile Rouge, Partizan et Zitko Basket • Rencontre avec les instances dirigeantes:  Vice Président Fédération Serbe, Président Ligue de Belgrade et Arbitre Euroleague Grande disponibilité de la part des différentes personnes rencontrées Organisation Sportive • La Fédération Serbe = Entre 15 000 et 20 000 licenciés • Séniors : – ligue Adriatique = 14 clubs dont 3 pour la Serbie – 3 divisions nationales • 1ère et 2ème = 14 clubs • 3ème

sud, partant de la Slovénie en 1991, pour atteindre le Kosovo en 1998 et la Macédoine en 2001. Pendant trente-cinq ans, le maréchal Tito avait réussi tant bien que mal à jongler entre les différents nationalismes de la fédération : slovène, croate, serbe, bosniaque, albanais, macédonien. Le 4 mai 1980, il meurt sans avoir désigné de dauphin. Il est remplacé par une direction collégiale tournante, avec droit de veto pour chacune des six Républiques fédérées (Slovénie, Croatie, Serbie, Bosnie-Herzégovine

Après 2009 et 2013, Novak Djokovic a ajouté dimanche un troisième Paris-Bercy à son palmarès, en ne laissant que cinq jeux à Milos Raonic en finale. Le Serbe est le premier à conserver sa couronne dans cette épreuve, et rejoint Marat Safin et son co-entraîneur Boris Becker au rang de triple vainqueur du rendez-vous indoor parisien. 6Vainqueur d’Indian Wells, Miami, Rome, Wimbledon, Pékin et donc Paris-Bercy en 2014, le numéro 1 mondial devient le joueur le plus titré du circuit cette année, devant