Serpent des blés

Ce poème est condamné selon moi par la présence de beaucoup de description d’attributs sexuels et de nudité Les Métamorphoses du vampire “La femme cependant, de sa bouche de fraise, En se tordant ainsi qu’un serpent sur la braise Et pétrissant c’est seins sur le fer de son buse” Serpent fait référence à la Bible et au symbole de la tentation et du mal La braise renvoie à l’enfer Présence de sensualité avec les différents parties du corps “ tremblaient confusément des débris de squelette” Ici il

vapeurs, des brouillards perce la nuit immonde ; Impose un long silence aux aquilons jaloux, Et rens à mes soupirs le printems mon époux. Epigramme contre Jean Fréron Voltaire L'autre jour au fond d'un vallonUn serpent piqua Jean FréronQue pensez-vous qu'il arriva ?Ce fut le serpent qui creva. 19eme siecle A une passanteLa rue assourdissante autour de moi hurlait.Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,Une femme passa, d'une main fastueuseSoulevant, balançant le feston et l'ourlet

Ligue ! » = Chacun sait retourner sa veste face au danger. 20) L'aigle et l'escarbot(L.2) Un aigle pourchasse Jean Lapin qui se réfugie dans le trou de l'escarbot. L'escarbot défend le lapin en parlant à l'aigle mais l'aigle ne veut rien entendre et blesse l'escarbot avant d'enlever le lapin. L'escarbot se venge de l'aigle : il se rend en son absence, dans son nid et ; casse tous ses œufs. L'aigle revient et constate cela, elle fait un nid plus haut. L'escarbot recommence une nouvelle fois et fait tomber

autorité puisque notre premier contact de l'obéissance venait de notre autorité parentale. Depuis quelques années, la violence est une forme d'animation et de distraction au niveau de la télévision. Le public s'est habitué à la voir des gens se blesser afin de rendre leur spectacle des plus divertissants! Il faut bien comprendre que la morale de chacun n'a pas sa place dans ces téléséries où la santé de certains est prise en considération pour la distraction de d'autres. Ainsi, la société est réellement

lexique péjoratif, notamment les nombreuses insultes envers Agnès (« friponne », « coquine », « impertinente »), les jurons (« Tudieu ! « , « diantre ! », « Peste ! »), et jusqu’à une comparaison animale qui fait d’elle l’image du démon : « petit serpent que j’ai réchauffé dans mon sein ». Cela est renforcé par la modalité exclamative, avec les interjections, telles le « Ah ! », fréquent, qui ponctuent toute la première tirade. Les questions révèlent la blessure d’Arnolphe, et son ironie est très

lexique péjoratif, notamment les nombreuses insultes envers Agnès (« friponne », « coquine », « impertinente »), les jurons (« Tudieu ! « , « diantre ! », « Peste ! »), et jusqu’à une comparaison animale qui fait d’elle l’image du démon : « petit serpent que j’ai réchauffé dans mon sein ».  Cela est renforcé par la modalité exclamative, avec les interjections, telles le « Ah ! », fréquent, qui ponctuent toute la première tirade. Les questions révèlent la blessure d’Arnolphe, et son ironie est très

attribuer à une chose ou à un animal un comportement ou un sentiment humain. Ex : J'appuyais tendrement mes joues contre les belles joues de l'oreiller. ENONCIATION Euphémisme : diminuer volontairement sa pensée pour éviter de choquer ou de blesser. Ex : « il nous a quitté » pour « il est mort ». Consiste à remplacer une expression par une autre qui en atténue le sens. Hyperbole : amplifie les termes afin de produire une forte impression. Ex : un géant = un homme de grande taille. Modalisateurs

hésitation, la métaphore est enrichie + référence mythologique au héros demi-dieu Hercule né d’Alcmène et de Zeus (les 12 travaux) qui fait figure aussi d’antithèse avec le nouveau-né (faiblesse/force) ; celui-ci tue en effet deux serpents que Héra (épouse de Zeus), jalouse, a mis dans son berceau. -Roxane : (v.12) répétition « c’est mieux » qui souligne sa joie d’entendre ces mots éloquents et ces jeux de langage (comme à la Cour) -Christian recourt au niveau de langue soutenu

lion qui combattait contre un serpent qui crachait des flammes . Le lion s'attache à lui et le suivra désormais partout. Puis, il retrouve Lunette, enfermée dans une tour et condamnée parce qu'elle est accusée de trahison envers sa dame à tort. Yvain promet de la défendre. Mais, auparavant, il trouve refuge dans un château menacé par un géant qui voulait la main de la fille du propriétaire du château contre la vie de ses quatre autres fils. Yvain le combat et le blesse gravement . Il retourne au château

un lion qui combattait contre un serpent cracheur de flammes. Le lion devin son ami et le suivit désormais partout. Puis, il retrouve Lunette, enfermée dans une tour et condamnée parce qu'elle est accusée de trahison envers sa dame à tort. Yvain promet de la défendre. Mais, auparavant, il trouve refuge dans un château menacé par un géant qui voulait la main de la fille du propriétaire du château contre la vie de ses quatre autres fils. Yvain le combat et le blesse gravement. Il retourne au château